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Uchroniqueur
164 abonnés
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4,0
Publiée le 3 février 2016
Un excellent film financé par une entreprise qui accepte bien la caricature et une propagande habituelle pour le "just do it" et le "you are your work" à l'Américaine. L'univers cinématographique américain reste inexorablement binaire, parfois les "gentils" contre les "méchants", ici les "Loosers" versus les "Winners". Outre ces aspects indissociables de l'industrie cinématographique U.S (auxquels je ne suis pas sensible ce qui me permet d’apprécier les divertissements outre-atlantiques sans me sentir intoxiqué), "les stagiaires" demeure un bon film. Drôle et attachant le duo Vaughn / Wilson fonctionne à merveille. Les personnages sont terriblement touchants et leur reconversion est une belle aventure humaine. Un film intergénérationnel qui fait du bien, à rapprocher du " nouveau stagiaire" ou de "il n'est jamais trop tard". Deux films, certes plus sages, qui vous donneront une belle bouffée d'air intergénérationnelle.
Objet de propagande répugnant, propagande pour Google bien entendu, mais également pour les tartes à la crème du rêve américain dans ce qu'il a de plus mensonger (qui peut croire que 2 quadras sachant à peine envoyer des mails peuvent rebondir dans la Silicon Valley, sérieusement ? Qui peut croire qu'un quasi chômeur peut draguer avec succès une cadre supérieure de Google, sérieusement ?). Pas la peine d'espérer l'ironie, la critique subtile, il n'y aura que des vannes lourdingues, une logorrhée pénible, une apologie sans recul d'une entreprise pourtant plus proche de Big Brother que de Bouddha... Seul intérêt de ce navet nauséeux navrant, une longue scène avec des femmes topless, ce qui est complètement et étrangement anachronique dans les années 2010 pour un film grand public américain...
Un film en roue libre. spoiler: Le seul point positif est de voir l'envers du décor de Google.
Sinon, le plateau est abandonné aux comédiens qui y font n'importe quoi.
film très drôle, à regarder sans aucun doute. J'aime beaucoup l'aspect qu'on en montre des geeks qui peuvent être sociable. ;) Malheureusement je ne mets pas 5 étoiles car un peu trop de clichés et scénario légèrement prévisible.
On ne va pas se mentir : "Les Stagiaires" est une immense pub pour Google, cette entreprise où tout est fun et où l'on encourage la diversité et l'ouverture d'esprit. Mais malgré tout, ça reste quand même un film assez amusant à partir du moment où l'on adhère au duo formé par Owen Wilson et Vince Vaughn. Il n'y a rien de bien grandiose dans le film et on ne se pliera clairement pas en deux de dire mais on passe tout de même un bon moment, avec quelques idées sympathiques et une énergie qui s'avère tout de même assez communicative. Certes, on pourra brocarder la promo immense que le film fait pour Google ou les leçons de morale qu'il entend nous dispenser par le biais de ses deux héros pas à la page mais très humains. Cela reste malgré tout un divertissement sans prise de tête, idéal pour un dimanche après-midi.
Si vous voulez perdre 2 heures de votre vie, allez voir ce film. Un film typique américain où la vie est noire et tout devient beau à la fin avec tout le monde qui finit en couple et le méchant garçon qu'on croyait être le meilleur qui se prend une leçon d'humanité par le merveilleux groupe.
Huit ans après "Serial Noceurs" Vince Vaughn et Owen Wilson reforment un duo pour une comédie signée Shawn Levy. Si il est vrai que cette réalisation fait un peu penser à une jolie pub pour Google, il faut aussi lui reconnaître une certaine clairvoyance sociologique. Sans être hilarant "les stagiaires" est une œuvre distrayante et plutôt sympa.
Une bonne pub pour notre ami Google, le film fait vraiment rire et on voit comment des '' papis '' de la société rejoignent des geek, par la suite une amitié hilarante se crée. Bon film.
Googlitude, terme donné dans le film pour définir le cool...... sérieux ?......Le mystère n'est toujours pas levé sur la fabrication et le but du plus important film d'entreprise ayant réussi l'exploit de passer pour un film de cinéma..... bref, 2 heures pour nous démontrer que Google est Cooooool......... raté, ça m'a fait penser au Meilleur des Mondes d'Huxley, glaçant.........
