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    Blue Jasmine
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    861 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 février 2015
    Après son escapade en Europe, Woody Allen revient aux Etats-Unis mais pas dans son New York natal. Et le résultat est plutôt mitigé. D'abord, le scénario n'est pas vraiment inspiré, il n'y a pas de vraie progression et l'histoire n'est pas passionnante. Mais les dialogues sont fins et bien écrits comme certains personnages. En particulier, celui de Cate Blanchett qui est drôle, pathétique, détestable et attachant à la fois. De plus, la prestation de l'actrice est remarquable. Mais d'autres personnages sont plus clichés et le rythme est lent. Bref, un film qu'on ne retiendra que par la prestation de Cate Blanchett
    icniv
    icniv

    13 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 janvier 2015
    Ce film est tout simplement nul... un ramassis de clichés avec une actrice qui est bien loin des noces rebelles mal servie par des rôles masculins de séries franchement revues et revues.
    T-Tiff
    T-Tiff

    79 abonnés 1 172 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2015
    Woody Allen interrompt momentanément sa tournée européenne pour faire une escale à San Francisco avec "Blue Jasmine". Jasmine est donc une femme mariée à un homme riche mais manipulateur, dont les magouilles finissent par être découvertes et Jasmine se retrouve dépourvue, condamnée à se rendre chez sa sœur à San Francisco avec qui elle entretient une relation complexe. Car Jasmine est, en effet, un personnage complexe qu'Allen explore grâce à une Cate Blanchett formidable et un scénario construit sur de nombreux flash-back, mal introduits, mais qui finalement apportent un certain rythme à l'histoire et lui donne un sens. Sans nous faire chavirer de plaisir, ni réaliser sa plus grande oeuvre, Woody Allen nous livre ici un bon film, bien travaillé. Le contraste entre riche arrogant et pauvre beauf est traité avec humour mais un peu trop caricatural. Tout comme certaines scènes où Cate Blanchett en fait un peu trop dans la peau de son personnage dépressif. Le reste est relativement bien dosé, Woody Allen ne surprend pas vraiment avec "Blue Jasmine", mais le spectateur est relativement satisfait devant ce film à la fois profond et léger.
    Luciano B
    Luciano B

    8 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 décembre 2014
    Bouleversent et splendide. Un des films le plus vu qui j'ai vu.
    Noémie Laurent
    Noémie Laurent

    43 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 décembre 2014
    Ce film est superbe. il est très esthétique et l'histoire est originale. Le personnage principal est très bien interprété et il est à la fois exécrable et attachant : passionnant ! Un film plein de sentiments, complet et réaliste.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 février 2015
    Certainement pas le meilleur film de Woody Allen, loin de là. Cate Blanchett joue tellement bien la femme énervante et guindée que ça fini par desservir le film. Au moins elle joue bien le rôle. Au final on oublie très vite ce film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 novembre 2014
    Jasmine (Cate Blanchett) est une femme qui a tout perdu. Mariée à un golden boy (Alec Baldwin), as de la finance richissime, elle est aujourd'hui ruinée, complètement paumée, gavée d'anxiolytiques, à la limite de la crise de nerfs et de la folie, et incapable de se réadapter à une vie ordinaire. New-Yorkaise, elle se réfugie à San Francisco chez sa sœur Ginger (Sally Hawkins), modeste et simple caissière, américaine moyenne sortant avec des types plutôt médiocres, mais pas malheureuse pour autant. Jasmine se retrouve confronté aux réalités de la vie quotidienne : vivre dans un appartement de moins de 15 pièces avec une sœur avec laquelle tout n'est pas toujours rose, la nécessité de trouver un travail, la fréquentation de gens « normaux »... En parallèle, on découvre le passé faste de Jasmine, sa vie mondaine, et les trahisons de son mari, escroc à la Bernard Madoff.

