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    Grand Central
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    2,9
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    278 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 29 août 2013
    Après son passage à Cannes et à l'éloge des critiques j'en attendais plus. J'ai trouvé que le scénario ambitieux d'une histoire d'amour sur fond de misère des travailleurs du nucléaire est survolé, l'émotion est peu au rendez-vous, le jeu des acteurs ne convainc pas. Impression triste et décevante.
    NewBoorn
    NewBoorn

    60 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2013
    Le sujet traité est intéressant et mérite que l'on s'y attarde, les acteurs sont bons, de même pour la bande-son. Et malgré tout ça, on reste quand même globalement sur notre faim. En effet, la relation entre les 2 personnages n'est pas assez fouillée et manque de profondeur. On finit par se demander : Tout ça pour quoi ? Au final, je retiens plus ce que j'ai vu du travail dans les centrales nucléaires, le sujet support du film : les conditions difficiles du quotidien, ses risques, ses enjeux...
    selenie
    selenie

    6 218 abonnés 6 178 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 août 2013
    Après le remarqué "Belle Epine" (2010) la réalisatrice persiste et signe un beau film d'après une idée de sa scénariste, Gaëlle Macé, après avoir lu le roman "La Centrale" de Elizabeth Fithol... En résumé une histoire d'amour passionnel et d'adultère avec pour toile de fond les coulisses d'une centrale nucléaire, plus précisément sa face sombre. Rebecca Zlotowski retrouve Johan Libéreau (un petit rôle cette fois-ci) et surtout Léa Seydoux dans le rôle d'une fille "facile" (un peu plus compliqué que ça) qui se prend au piège des sentiments. Ce qui surprend surtout c'est le réel travail en amont, très documenté on est rarement entré dans une centrale nucléaire de façon aussi précise ; magnifique travail sur la lumière notamment, l'atmosphère pesante, presque empreint de mystère. Par contre si les personnages sont superbement écrits, tous plus ou moins attachants et intéressants la romance adultérine manque quand même d'un peu plus de passion (au sens premier) ; jamais je n'ai cru que Elise aime plus son amant Gary que son mari Toni... Tahar Rahim est parfait en Gary, Léa Seydoux est une nouvelle fois incandescente et sensuelle mais derrière ce casting idéal c'est bien Denis Ménochet qui suptilise l'intérêt au couple têtye d'affiche. Ménochet incarne un ours mal léché, frustré mais viril, fort mais blessé il est le point fort du film, sans aucun doute son meilleur rôle à ce jour. Déception pour la fin, sans doute parce que Toni... Un beau film, abouti et maitrisé auquel il manque juste une sorte de flou sentimental entre Elise et son amant.
    crachou94
    crachou94

    23 abonnés 427 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 août 2013
    Malgré une très bonne distribution, Tahar Rahim, Olivier Gourmet et Denis Menochet, film décevant, un non-
    scénario, une fin sans queue ni tête, aucun rythme, bref à éviter si on veut passer un bon moment!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 août 2013
    Magnifique histoire au coeur d'une centrale nucléaire.. Tahar Rahim et Léa Seydoux, magnétiques, troublants !!
    A voir absolument !
    PetiteCerise
    PetiteCerise

    11 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    La réalisatrice est prometteuse, mais le scénario est au final assez faible. Le film ne "prend" pas. Le thème est intéressant. L'amour y est traité d'une manière assez commune et désabusée. Pas mal sans plus.
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 août 2013
    La rentrée 2013 n'aura pas été longue à m'offrir son premier emballement critique non-justifié : "Martingale gagnante" pour Les Inrocks, "Très beau film où se conjuguent avec bonheur la modernité harassante du labeur et l'éternité exaltante des sentiments" selon Marianne, "On n’avait assurément pas vu pareil mélange d’inertie fiévreuse et de trouble lyrisme depuis "La Fidélité" de Zulawski" pour les Cahiers du Cinéma, "Réalisatrice pétrie de talent" à lire 20 minutes...Il faut dire que la réalisatrice a tout pour plaire : sortie de la FEMIS, premier film couronné par le Prix Louis Delluc, sujet original mélangeant peur du nucléaire et plongée naturaliste dans le lumpen-prolétariat, voilà de quoi encanailler la critique parisienne !