Il est vrai que le films enchainent la promo et les placements de produit pour google. Et oui quand on ne c'est pas ce que l'on va voir c'est assez gênant, ceci dit allant voir un film centré sur google il faut s'y attendre non ? Ce détaille passer on peut vraiment ce pencher sur le film (la propagande google peut gêner une 20ene de min au début il est vrai mais on s'y habitue).
En soit le film n'est pas hilarant, a par la blague sur Charles Xavier (montrée dans la bande annonce) qui est hilarante on sourira quelques fois mais sans plus, le films enchaine les clichés, les bon sentiments, ceci dit on pouvait s'y attendre et au final malgré la prévisibilité on ce retrouve avec une histoire touchantes ou malgré les enjeux prévisibles on soutient ces personnages pour le moins assez attachant. Le films est bien rythmé et donc on ne s'ennuie pas, d'autant plus de plaisir avec les références à la culture geek (X-Men, Retour vers le futur, Game of Thrones et j'en passe).
En bref un petit film sans prétention qui nous fait passer un bon moment et d’où on ressort joyeux. Alors oui une note peut être un peu trop élevé mais qui est ici pour dénoncer le bâchage débile que c'est pris le film du a l'omniprésence de google.
Donc un bon moment que je conseille a toutes les personnes qui veulent une histoire gentille sans prétentions rempli de bon sentiments.
Peu de passages amusants. En dehors d'un film promotionnel pour l'entreprise Google, il n'y a pas grand chose d'intéressant. On entre dans les coulisses par l'intermédiaire des stagiaires Owen Wilson et Vince Vaughn. Mais je les trouvais bien plus drôles dans "Serial Noceurs". Pas génial sans pour autant être nul.
«Les stagiaires» est une comédie sans prétention, dont le scénario se déroule dans l'univers Google, ce qui en soit est très original. Outre l'histoire sympathique de deux trentenaires qui font un stage au milieu de jeunes dans une entreprise où l'innovation technologique est omniprésente, ce qui intéresse surtout c'est tout l'envers du décor.
On passe donc un bon moment dans ce film découverte, où l'action, même si elle est loin d'être inintéressante, passe au deuxième plan. Oui car celle-ci joue à fond les clichés, avec beaucoup d'humour, et malgré de nombreux sourires, rien n'est vraiment surprenant dans cet aspect du film. Par contre, voir des voitures sans chauffeur ou des geeks parler d'applications révolutionnaires, dans cet environnement particulièrement crédible, ça vaut le coup d’œil.
Cousu de fil blanc comme souvent dans les comédie US, le choc des générations n'est pas suffisamment exploité pour pimenter un scénario en pilotage automatique. Les dialogues tournent à vide et les gags efficaces sont peu nombreux. Dommage.
Soyons clairs dès le départ : pour vous donner une chance d'apprécier ce film, il vous faudra dépasser les 45 premières minutes. Ça tombe bien, il dure 2h, donc ça lui laisse le temps de se rattraper. Car oui, cette mise en place du scénario est longue et très lourde. Les situations, les tentatives de blagues, tout cela est globalement raté à mon goût. La suite relève le niveau, les moments censés être drôles s'approchent plus souvent de leur but, l'action ressemble un peu plus à quelque chose. Après quasiment une heure que j'ai vraiment trouvée longue, le niveau est donc remonté, mais cela n'a pas suffit pour moi à en faire un film vraiment sympathique. Quasiment une heure pour que tout ce que je vois ne soit plus horripilant, quand même, c'est trop, je ne lui pardonne pas, malgré le reste du film. Et Vince Vaughn et Owen Wilson ne forment pas le meilleur duo qu'il m'ait été donné de voir.
Deux vendeurs au chômage obtiennent un poste de stagiaire chez Google, et vont devoir se battre pour décrocher un emploi. "The Internship" repose sur le fait de confronter des quarantenaires à la génération 2.0, ce qui amène à plusieurs dialogues amusants, et à des quelques idées intéressantes. Mais globalement, même si le film est mené dans la bonne humeur, son background de comédie hollywoodienne formatée le rend très lisse (personnages stéréotypés, péripéties prévisibles, etc.). Par ailleurs, le film constitue une gigantesque et peu subtile publicité pour Google, sans la moindre once d'esprit critique sur l'entreprise, ce qui le rend assez désagréable par moments.