Derniers Avis : Zombie - Page 17

Ok,je l'admet,c'est du Romero,mais bien que le le thème sur les "défauts"de la société de consommation,mais pour moi ce film grouille de défauts.Les effets gore,minable,même pour l'époque et le manque de budget,il aurait pu y avoir des limites quand même parcque l'ont n'y croit pas une seconde.Entre les impact de balles dans la tête ou le sang gicle a l'opposé du point d'impact,la camion qui roule sur la tête du "zombie-mannequin"qui résiste au poid du camion(voir pour le croire),la musique d'assenceur insuportable,acteurs moyen,sensation d'apocalypse quasi inexistant...2 etoiles parce que c'est Romero qui a fait très très fort avec Day of the dead,mais la non,mais bravo pour la traite du sujet,mais le tout gaché par des effets spéciaux minable et une ambiance apocalyptique littérallement foiré.

Un grand moment de franche rigolade, ce film ! Jeu d'acteur calamiteux, zombies enfarinés, déroulement d'action absurde, le vrai grand cinéma de grand-papa ! Il fallut un début, ce fut Zombie, puis la lumière vint avec "Je suis une Légende"....

10 ans après son premier essai, Romero récidive avec les zombies. Film différent, histoire différente (ce n’est pas vraiment une suite, mais une nouvelle attaque de zombies) Alors que le premier était un film en noir et blanc et pas trop violent, là tout est accentuée. On retrouve le huis clos et dans un élément qui lui est favorable. Ce lieu qu’est le centre commercial est un vrai personnage avec une vraie présence. Dans la nuit des morts vivants, il y a avait un début de critique de la société. Accentuée à son paroxysme dans Zombie Ce qui est assez fort, c’est que la critique n’est pas à proprement parler là, mais chacun y interprète ce qu’il veut. Beaucoup de fans le considèrent comme le meilleur film de Zombie, et bien il faut admettre que c’est du haut niveau. Du grand spectacle, de bons personnages et une musique (malgré le fait qu’elle soit surtout composé de shynthé) qui a une grande un grande présence (avec la présence de Dario argento, qui est aussi producteur). J’ai jetée un coup d’œil aux critiques négatives, et certaines choses sont compréhensibles. Les effets gore ont quelque peu vieillie). Et pour beaucoup, le rythme est lent. Mais il faut ABSOLUMENT reconnaître deux choses : Que romero est un gigantesque réalisateur et que le gore plus très réaliste à un certain charme
Le final ou des pillards arrivent montre une certaine décadence de la société. C’est vrai que je m’attendais à mieux, mais bon on va pas bouder notre plaisir et chier dans la soupe.

le plus grand film d'horreur de tous les temps !!! ni plus ni moins , un film sur la survie d'un groupe d'humains dans un monde hostile ou l'anarchie régne en maitre , entre zombies assoiffés de chair humaine et pillards vindicatifs . une lutte desespérée dans le temple ( supermarché ) d'une société de consomation capitaliste en ruine ...inoubliable et bien au dela d'un simple film gore. un des chefs d'oeuvre du septiéme art .

Après "Night of the Living Dead", Romero s'allie avec le maitre de l'horreur Italien : Dario
Argento pour nous livrer un film qui a marqué les esprits et dont l'influence à touché un
bon nombre de cinéastes. Le choix du centre commercial ou les héros du film vont se barricader
est très judicieux car il permet une fois de plus à George A.Romero de critiquer les défaillances
de notre société à l'aide de ces Zombies. La société de consommation. Voila le message très clair
qui est passé. Pour s'en rendre compte, il suffit de regarder ces cadavres réanimés se coller au
vitrines du centre commercial. "Dawn of the Dead" est aussi le film le plus orienté "Action" que Romero
ait fait, avec à la clé de nombreuses séquences typés WESTERN. Les make-up de Tom Savini ont, certes, un
peu vieilli mais reste tout à fait convaincants pour un film datant de 1978. Une fois de plus, le héro est noir
et le film aborde, sur la fin, très discrètement le thème de la reproduction, ce qui est très intéressant parce qu’il
s'agit finalement de la seule solution pour réussir à contrer l'invasion des morts. Chose intéressante à faire :
regarder et la version européenne du film, montée par Dario Argento et la version Director's Cut, monté par Romero.
En plus des musiques qui sont différentes, le cut à Romero se veut plus long et différent dans la narration ce qui
change considérablement le message transmis dans le film. Bref, un chef-d’œuvre qui n'a pas fini de faire parler
de lui.