    Je n'avais pas vu "Belle Epine" à sa sortie, déjà rebuté par la bande-annonce laissant deviner la énième déclinaison du premier film sur la prise de risque adolescente, entre "Les Nuits fauves" et "À nos amours", impression confirmée par la vision du film lors de son passage sur Canal +, mais aussi sensible à l'incandescence du jeu de Léa Seydoux. Il y avait déjà cette volonté de décrire de façon très littéraire, mais avec les artifices du cinéma d'aujourd'hui, le mode de vie des laissés-pour-compte de la société. Là, il s'agissait des prolos qui allaient claquer leur oseille le samedi soir sur le circuit Carole ; dans son nouveau film, c'est après avoir lu "La Centrale" d'Elisabeth Filhol que lui est venue l'idée de s'intéresser aux obscurs et aux sans-grades du nucléaire, ces intérimaires employés par des sociétés de sous-traitance pour décontaminer les centrales afin de permettre à l'aristocratie ouvrière d'EDF d'intervenir.

    La dimension documentaire du film n'est pas inintéressante : les protocoles très stricts de sécurité, mais qui, en faisant peser une menace de perte d'emploi en cas d'exposition aux radiations, conduisent les employés à tricher, ou le travail d'équipe avec une hiérarchie très marquée, dans la lointaine lignée du compagnonnage. Rebecca Zlotowski est allée tourner en Autriche, dans une véritable centrale nucléaire qui n'a jamais été mise en marche et qui sert à l'entraînement des équipes d'entretien, et le choix du numérique pour les scènes dans la centrale en opposition au 35 mm pour les scènes centrées sur le couple de Gary et de Karole renforce cet aspect documentaire.

    La suite sur les Critiques Clunysiennes
    Christoblog
    Christoblog

    825 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 août 2013
    J'attendais beaucoup de la nouvelle production du tandem Rebecca Zlotowski / Léa Seydoux, dont j'avais beaucoup aimé le précédent film, Belle Epine.

    Hélas, après avoir patienté plusieurs heures à Cannes pour déguster le film dans une salle d'Un certain regard pleine à craquer, j'ai bien du me rendre à l'évidence : quelque chose dans le film cloche et l'empêche de... la suite ici :
    pierre72
    pierre72

    137 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 août 2013
    J'ai vu le chef d'oeuvre de la semaine selon les critiques. Hé bien, ils se sont trompés, c'est un navet et un beau ! Cette fois-ci, ils ont poussé le bouchon tellement loin qu'ils risquent d'être responsable de la future totale désertion du public pour le cinéma français dit d"Art et d'essai".
    Les motifs pour se ruer à la projection de "Grand central" sont nombreux si l'on en croit les critiques : Rebecca Zlotowski (la réalisatrice) fille de Renoir, grand retour du naturalisme, force inhabituelle du sujet, description lucide et impitoyable du monde ouvrier, manifeste politique et social, ... Et comme si cela ne suffisait pas, les mots "fusion" et incandescence" ont été utilisés à toutes les sauces : incandescence de Léa Seydoux, fusion des corps, ... bref de quoi électriser le futur spectateur.
    Les motifs pour sortir avant la fin de la projection le sont plus encore car il n'y a pas grand chose à sauver là dedans (juste Olivier Gourmet et Denis Menochet, comme d'habitude talentueusement présents). Le film rejette autant d'ennui que Fukushima des radiations.
    L'histoire, pas mal pompée (sauf la romance) sur l'excellent roman d'Hélène Filhol "La centrale", non créditée au générique mais tout de même évoquée dans les interviews de la réalisatrice, raconte la vie et le travail d'un groupe d'ouvriers chargés de nettoyer les réacteurs des centrales nucléaires. L'un d'eux, Garry, va tomber amoureux de Karole, la fiancée de son collègue Tony. A la merci de la moindre radiation, ces hommes et ces femmes vivent constamment au plus près du danger...
    Il y avait matière à brosser un tableau passionnant de ce sous-prolétariat, vivant en marge de la société comme des rebuts, juste bons à aller risquer leur vie pour des clopinettes afin que nos centrales nucléaires produisent électricité et bientôt catastrophe écologique. Seulement, la réalisatrice ne semble avoir aucun point de vue, se contentant de filmer platement ces forçats de l'atome, dans une succession de scènes sans intérêt qui ne nous font jamais éprouver le moindre vertige, la moindre angoisse. On a parfois l'impression que cela a été tourné dans un banal entrepôt à Rouperroux-le Coquet (riante commune sarthoise).
    Mais le pompon, c'est quand même l'histoire d'amour ! Plus tarte et plus plate, il faut rechercher dans une série Z bulgare ! Et quand en plus elle est interprétée par Tarak Rahim et sa demie expression et Léa Seydoux dont la finesse de jeu est aussi grande que le micro short qu'elle porte, on est très loin du couple mythique du cinéma qui fera rêver des générations. Ils ont beau être dénudés dans des herbes folles, aucune chaleur, aucun sentiment ne passe, ils sont deux pauvres choses posées l'une sur l'autre.
    Au passage, je dois prévenir les fans de Léa Seydoux qui doivent être nombreux vu le nombre impressionnant de couvertures de magazines que la comédienne illustre.
    La fin sur le blog
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 28 août 2013
    Bouleversant ! Enfin un film qui rappelle avant tout que le cinema est d abord un art avant d'être un produit!
    traversay1
    traversay1

