Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
par Stéphanie Thonnet
(...) au bout de deux heures, vous aurez l'agréable sensation de revenir d'une sorte de road-movie philosophique, d'un voyage intensément poétique
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Point
par Marie-Françoise Leclère
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Olivier Séguret
Holy Smoke est, à bien des égards, un joyeux bric-à-brac de trouvailles, de tableaux, d'inserts subliminaux, de lumières conçues comme autant de flux et de vitesse cinématographique pure.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Olivier de Bruyn
(...) la cinéaste signe ici une oeuvre cohérente, qui semble répondre directement à Portrait de Femme tout en adoptant, formellement, des caractéristiques inverses. Art de la variation et de l'approfondissement (...)
La critique complète est disponible sur le site Positif
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
(...) nous avions été emportés par la quête d'absolu des héroïnes de Jane Campion. Holy smoke nous brise net dans notre élan. Une impression permanente d'inaboutissement se dégage, en effet, du film.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
FHM
par L.D.
Une oeuvre en lévitation, visuellement superbe.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Jane Campion (...) semble hésiter à délirer vraiment alors que les moments de déglingue du film sont les meilleurs, et surtout livre un film beaucoup trop monocorde
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
On prend un temps plaisir à cette débauche de rythmes et de couleurs, puis on se lasse. Reste le couple d'aceturs : Kate Winslet (...), Harvey Keitel (...). Leur confrontation est formidable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Lenouveaucinema.com
par Jean-Philippe de Tonnac
(...) un face-à-face digne de "La Mégère apprivoisée" entre deux comédiens qui révèlent toute leur monstruosité (...) Reste notre fascination pour l'intention, l'engagement des acteurs, les déserts australiens (...) Et notre ardente déception.
Première
par Jean-Jacques Bernard
(...) le film, parti du métaphysique pour aller au physique, s'en retourne finalement au métaphysique (...) alors ce film (...) révèle soudain un côté "réglons leurs comptes aux hommes" un rien passé d'époque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Holy Smoke est un film virulent, tapageur, bordélique. Parfois fulgurant, parfois exaspérant. Et souvent dans le même mouvement. Jane Campion se hasarde à des approximations risquées (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Fluctuat.net
par Yves Le Corre
Campion voudrait cacher son absence de véritable sujet derrière une pointe (une sacrée pointe et bien appuyé même !) de burlesque, pour ne déboucher finalement que sur un brouillon complètement informe.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Avec son premier long métrage, Sweetie (1989), la cinéaste avait réussi ce difficile dosage de l'excès qui ici lui échappe, plongeant le film dans l'impasse d'un grotesque sans enjeu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Sophie Bonnet
A l'issue de ces deux heures, on est d'autant plus déroutés par tant de stérilité inepte que Jane Campion ne nous a jamais habitués à cela.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com
(...) au bout de deux heures, vous aurez l'agréable sensation de revenir d'une sorte de road-movie philosophique, d'un voyage intensément poétique
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Holy Smoke est, à bien des égards, un joyeux bric-à-brac de trouvailles, de tableaux, d'inserts subliminaux, de lumières conçues comme autant de flux et de vitesse cinématographique pure.
Positif
(...) la cinéaste signe ici une oeuvre cohérente, qui semble répondre directement à Portrait de Femme tout en adoptant, formellement, des caractéristiques inverses. Art de la variation et de l'approfondissement (...)
Chronic'art.com
(...) nous avions été emportés par la quête d'absolu des héroïnes de Jane Campion. Holy smoke nous brise net dans notre élan. Une impression permanente d'inaboutissement se dégage, en effet, du film.
FHM
Une oeuvre en lévitation, visuellement superbe.
L'Obs
Jane Campion (...) semble hésiter à délirer vraiment alors que les moments de déglingue du film sont les meilleurs, et surtout livre un film beaucoup trop monocorde
Le Figaroscope
On prend un temps plaisir à cette débauche de rythmes et de couleurs, puis on se lasse. Reste le couple d'aceturs : Kate Winslet (...), Harvey Keitel (...). Leur confrontation est formidable.
Lenouveaucinema.com
(...) un face-à-face digne de "La Mégère apprivoisée" entre deux comédiens qui révèlent toute leur monstruosité (...) Reste notre fascination pour l'intention, l'engagement des acteurs, les déserts australiens (...) Et notre ardente déception.
Première
(...) le film, parti du métaphysique pour aller au physique, s'en retourne finalement au métaphysique (...) alors ce film (...) révèle soudain un côté "réglons leurs comptes aux hommes" un rien passé d'époque.
Télérama
Holy Smoke est un film virulent, tapageur, bordélique. Parfois fulgurant, parfois exaspérant. Et souvent dans le même mouvement. Jane Campion se hasarde à des approximations risquées (...)
Fluctuat.net
Campion voudrait cacher son absence de véritable sujet derrière une pointe (une sacrée pointe et bien appuyé même !) de burlesque, pour ne déboucher finalement que sur un brouillon complètement informe.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Avec son premier long métrage, Sweetie (1989), la cinéaste avait réussi ce difficile dosage de l'excès qui ici lui échappe, plongeant le film dans l'impasse d'un grotesque sans enjeu.
Les Inrockuptibles
A l'issue de ces deux heures, on est d'autant plus déroutés par tant de stérilité inepte que Jane Campion ne nous a jamais habitués à cela.