Derniers Avis : Les Stagiaires - Page 13

Excité à l'idée de retrouver les Serials Noceurs, mais vite déçu par la suite..

Génial ! Les critiques négatives sont vraiment dénuées de tout commentaire pertinent. Bien sur qu'on voit du google pendant tout le film, vu qu'ils sont en stage chez google. Le côté pub de ce film ? Mouais, pas convaincu ! Par contre, démontrer dans un film ce qu'est en réalité cette entreprise, en apportant quelques valeurs humaines (Encore faut il être capable de les déceler), quelques bon fou rires à de réguliers moments, et un peu de romantisme pour rester dans la comédie romantique sans tomber dans la niaiserie, bah c'est exactement ce que vous trouverez dans ce film ! Le mix dans la boite est vraiment génial, et le jeu des acteur est vraiment bon. Parfois même vous arriverez à trouver un peu d'émotion dans certaines scènes ... Je vous le conseil, j'ai adoré.

Ok guys. Combien ont vu ce film en VO ? Ou même en Vost (qui est mon cas) ? Pas beaucoup de gens je pense d'après les critiques acerbes que j'ai vu. Regarder ce film en vf est un sacrilège ! Vous perdez tout le sens humoristique des dialogues. De plus tout le monde sait que le doublage français pour genre de comédie n'est pas terrible.

Tout ça pour vous dire que regarder ce film avec les voix originales, et vous comprendrez toutes les subtilités des dialogues, des scènes, de l'environnement en général. Une fois cela fait, vous serez obligé d'admettre que c'est un film où on passe un bon moment, même si ce n'est pas votre tasse de thé.
Mais est-ce que c'était la peine de descendre un film comme celui là ? Je ne le pense pas.

En conclusion, une histoire plaisante qui nous permet de découvrir l'environnement de Google, le tous agrémenté d'un humour bien placé, pas dans l'excès, et des acteurs impeccables dans leurs rôles.

Une immersion intéressante, quoique caricatural, dans l'univers de Google. Les stagiaires est une comédie américaine typique, peut être même trop typique, qui se laisse regarder avec entrain. Le scénario amène quelques scènes amusantes (le match de quidditch, la discothèque ...), les personnages sont attachants, mais l'histoire est beaucoup trop linéaire. Un peu plus de rebondissement n'aurait pas été du luxe. Mais c'est vrai, ce n'est pas le but premier d'une comédie ...

404. That's an error.
Ce film n'est pas drôle.
That's all we know.

Pas le film de l'année mais j'ai tous de même passé un tres bon moment.
On découvre google et son univers, bien évidement les bon cotés du job dans la firme californienne, sur le ton de l'humour et de la fraicheur.
Mais aborde tous de même quelques sujet sérieux tel que les conflits entre collègues, la difficulté pour retrouver de l’emploie de nos jours.

Film frais, et divertissant.

Il y a un point commun avec la France, c'est qu'après 40 ans, on est considéré comme des has been par les plus jeunes. Ce film est une auto-critique grossière et assez drôle des entreprises high-tech américaines, que l'on aimerait d'ailleurs bien avoir chez nous.

Les Stagiaires est un bon film drôle montrant l'univers délirant de Google

Une publicité pour Google avec un scénario creux et des dialogues du même acabit. 2 étoiles.

Une comédie assez drôle, un peu trop longue mais qui se laisse regarder. On retiendra surtout le duo complice Vaughn/Wilson sur lequel repose la plupart du scénario. Scénario plutôt simpliste, prévisible et parfois vulgaire à certains moments mais divertissant.
Je trouve assez dommage que Shawn Levy (La nuit au musée 1 et 2) ne réitère pas son talent pour les derniers long-métrages qu'il a fait.

Une mauvaise comédie tout simplement. Les deux acteurs ne brillent pas et sont vites exaspérants, peu de vannes passent bien que le film soient truffés de références cinématographiques et de références "geek" (mais n'est pas Big Bang Théory qui veut). A éviter...

Très irrégulier dans son déroulement, il y a de bonnes et des mauvaises choses. On rit, puis on s'ennuie et puis on rit à nouveau. Le bilan est plutôt mitigé et aurait dû gagner en qualité avec une petite demi-heure en moins. Sympathique mais pas grandiose, on passe un moment juste agréable c'est tout mais c'est déjà pas mal.