    Après plusieurs films européens assez inégaux (je garde un très mauvais souvenir de Minuit à Paris), Woody Allen retrouve les États-Unis, New-York et San Francisco (même s'il n'était pas parti bien loin, cf. le plutôt réussi Whatever Works). Et ça se voit qu'Allen est à l'aise dans ces décors qu'il filme sans chichis ni maniérisme. Quand la sœur de Jasmine découvre New-York, il ne filme pas New-York : il filme Ginger et son mari, il s'intéresse à ses personnages. Et c'est beaucoup plus intéressant et plus juste que de nous montrer toutes les cartes postales possibles de Paris.

    Ce film décrit la chute sociale d'une femme, passant de l’extrême opulence à la ruine. Allen a déjà traité ces questions de différence sociale, mais plutôt sur le registre de la comédie : je pense à Escroc mais pas trop, l'histoire d'un petit voyou qui réussit et devient millionnaire, un « nouveau riche » vulgaire sans goût ni culture. Blue Jasmine pourrait en être une sorte de double inversé. Le film, tragique, est écrit avec beaucoup de finesse, de vérité, et d'actualité (la référence à l'affaire Madoff est claire).

    Il faut souligner le jeu d'acteur, très bon comme toujours chez Woddy Allen, mais surtout la performance de Cate Blanchett, à fleur de peau, toujours sur le fil, parfois méconnaissable mais toujours très juste.
    pierrre s.
    pierrre s.

    386 abonnés 3 256 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 octobre 2014
    De mon point de vue et en dépit des éloges, le cinéma de Woody Allen reste lent et bavard (à l'image de ses personnages) et donc, guère intéressant.
    lejojoducoin
    lejojoducoin

    21 abonnés 876 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 octobre 2014
    Pas si emballant que ça ce woody Allen, à l'image des derniers qu'il nous sort. Film assez fade et assez cucul de sens (les vilains escroc riches qui dépouillent les gentils gens populaires). Mais après il faut avouer que la prestation de Cate Blanchet est saisissante, elle colle parfaitement à cette femme bon genre d'un milieu aisé, qui se retrouve sans rien du jour au lendemain. La suite du film n'est que la tentative pour elle de surmonter ce passage de sa vie, mais Woody Allen n'a pas réussi à me transporter dans cette recherche. Quelque peu déçu.
    Ciné2909
    Ciné2909

    67 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 octobre 2014
    Retour aux Etats-Unis et c’est cette fois dans les rues de San Francisco que notre pote Woody Allen pose ses caméras pour dresser le portrait de ces 2 sœurs totalement opposées. Une nouvelle fois, il met en scène 2 magnifiques comédiennes d’abord avec une Sally Hawkins pleine de vie mais surtout avec une Cate Blanchett en dépressive éblouissante. Son histoire on la découvre à travers des flashbacks rendant le contraste entre la femme qu’elle était et celle qu’elle est devenue encore plus flagrant. Bien entendu, Blue Jasmine ne dispose pas de la magie et de la poésie d’un Minuit à Paris toujours est-il que le réalisateur new yorkais nous régale une fois de plus, de quoi voir la vie en bleue !
    Ti Nou
    Ti Nou

    444 abonnés 3 400 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2014
    Woody Allen signe une lutte de classes inspirée par l'affaire Madoff, il a la finesse de ne pas la politiser (il ne juge jamais ses personnages) et de s'attarder sur la relation entre les deux sœurs. Les multiples récompenses de Cate Blanchette sont amplement méritées.
    ardeo
    ardeo

    9 abonnés 177 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    Bien sûr, Cate Blanchett est exceptionnelle en Jasmine mais le film est de la meilleure veine, celle de la comédie dans laquelle Allen excelle depuis ses débuts ! Si vous aimez l'intelligence du rire, voyez 'Blue Jasmine'. En prime, vous découvrirez San Francisco au travers des yeux du petit maître !
    Hastur64
    Hastur64