    3 560 abonnés 4 859 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2013
    Déjà, le lieu. Fixer l'action de Grand Central dans et autour d'une centrale nucléaire est insolite d'autant que le sujet en est la confusion des sentiments. Rebecca Zlotowski renouvelle l'éternel triangle amoureux, par son cadre, mais aussi par son style naturaliste, intense tout en étant elliptique, à l'opposé de la majeure partie des productions actuelles qui soulignent plus qu'elles suggèrent. Il faut de la maîtrise pour conjuguer chronique sociale -le travail des forçats de l'atome, la solidarité rugueuse, le danger permanent- et contamination amoureuse. La réalisatrice réussit en grande partie ce pari même si le bon dosage est parfois difficile à trouver. Comme dans Belle Epine, il arrive que le film pêche dans sa construction et donne trop d'importance au côté documentaire, négligeant la psychologie de ses personnages. Léa Seydoux et Tahar Rahim confirment leur talent, fait de présence physique et de fragilité affective. Et ils ont des atomes crochus. Olivier Gourmet et Denis Ménochet, loin d'être des faire valoir, irradient le film de leur charisme sombre. Subtil et ténébreux, réaliste et poétique, Grand Central impose une réalisatrice dont on pressent la grande place qu'elle pourrait occuper bientôt dans le cinéma français.
    Alban P
    Alban P

    17 abonnés 137 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2013
    Ambiance terrible (bo de rob oblige), acteurs excellents. Une plongée dans l'environnement de travail d'une centrale nucléaire bien détaillée. Mais après un démarrage électrique, le film s'essouffle au même rythme que le personnage principal. Sans doute voulu, mais on reste sur sa faim.
    nicolas t.
    nicolas t.

    57 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 août 2013
    Suis très déçu. Je m'attendais à beaucoup mieux, vu les critiques et l'accueil à Cannes.
    On dirait un court métrage étiré. Les acteurs sont bons mais les personnages pas très intéressants.
    La description de la centrale et du boulot pas très passionnante, rien de neuf en tout cas.
    Le film est finalement très scolaire et assez ennuyeux. Dommage pour Léa Seydoux qui mérite mieux
    que son short trop court et sa coiffure très moche...
    Laurent M.
    Laurent M.

    8 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 28 août 2013
    Très décevant. Je ne comprends pas les critiques aussi élogieuses de la presse. Il est peut être politiquement correct d'encenser ce genre de film...
    William Spindler
    William Spindler

    13 abonnés 77 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 août 2013
    Il est tellement dommage que GRAND CENTRAL, en négligeant la définition de ses personnages et en oubliant de nous en exposer les objectifs et les désirs précis, passe totalement à côté de la force de son sujet (pourquoi ne sait-on pas plus tôt et plus clairement quelles sont les intentions profondes du personnage de LEA S. lorsqu'elle séduit TAHAR R ? La clé de l'histoire était là...).Et là où l'arène de la centrale nucléaire aurait pu dépasser le simple écho symbolique, le film s'enlise dans des séquences répétitives et contemplatives qui nous laissent sur notre fin. Dommage. Tahar R et Olivier Gourmet sont remarquables, Léa Seydoux nous a habitués à mieux...
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