Après "Night of the Living Dead", Romero s'allie avec le maitre de l'horreur Italien : Dario
Argento pour nous livrer un film qui a marqué les esprits et dont l'influence à touché un
bon nombre de cinéastes. Le choix du centre commercial ou les héros du film vont se barricader
est très judicieux car il permet une fois de plus à George A.Romero de critiquer les défaillances
de notre société à l'aide de ces Zombies. La société de consommation. Voila le message très clair qui est passé. Pour s'en rendre compte, il suffit de regarder ces cadavres réanimés se coller au vitrines du centre commercial. "Dawn of the Dead" est aussi le film le plus orienté "Action" que Romero ait fait, avec à la clé de nombreuses séquences typés WESTERN. Les make-up de Tom Savini ont, certes, un peu vieilli mais reste tout à fait convaincants pour un film datant de 1978. Une fois de plus, le héro est noir et le film aborde, sur la fin, très discrètement le thème de la reproduction, ce qui est très intéressant parce qu’il s'agit finalement de la seule solution pour réussir à contrer l'invasion des morts. Chose intéressante à faire : regarder et la version européenne du film, montée par Dario Argento et la version Director's Cut, monté par Romero. En plus des musiques qui sont différentes, le cut à Romero se veut plus long et différent dans la narration ce qui change considérablement le message transmis dans le film. Bref, un chef-d’œuvre qui n'a pas fini de faire parler de lui.

Le Film d'Horreur REFERENCE.
Hum... peut-etre un peu moin bien que Massacre àla Tronçonneuse(l'Original).
Mais tout de meme et je M'énerve une PURE REFERENCE

Tout sauf un film d'horreur. Critique (gentillette) de la societe, tentative d'humour, effets gores avec un budget ridicule. Pas un grand film, pas forcement a voir.

Dur de lui trouver des défauts à celui-là, mise en scène, acteurs, effets-spéciaux, tous ça au service d'un film intelligent, rare

Roméro passe à la couleur et à la gore-attitude avec cette suite de "La nuit des morts vivants" dont les qualités restent les mêmes que dans le premier opus : lot de personnages caractéristiques (et pas stéréotypés, la différence est subtile, c'est même à cela que l'on reconnait un bon réalisateur), situation de huis-clos assiégé, grande attention portée aux interactions entre personnages, à la fois sociales et dans le caractère, critique déterminée de la société (ici à l'encontre de la grande distribution), suspense bien entretenu, scénario bien foutu et histoire bien menée. Dans le premier opus, les zombies n'étaient que chair à canon destructrice, un prétexte pour le film et en aucun cas l'objectif. Ici, ils n'ont pas encore l'épaisseur que Roméro leur donnera par la suite, mais il les affuble déjà de critères humanisés pour leur faire porter l'essentiel de sa critique : fanatisme de groupe et comportements primaires. Plus tard, il comprendra qu'il y a pire qu'eux : les hommes eux-mêmes... Bref, très bon aussi, malgré l'horrible photo des années 80.

Approfondissant son regard sur une société virant à la mascarade consumériste,Romero signe là le second volet de sa saga zombiesque,avec la même pugnacité,le même jusqu'au boutisme qui caractérisait déjà la nuit des morts vivants.Chronique d'une société qui tombe (comme ce plan magnifique où l'on voit les lumières d'un gratte ciel s'éteindre,avec toute la symbolique que cela sous tend par rapport à la situation du film) et la difficile séparation (voir quasi impossible) d'avec un système aussi castrateur qu'aliénant.Traitant de thèmes divers comme le racisme,la cupidité et la bêtise humaine en générale,romero rehausse d'un cran l'abomination ambiante,venant d'avantage d'une espèce humaine victime de sa propre félonie,que de ces zombies lobotomisés,déambulant sans but dans les galeries du centre commerciale,temple de la consommation,paradis des âmes perdues.
Une démonstration percutante du savoir faire de big George,qui réussit,malgré un budget limité,à faire de ce zombie un action movie aussi fort visuellement que profond thématiquement!