    206 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2014
    J’avais été très déçu par le dernier Woody Allen “To Rome with love” qui était au mieux inégal au pire tout simplement raté, heureusement avec “Blue Jasmine” le réalisateur se reprend sérieusement et nous pond un personnage féminin aussi insupportable et peu sympathique que finalement comique dans sa folie. On suit la descente aux enfers, en tout cas pour elle c’est ce qu’elle ressent, de Jasmine French veuve d’un riche mari qui s’est avéré un escroc et qui est obligée de retourner chez sa sœur, caissière fiancée à un garagiste, car tout ce qu’elle possédait a été saisi par l'état. Or habituée au luxe et à une vie de douce oisiveté entrecoupée de cocktails mondains et de réceptions huppées, Jasmine, qui sort d’une dépression, est incapable de se réinsérer dans son milieu d’origine et de mener une existence où travail et maigre salaire sont le pain quotidien. Si le film est prenant et les dialogues incisifs, il doit beaucoup de son charme à la prestation de Cate Blanchett véritablement habitée par ce rôle de grande bourgeoise égocentrique et mythomane qui toujours au bord de la rupture cherche à retrouver le confort existentiel qui fût le sien. On adore la détester et on attend finalement que le moment où quelqu’un ou quelque chose va la remette en place en lui montrant que contrairement à ces jugements péremptoires c’est au final elle qui est la plus grande “loser” de la famille. La mise en scène alterne les années fastes de l’héroïne à New-York et son nouveau quotidien morne à San Fransisco. On y démêle le vrai du faux et les mensonges conscients et inconscients de cette femme pour qui l’apparence et la richesse sont les aunes à partir desquelles se mesure la réussite d’une vie. Loin des fresques visant à mettre une ville en lumière (comme le faisaient ces deux derniers films avec Paris et Rome) le cinéaste se concentre sur l’intrigue et sur les personnages, ne traitant la ville de San Fransisco que comme un décors, d’ailleurs toute personne qui ignore tout de la ville, comme c’est mon cas, ne remarquera pas l’originalité, s’il y en a une, de cette ville. On reste concentré sur les déboires de Jasmine et sur sa quête effrénée de retour à une vie de privilégié. Un bon Woody Allen qui nous fait oublier ces deux derniers demis-succès pour retrouver la folie d’un “Vicky Cristina Barcelona”. Là pour le coup à ne pas manquer.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 19 octobre 2014
    L’épaisseur de ce Woody Allen repose presque entièrement sur le portrait de son héroïne, Jasmine. C’est un peu mince, mais ça suffit à faire tenir le film debout tant ce portrait est finement observé et tant Cate Blanchett parvient à y donner du relief, malgré la vacuité du personnage. Princesse déchue sous fond de crise financière, Jasmine tente de sauver les apparences à l’aide de divers remontants alcoolisés et médicamenteux, d’une bonne dose de suffisance, des souvenirs de sa gloire passée, des vestiges de sa grâce aristocratique et, surtout, d’une "myopie" pathologique qui la maintient en altitude au-dessus de la nouvelle réalité modeste dans laquelle elle refuse d’atterrir. C’est peu dire que Cate Blanchett incarne cette femme sans retenue, en se donnant corps et âme à sa souffrance et à sa folie. À ses côtés, les personnages de sa sœur et de son beau-frère sont dépeints avec beaucoup de tendresse et servent de miroir déformant à la pathétique Jasmine. Côté histoire, à force d’aller-retours entre le présent et le passé, le scénario tend à faire un peu de surplace et les ressorts du comique de situation ne sont pas toujours au rendez-vous. Reste un Woody Allen d’un plutôt bon cru qui mérite d’être vu – même si on n’est pas sûr qu’il vieillisse aussi bien que ses chefs d’œuvre passés.
    Patricemarie
    Patricemarie

    41 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 octobre 2014
    Woody s'interroge encore sur les liens conjugaux, qui vont et viennent d'est en ouest et s'entremêlent, alternant passé et présent pour mieux comprendre. Il en ressort un sentiment plutôt pessimiste tant les femme jouées par Sally Hawkins et Cate Blanchett sont malmenées, et puis peut être pas.

    Un film de Woody Allen est toujours très bien, évidemment.
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