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Un visiteur
3,0
Publiée le 15 octobre 2013
Woody Allen, le réalisateur du film Blue Jasmine réalise les films dans les années précédentes tels que Match Point (en 2005, Nomination à l’Oscar du Meilleur Scénario Original), Whatever Works (en 2009), Minuit à Paris (en 2011, Oscar du meilleur Scénario Original et nominations aux Oscars du Meilleur Film et du Meilleur Réalisateur).
Un woody Allen grand cru, qui n'est jamais aussi perspicace que lorsqu'il dépeint le charme discret de la bourgeoisie Américaine ! A noter la performance exceptionnelle de Cate Blanchette...en route pour l'oscar ?
Je n'ai pas vraiment apprécié les errances de l'héroïne et son incapacité le monde. Et puis la voir s'agiter dans cet obsession de dénicher un homme selon son coeur, j'ai cru me trouver dans une vitrine de marie claire ou un truc analogue. Ce film est pathétique et sans intérêt. Je tiens à vous dire que j'ai tenu bon un bout de temps, puis je suis sorti de la salle, laissé voir soulagé de partir de cette histoire. C'est navrant, pauvre, peu écrit, malgré des efforts des comédiens à nous tirer vers leur monde, je dirai que j'ai rarement vu un navet pareil. Mais cela n'est pas le premier film loupé que j'ai vu de M. Allen. Dommage pour moi heureusement que j'ai une carte d'abonnement mais quand même perdre son temps comme cela, ce n'est pas fun
Inutile. C'est à mon humble avis l'adjectif qui qualifie le mieux ce film qui n'a d'autre message que celui de nous expliquer ce que Woody Allen nous explique déjà depuis des décennies (en beaucoup mieux d'habitude!) et qui consiste à dire que "personne n'est ce qu'il paraît être"... Pour le reste les acteurs sont évidemment excellents et les critiques toujours aussi peu objectives!
Woody nous régale une fois de plus avec une peinture de la grande bourgeoisie qui part en vrille, ça porte un parfum de femme à Madoff ce petit film. Oui ce n'est pas une oeuvre majeure pour moi, la presse lui tresse des louanges en veux-tu en voilà je n'y comprends rien... Woody nous explique que Jasmine ( Jeannette ) a le blue mais c'est plutôt une dépression nerveuse, l'effondrement de ses repères monétaire et financiers si je puis dire. Son portefeuille de mari est en fait un Madoff et madame préfère batifoler dans le Dior et le Channel en faisant mine de ne rien voir venir. Et quand ça vient, c'est direct la confrontation avec sa soeur prolo ! Choc des cultures,des mondes et des tiroirs caisse.. Woody se moque de ces gens qui ont tout et qui perde tout mais avec sympathie, parce que oui, cette grande folasse de Cate B. est attachante dans sa composition de grande duchesse paumée et sans le sous mais pas au point de crier au génie... Mention spéciale à sa soeur Alias Poppy !!! Que je kif grave !
Il est de ces films qui correspondent précisément à la définition que l’on attribue régulièrement à l’œuvre d’art. Il est de ces films qui évoquent nos pauvres angoisses, nos chers entêtements, nos puissantes pulsions avec une véracité qui s’avère simplement ineffable. Ceux de Woody Allen en font sûrement partie. Alors que dans Minuit à Paris, le réalisateur cultivait avec passion l’idée du temps qui passe, il s’attaque ici aux tribulations d’une femme dans laquelle beaucoup d’entre nous pourront aisément se reconnaitre. Se reconnaître grâce à un réalisateur inspiré. Woody Allen manie tout d’abord la technique du flash-back avec une facilité des plus déconcertantes. Ce qui permet d’ancrer le spectateur dans son récit, de façon on ne peut plus naturelle. Le scénario, desservi par ces malins flash-back est aussi pointilleux que minutieux. Il se comporte en réalité comme un véritable puzzle et dévoile ainsi tout l’enjeu du film. En effet, Blue Jasmine dresse avant tout le portrait complexe de personnages – tous plus joliment réfléchis les uns que les autres – et ne cesse de jouer avec son spectateur. La réussite du film, c’est de constamment le surprendre, c’est de lui faire rendre compte qu’il faudra bel et bien attendre la fin pour pouvoir connaître entièrement les enjeux qui caractérisent chacun de ces personnages. On ne peut dès lors s’empêcher d’admirer, les larmes aux yeux, ce petit bout de femme qu’incarne Jasmine. Car Jasmine constitue le personnage de cinéma qu’on n’attendait tout simplement plus : effrayée, accablée, angoissée, en un mot : bouleversante. Mais c’est en réalité l’écriture du personnage qui nous a véritablement plu : stressée, découragée, terrifiée ; en un mot : émouvante. Elle ne l’aurait peut-être pas tant été si Cate Blanchett n’avait pas été son interprète effarouchée. Voilà enfin une actrice qui sait véritablement pleurer devant la caméra, avec les yeux rouges qui témoignent des sombres chagrins que nous avons tous connus ; une actrice qui sait vivre une crise d’angoisse de manière tout à fluide et tout à fait naturelle, sans jamais forcer la corde de l’émotion. Voilà enfin une actrice qui sait émouvoir sans aucun d’autre artifice que son talent certain. Blue Jasmine, c’est une affiche ratée, un générique désuet. Mais ce sont surtout des seconds rôles de qualité – notamment Sally Hawkins –, une œuvre imprégnée de beauté. Un film qu’on remercie simplement d’exister. Étrangement étonnant, absurdement amusant, continuellement désarmant. En un mot ? Poignant.
Je me suis profondément ennuyée durant la projection,c'est bourré de paroles ,rien à voir avec "minuit à paris " ou "vicky christina..."bien meilleurs,bref un vrai somnifère
Ce film ne me laissera pas l'envie d'aller le revoir. Rien à voir avec le Woody Allen de Match Point. Mais, à la réflexion Cate Blanchett exprime parfaitement le fait qu'on ne construit pas sa vie sur le mensonge et le mal que l'on fait autour de soit et que les loosers ne sont pas finalement ceux que l'on croit. Qu'a-t-elle fait de sa vie : RIEN. Certes elle a vécu un certain temps dans l’opulence, mais bafouée, sa vengeance lui a fait perdre son fils, elle a voulu régenter la vie de sa sœur... et finalement il ne lui restera RIEN, que son propre échec, sa magnificence usurpée se transformera en cauchemar à tel point qu'elle en perdra la raison. Peut être un raccourci un peu rapide entre riches/pauvres, mais beaucoup de ceux qui ont tout ne savent pas savourer, écrasent les autres. .. et dans le fond les autres eux : ils vivent, certes parfois difficilement mais ils vivent !
Film a mon goût trop long et ce n'est en aucun cas une comédie dramatique, je dirais tout simplement un film dramatique ! Cate Blanchett est omniprésente pour un scenario qui est on ne peut plus prévisible
Un Woody Allen qui remet encore l'amour et ses complications dans la moralité de ce film. Personnage principal un peu plus mélancolique, histoire bien approfondie qui rappelle ses premiers films. Émouvant tout en