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    Blue Jasmine
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    vincorporated
    vincorporated

    38 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 septembre 2013
    Pas vraiment un Woody Allen grand cru, comme on peut curieusement le lire dans beaucoup de critiques. Pas non plus un navet du genre "Minuit à Paris", mais loin d'avoir l'intelligence d'un "Match Point". Bref, on navigue à vue pendant deux heures sans savoir vraiment où on va. Cate Blanchett est parfaite. Mais dans le même style, "Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu" était plus sympa.
    christian M.
    christian M.

    1 abonné 19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2013
    "match point" m'avait réconcilié avec Woody ALLEN, Blue Jasmine confirme ces talents. Toute sa pshycologie du mental, comportement féminin à la lecture de notre siècle est parfaite (le siècle dernier était semblale,). Mr ALLEN nous propose une couleur plus vive. Quelle direction d'acteurs, félicitations. cate BLANCHET évidemment; ne pas oublier Sally HAWKINS qui mérite autant. Le choix des quatres protagonistes est parfait.

    Continuez Mr Allen à nous régaler
    Frédéric L
    Frédéric L

    14 abonnés 61 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 octobre 2013
    Marie Chantal adooore toujours le dernier Woody Allen. Il est forcément géniaaal. Bon c est de la daube, un scénario sans aspérités pour des personnages convenus. C est le monde du géniaaaaal , snob et branchouille. Et ça parle, et ça parle... jamais une seconde de répit dans des niaiseries énoncées avec sérieux. C est sur que la caméra de ne s arrètera jamais sur un paysage ou un décor pour nous faire rêver. On ne sort plus avec lui des petits, toys petits problèmes d égo, l humour juif en moins qui donnait le change dans ses premiers films.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 octobre 2013
    Voici donc le dernier Woody Allen, l’indispensable événement cinématographique annuel. Bon ou mauvais cette ambiance si particulière qu’il imprègne à ses films et leurs originalités en font un style bien particulier. Un Woody Allen ça se remarque tout de suite et ça fait du bien à une époque où le cinéma manque cruellement de singularité et de nouveauté.

    Tout en gardant sa légèreté et son humour caractérisés son dernier crue est peut être un de ses plus pessimistes. Cette comédie dramatique met en parallèle, par un ingénieux montage où les scènes avant-après se succèdent comme des allers-retours entre New York et San Francisco, la tentative d’un femme dépressive de refaire sa vie chez sa sœur en Californie et la chute sociale qui l’a mise dans cet état.

    Si ce sujet est loin d’être une trouvaille et qu’il a déjà été vu et revu il n’a jamais été abordé de cette manière. Il se distingue d’abord par son habile narration et le contraste entre le fond et la forme du film mais aussi par l’absence totale de remise en question de son personnage principal. Jasmine fuit la réalité et tente bien peu de s’adapter à sa nouvelle vie pour ne chercher naïvement qu’à retrouver le train de vie démesuré qui était le sien.

    Et elle ne trouve personne pour la mettre face à la réalité. Pas parce que la contradiction est réellement absente du film mais parce que pour elle personne d’autre n’existe, tout juste sa sœur bienveillante qui la blâme bien peu. La réalisation est tellement centrée sur elle qu’elle en devient le film et le reste y est insignifiant comme dans l’esprit de Jasmine.

    Ainsi les thèmes classiques du genre sont presque totalement éludés pour entièrement plonger dans la folie de son héroïne.

    On suit donc presque exclusivement la chute de Jasmine, on s’attache à cette femme si perdue, on s’amuse de son décalage et de sa dépression et on s’interroge de ses actes et de ses mensonges. Woody Allen a tout misé sur Cate Blanchett et elle le lui a bien rendu. Sa prestation est magistrale quoique parfois légèrement surjouée.