je n'avais pas apprécié le 4e volet (land of the dead = le territoire des morts) de Romero j'étais donc rétissant pour le 3e bien que j'ai adoré le remake de ce film par Zack Snyder. Force est de constater que j'ai été très surpris par le 3e volet qui est ma foie, il faut se replacer en 1978 date de sortie du film, très bien réalisé et justement je reproche à Romero de n'avoir pas évolué notamment dans la gestuelle des morts vivants lors de son 4e volet en 2005. On retrouve des thèmes forts : le trio morts vivants - survivants - pillards lesquels combattent les uns contre les autres; l'appétit vorace des morts vivants avec des scènes de canibalisme (bien que l'on apprend dans le film qu'ils ne sont pas cannibales vu qu'ils ne se mangent pas etre eux) assez horrifiantes; une certaine dénonciation de l'hyperconsommation; un avenir sombre et incertain ... un film très bien réalisé, servi par de bons acteurs qui a dû faire sensation il y a 30 ans

Le seul et unique film de Zombie.
La vraie référence en la matiere.
De plus une critique de la société de consommation ou plutot de sur-consommation a travers les scenes dans le centre commercial.

George A. Romero est un des grands maîtres en la matière de films de Zombies. Il nous le prouve grâce à " Zombie ", son deuxième chef-d’œuvre après la " La nuit des morts-vivants ". Malgré son âge ( 30 ans ), ce film reste une référence du genre de part les effets spéciaux sidérant de réalisme et d'horreur. Le cinéaste use d'une mise en scène habile afin de confiner une vision apocalyptique du monde moderne en un huis clos angoissant mis en valeur par une bande son glaçante. Le génie de l'œuvre réside surtout dans la parabole dressée par Romero, qui, à l'aide des hordes de zombies assoiffés de chaire humaine, critique de manière acide et virulente une société de consommation aliénante. Un film culte.

Tiens, en voilà une agréable surprise. C’est déjà le septième film de Romero ? Eh bien oui et il fait déjà preuve de professionnalisme avec ce film de zombies. Nous l’avons découvert en 1970 avec son tout premier film « La Nuit des Morts-Vivants » (acclamé par la critique) mais le voici de nouveau avec (seulement) son deuxième film sur les zombies, qui est pour ma part une réussite totale. Il y a quelque chose dans ce film qui fait qu’on adore, j’aime assez les films « survival » et l’idée que tout ça se passe dans un centre commercial est vraiment excellente. Romero nous prouve que son esprit et son originalité répondent présent. Bon revenons-en au film qui est vraiment bien foutu pour 1983. Le film démarre immédiatement, pas le temps de s’ennuyer, on démarre par buter des zombies à droite à gauche, à n’en pas finir. Et puis vient ce fameux centre commercial. Honnêtement on n’a pas le temps de s’ennuyer tout ce passe assez rapidement, le petit groupe de survivants se forme assez vite aussi. Bon je vous l’avoue ça fait un bail que je l’ai vu je ne me souviens plus trop de la fin mais il me semble que tout est mal qui finit mal, c’est faire preuve d’originalité quand le monde finit dans le néant au lieu de toujours s’en sortir. Sinon parlons des effets spéciaux et du maquillage. Bon il y a des trucs vraiment très gore mais pas très crédible : le bout de bras ou de cou que le zombie arrache avec les dents et le mange, idée très insupportable de la part de Romero pour l’époque, et je ne pense pas que cela s’arrache si facilement. Bon le sang fait beaucoup trop peinture c’est impressionnant mais il faut partir avec l’idée qu’on est en 1983. J’ai bien aimé le coup du tournevis dans la tête, c’est très sympa à voir. Bon le scénario est vraiment très bon c’est certain. Dans l’ensemble le film est bon à tous les niveaux, sauf les effets et le maquillage qui auraient pu être bien mieux. Bon sur ces points négatifs je retire une petite étoile mais ça reste un bon film à voir.