Ca passe pour le retour du duo Wilson/Vaughn mais tout au long du film je me suis entêter à croire que le duo Sandler/Schneider aurait mieux fait. Pour moi le choix des acteurs n'a pas été optimal.

Le duo Vaughn-Wilson commence à vieillir et a déjà fait mieux par le passé, mais "The Internship" reste un bon petit buddy movie où leur complicité est toujours aussi réjouissante. On apprécie de les voir tout chambouler dans un monde (Google) qui leur est parfaitement inconnu. C'est vrai que ce spot de pub d'1h30 peut faire grincer des dents, mais sous le couvert de la comédie, cela donne un aperçu (positif, certes) de la vie à l'intérieur de ce géant de l'Internet. Le scénario est facile, mais la plupart des gags sont bons et les seconds rôles (super apparition de Will Ferrell, toujours génial) aussi.

Je m'attendais à un film banal, à l'humour potache, un truc que tu regardes un soir et que tu fous de côté après, un bon moment, pas forcément inoubliable, bah je me suis trompé. Outre le fait qu'il s'agisse d'une vitrine publicitaire pour google, ce film est juste visionnaire, et a été fait pour de bonnes raisons. En lisant les critiques on se rend juste compte de l'incompréhension totale qu'il suscite. Dans la plupart que j'ai lues, il s'avère jugé (en bien et en mal) sur ce qui me paraît être de mauvais critères. Ca fait du mal de le dire, mais la seule revue ayant réellement cerné toute la problématique mise en jeu est TéléCinéObs.

La clairvoyance sociologique de ce film est juste hallucinante, les enjeux sociaux du travail y sont traités avec une lucidité à laquelle je ne m'attendais manifestement pas. On pourrait y voir un côté utopiste, mais c'est un putain de remède à ce qui ronge la société, révélateur du fossé entre deux mondes, celui de la génération ayant vécu avec internet, ayant gardé ses rêves et refusant le cynisme, opposé à celle de ses aînés. On y voit une alternative (forcément représentée par Google) au modèle d'entreprise standardisé, disposant d'un management "anglo-saxon" fleurissant ces dernières années (secteur bancaire, télécom, grosses boîtes, même fonction publique, etc.). De l'anti France Telecom en somme. Il s'agit d'une fresque donnant envie de se révolter contre des pratiques conservatrices totalement contre-productives fleurissant malheureusement dans le milieu professionnel (le chef con bridant la créativité de son subalterne, les relations factices entre collègues, le cynisme de certains pour favoriser leur carrière, etc.).

Au delà de critiquer Google et autre Facebook comme outils commerciaux et vastes machines à fric, il faut bien se rendre compte qu'il s'agit à la base de rêves d'étudiants, de potes d'écoles/fac, partant de rien, mettant leurs compétences complémentaires en commun, dans une "entreprise" périlleuse à la base, et créant ce qui a révolutionné notre mode de vie, en usant d'une philosophie de travail totalement opposée à ce qu'il se faisait il y a quelques années. Google et Facebook (en fait surtout internet) sont en train de progressivement muter la société en développant un concept de management inédit qui fera certainement cas d'école dans les futurs formations de commerce et de management : utiliser le maximum des ressources de ses employés en favorisant leurs conditions de vie (et non en les oppressant et en les bridant), faire du travail le lieu d'épanouissement de l'individu (le pire étant que ça marche, il n'y a qu'à regarder leur capacité à s'adapter et à se développer intelligemment).

La prochaine (r)évolution sociale pour la jeune génération dans les 10 prochaines années portera certainement sur le milieu professionnel (si elle ne saisit pas le problème elle ne pourra s'en prendre qu'à elle même d'ailleurs). Les thèmes de l'importance et de la valeur du diplôme par rapport aux qualités humaines, des conditions de travail, de son utilité, du développement de l'individu grâce et au travers de son emploi y sont habilement et subtilement traitées (google fonctionne vraiment comme ça), faisant de ce long métrage une oeuvre largement sous évaluée et profondément humaniste.

Albert Jacquard est mort, (dans le silence le plus scandaleux qui soit) mais ce film aurait pu constituer un bien bel hommage à ce visionnaire ayant passé sa vie à tenter d'améliorer l'humain dans le contexte de la société.