    Cependant on touche peut être avec ce film aux limites du style Woody Allen. Toute cette légèreté et ces retournements de situations si bruts, presque faciles, qu’on retrouvent souvent dans ses films ternissent la crédibilité d’une histoire qui veut mettre en avant l’égoïsme de l’être humain. Le petit coté humoristique de Jasmin va aussi dans ce sens et au final le réalisateur livre son œuvre la plus fataliste depuis un bon moment sans que l’on soit réellement touché et sans avoir beaucoup rit non plus.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    94 abonnés 425 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 septembre 2013
    On ne peut dénier à Blue Jasmine qu’il s’inscrit dans une certaine réalité sociale, celle qui émergea après la crise financière de 2008 provoquant la ruine (quand ce ne fut pas l’incarcération) de traders et affairistes escrocs sans scrupules. Celle également témoignant des différences sociales gigantesques au sein de la première puissance mondiale. Pas sûr néanmoins que cette dimension passionne beaucoup le réalisateur de Minuit à Paris. Il manifeste surtout de l’intérêt pour ce personnage de femme en perdition, dépressive et à la ramasse, parlant tout seule et ressassant le passé, le temps de l’insouciance et de la vie facile. La chute est d’autant plus vertigineuse que Jasmine doit faire face, se prendre en main, trouver un emploi tout en suivant une formation. Le fossé est effectivement immense entre le milieu de la haute bourgeoisie dans lequel elle évoluait à New York et celui, populaire et sans raffinement, auquel elle se confronte à San Francisco. Pas question cependant de baisser les bras : malgré ses migraines et ses soudains soliloques, soignés à coups de pilules et de cocktails, elle veut encore croire qu’elle peut rebondir, trouver un nouveau mari et retrouver son statut d’antan.
    Woody Allen, les années passant, est de moins en moins drôle et léger, se révélant cruel et acide (avec élégance). Il dépeint à la perfection ces grands bourgeois de Park Avenue, mais dorénavant les conversations ne portent plus sur l’art, la littérature ou la psychanalyse ; les hommes n’échangent que combines sur le business et les femmes étalent à l’envi leurs acquisitions de grandes marques. Derrière le vernis de l’opulence et de la sophistication, bien vite écaillé, les manœuvres et les trahisons apparaissent. Le calcul et la manipulation ne sont pas que les apanages des riches et des parvenus, ni seulement dévolus aux hommes. Pourtant aux antipodes l’une de l’autre, Jasmine et Ginger ont des ressources et savent surtout opérer de savantes pirouettes lorsque le destin est contrariant. Le monde qu’illustre Woody Allen en 2013 est celui des faux-semblants et de l’hypocrisie, de l’utilisation de l’autre à des fins personnelles.
    Grinçant et caustique, le fond n’enlaidit néanmoins pas la forme très classique et minutieuse de l’ensemble. Mise en scène brillante et vive, qui fait la part belle aux comédiens. Nouvelle venue chez le cinéaste de Manhattan, Cate Blanchett est absolument épatante, déployant tout un arsenal d’attitudes et d’émotions qui rend son personnage complexe, à la fois attachant et énervant. On oscille en permanence entre l’envie de la blâmer ou celle de la plaindre, même si, au final, Woody Allen choisit en quelque sorte de ne pas réellement la sauver.
    Après s’être habitué à la construction qui parait d’abord artificielle (les flashbacks arrivent de manière abrupte et systématique), on se laisse peu à peu plonger dans cet écrin noir, à l’écriture ciselée. Ce qui laisse, par ailleurs, plus songeur, c’est la motivation du cinéaste à se délocaliser : hier à Londres, Barcelone, Paris ou Rome, aujourd’hui à San Francisco, il ne tire jamais de réel profit des lieux visités, se limitant à parsemer le tout de quelques plans façon carte postale (ici la vue panoramique sur le Golden Gate Bridge). Peut-être, parce que, quel que soit le lieu, même s’il ne représente au demeurant que l’Occident, la complexité de la nature humaine est toujours identique.
    tixou0
    tixou0

    709 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2013
    Le "Allen" annuel est arrivé ! Précédé d'une réputation hautement flatteuse (critique "pro" unanime à le louer). Ai vu hier, et ai été hautement.... déçue. "To Rome with Love" (le cru 2012) n'avait pas forcément plu aux bobocritiques - pour ma part, j'avais beaucoup aimé !
    Qu'est-ce qui plaît donc tant aujourd'hui dans ce "Blue Jasmine" ? Le sujet évidemment, estampillé "important" (les tenants et aboutissants de la vilaine affaire Madoff - même si traités par le petit bout de la lorgnette), et le focus sur "Jasmine" - Woody Allen signant un beau "portait de femme" (comme il y a pas mal de temps avec "Alice" - 1990).
    On repassera pour la critique sociale acerbe. Quant à "Jeanette" (rebaptisée en "Jasmine" par l'intéressée - nettement plus "glamour"), elle est heureusement incarnée par Cate Blanchett. L'actrice australienne évite en permanence la surcharge et campe brillamment une femme à la dérive façon Allen, c'est-à-dire quand même plus dans l'ironie que dans l'étude psychologique fouillée. Cette performance indéniable (à Oscar ?) est l'atout n° 1 du film, mais, pour moi, ne suffit certes pas à noter ce "2013" au-delà de la moyenne. Car le scénario est le point faible - ce qui est éminemment dommage (et dommageable, pour la dynamique et l'intérêt en général du propos). Quasi-linéaire, même si s'articulant en 2 branches, à épisodes "illustratifs" pour la première, et "explicatifs" pour la seconde - le présent calamiteux de Jasmine sur la côte Ouest (San Francisco, où son impécuniosité lui a dicté de rejoindre une soeur adoptive jusque-là dédaignée, voire méprisée) et le passé récent sur la côte Est (appartement sur Park Avenue, résidence secondaire dans les Hamptons, fréquents séjours en Europe, activités "charitables" de grande bourgeoise épouse d'un homme d'affaires menant la vie à grandes guides), avec une dramaturgie cousue de fil blanc....
    Jasmine n'est au fond qu'une femme qui n'a jamais eu de chance avec les hommes de sa vie spoiler: (mari requin dans sa vie professionnelle, et coureur impénitent en sus - nouvel amour calculateur : diplomate voulant entreprendre le "cursus honorum" politique, et comprenant que la candidate retenue, impeccable extérieurement, est disqualifiée par son passé).
    Ceux-ci (Alec Baldwin/Hal, et Peter Sarsgaard/Dwight) sont parfaits dans leur registre respectif.
    Ginger, la soeur, son exact contraire (maigrichonne quand elle est d'une minceur racée, brune quand elle est blonde, "prolo" quand elle est l'archétype de la femme du monde), a finalement plus de chance qu'elle, avec des "losers" successifs (quand Jasmine semblait avoir tiré le gros lot). La Britannique Sally Hawkins en Ginger peinant un peu à exister dans son personnage, face à l'olympienne Blanchett.
    En résumé : un vaudeville sans grande originalité. Même les dialogues étincelants habituels sont aux abonnés absents. Rendez-vous pour le "2014" (tourné cet été en France - dans le Sud). Plus en verve, espérons-le, le grand Woody !
    peter_hermes
    peter_hermes

    2 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 octobre 2013
    Un Woody Allen sans humour et sans suspense...l'histoire ennuyeuse d'une femme de la haute incapable de s'adapter à la dureté de la vie.
    Si vous allez voir ce film comme on va voir une peinture au mur, de manière très distante, analytique, ce film a peut être un intérêt, si vous cherchez à être capté par une histoire, des sentiments, de l'humour ou du suspense, passez votre chemin !
    philhag
    philhag

    28 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 octobre 2013
    Trop d'éloges pour ce "Woody Allen" plat et sans intérêt où l'ennui domine. Comme s'il avait fait un film pour remplir son obligation annuelle ... Certes, l'homme est professionnel mais le scénario n'a aucun intérêt et d'ailleurs sans progression, Cate Blanchett n'a aucune saveur et son seul mérite est de tourner la moitié du film non maquillée, Sally Hawkins (sa sœur dans le film) est une révélation, la bande son est attendue, ... Bref : on peut s'en passer...
    cc baxter
    cc baxter

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 septembre 2013
    Absolument parfait.
    Le film qui vous fera aimer Cate Blanchett à la folie, si ce n'est déjà fait.
    Scénario brillant, mise en scène précise, montage implacable.
    Un grand film de Woody Allen, au meilleur de sa forme. Son meilleur film depuis Meurtre Mystérieux à Manhattan.
    A voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 octobre 2013
    RENDEZ NOUS WOODY ALLEN !! Scénario catastrophique, personnages inintéressants et tristes. Bons acteurs c'est vraiment dommage!
    Marc  Régis
    Marc Régis

    42 abonnés 244 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 septembre 2013
    Ça vaut toujours le détour d'aller voir un film de Mister Allen. Mais, on reste un peu sur notre faim en quittant la salle. Le savoir faire et l'expérience ne suffisent pas. De plus les allers-retours entre passé et présent sont laborieux. Le personnage principale "Jasmine" peut paraître antipathique contrairement à une Blanche Dubois dans Un tramway nommé Désir. Le lien est plus qu'évident entre les deux personnages.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 mars 2014
    c'est nul comme tous les films que fait woody allen depuis quelques années, c'est bavard, ennuyeux, sans grand intérêt, sujet banal, rien d'extraordinaire;il filme depuis des années des histoires tout à fait banales; quoi de plus creux que la vie de cette femme de la haute new yorkaise qui déboule chez sa soeur à l'autre bout du pays? je persiste et signe pour moi le dernier film important de woody allen était "match point" depuis il n'a plus rien fait de bon!
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 28 septembre 2013
    grand amateur de Woody Allen, je ne peux qu'être déçu et par le film et par la critique...
    ce film est tellement soporifique, sans originalité, et aussi superficiel que son héroïne...
    Vous l'aurez oublié très vite, comme malheureusement la plupart de ses derniers films.
    Si vous voulez vous faire plaisir, retournez aux sources, avec les grands de Allen (Annie Hall, Manahattan, la rose pourpre du Caire...) ou allez voir autre chose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 septembre 2013
    Un des films que j'attendais avec impatience. En même temps avec Woody Alen j'en attends beaucoup.
    L'année dernière on a eut le droit à "To Rôme with Love" qui était en dessous de ce que le réalisateur pouvait nous proposer.
    Avec Blue Jasmine il se rattrape à grande vitesse, et m'a juste bleffé.
    Déjà l'affiche est très belle, et les yeux de Cate Blanchett y sont pour quelque chose.
    Le scénario est magnifiquement bien écrit. On passe du passée au présent en un clin d'oeil et la transition est juste génial, contrairement à Mélinda et Mélinda. En lisant les critiques qui disait que ça passe d'un temps à un autre j'avais peur, mais finalement c'est très bien passée.
    Les comédiens interprètent leurs rôle avec brio.
    La musique est magnifique.
    Ce film est tout simplement un chef d'oeuvre, et aussi l'un des meilleurs films du réalisateur avec Match Point.
    sangoku7
    sangoku7

    8 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2013
    superbe histoire qui décrit très bien le malheur dans lequel les gens aises peuvent s'enfermer pour des raisons de pudeur sociale. Superbe interprétation. Pas drôle du tout ce drame de Woody...
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