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    Grand Central
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    2,9
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    278 critiques spectateurs

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    ISAO12
    ISAO12

    44 abonnés 1 041 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 septembre 2013
    Film noir qui fait très peur au delà de la réalité le danger à nos portes.
    Alex'cine
    Alex'cine

    27 abonnés 494 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 septembre 2013
    Nope nope nope... ça ne marche pas. Avec pourtant un casting prometteur et un synopsis attrayant on pouvait se laisser tenter. Alors oui les acteurs sont bons, c'est bien tourné mais il y a quand même un gros problème de fond. Une partie de l'histoire est pour moi de la masturbation intellectuelle pour bobo parisiens : regardez ces pauvres gens qui travaillent dans les centrales nucléaires, regardez comme c'est dangereux comme métier ! Oh la la la, mon dieu c'est vraiment horrible tout ces pauvres petites gens qui n'ont pas le choix de travailler dans ces centrales au péril de leur vies car ils n'ont pas d'autres solutions. Et puis les patrons qui s'en fichent de la santé de leurs employés et qui ne pensent qu'à leurs profits. Bref, une grande partie du film est complètement démagogique et manichéenne. Mais sur cette toile de fond, se trame une histoire d'amour certes extrêmement classique mais assez poétique que ce soit dans la réalisation ou les deux acteurs qui sont justes magnifiques dans leurs rôles. Donc, je reste tout de même mitigé sur ce film car je ne suis pas ennuyé non plus durant le film ! Mais certains éléments ne m'ont vraiment pas plu. On retiendra tout de même la dernière scène du film très poétique avec le son de la sirène en arrière-fond annonçant quelque de chose de "très grave" si l'on a bien suivi pendant le film..
    (A noter aussi que la fin est une fin française classique, c'est-à-dire un peu en queue de poisson)
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 622 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2013
    Gary débarque proche de la centrale nucléaire de Cruas pour se faire embaucher. Il intègre une équipe de dé contaminateurs avec laquelle il va faire corps ; tous ces intérimaires du nucléaire vivent autour de bungalows dans lesquels ils logent. Gary tombe amoureux de Karole future femme de Toni. Ils vivent un amour interdit à haut risque (adultère) ce qui fait écho à leur activité professionnelle quotidienne où la mort s’invite à terme.
    Rebecca Zlotowski fait partie de cette nouvelle génération de réalisateur français passée par la Femis qui offre souvent un cinéma bien léché, intello mais terriblement mou et désincarné. Avec Seydoux et Rahim, elle rejoue la gamme du couple maudit prisonnier d’une histoire d’amour qui les submerge et dont l’issue ne pourra être que fatale. A l’image de leur activité professionnelle. Le trip « La bête humaine » avec Gabin/Simon où le parallèle entre le rail de l’ère vapeur répondait à une relation sans issue ne fonctionne pas ici. Un scénario trop sage et trop superficiel condamne ces personnages à être simplement observés avec indifférence. Ce triangle amoureux, concept maintes fois exploité par le cinéma et la littérature, ne restera pas dans les mémoires. Zlotowski récite sa leçon avec une platitude incroyable, le tout n’est pas raté mais sans personnalité et ennuyeux. Etant dans le travail très scolaire de la bonne élève, elle ne peut s’empêcher d’enfiler le coup de foudre cliché, les crises de larmes qui nous laissent insensibles,… Ce film décrit des gens simples aux contours eux aussi très simplifiés.
    Reste la tension qu’elle parvient à entretenir tout au long du film à l’image d’un petit thriller. « La dose » de radiation admise sans mettre en péril sa vie revient de manière lancinante. La mise en abime entre cette dose de radiation nucléaire et la dose de radiation amoureuse admise pour survivre est par contre sublimement mise en scène lors de la scène du premier baisé suave entre Seydoux et Rahim. Le décor est planté solidement même si la réalisatrice n’en fait rien par la suite ; juste du bel ouvrage cousu de fil blanc.
    La description des conditions de travail des intérimaires du nucléaire soumis aux risques pour nous apporter la lumière tranche avec les conditions de travail chez « les aristos d’EDF ». Le slogan : « nous vous devons plus que la lumière » en prend un coup. Et ce message passe bien, il a donc une fonction utilitaire.
    Critiques très dithyrambiques pour un film manquant cruellement de corps… même si celui de Léa Seydoux est très souvent présent.
    Cecile M
    Cecile M

    26 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2013
    l'interet reside dans le lieu : une centrale nucleaire comme toile de fond c'est d'actualite
    Les acteurs sont bons mais il manque un truc on s'ennuie je n'ai pas d'explication, il semble long tellement long ...
    funpav
    funpav

    14 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 septembre 2013
    C'est le type même du film qui illustre le fossé entre le monde de la critique et les spectateurs. Les critiques voient dans ce film un quasi chef d'oeuvre, une ouevre impressionnante de lucidité sur le monde ouvrier, une peinture sociale sur ces travailleurs de l'ombre. Le spectateur (forcément moyen, stupide, bête, borné, inculte) ne voit dans cette succession de scènes qu'un film plat et indigent. Le ton est donné dès le début, lorsqu'on voit le personnage central sympathiser avec son pickpocket. C'est tellement normal! Et cette normalité on la retrovuera dans toutes les scènes jusqu'à la fin qu je ne raconte pas, de toute façon, comme souvent dans le cinéma français toutes les interprétations sont possibles. Si certains passages évoquent un documentaire dans ce monde des centrales bourré de radiation, on reste détaché de tous ces personnages et l'interprétation des "stars" du film est bien en deça de celle des seconds rôles. Je précise pour ceux que lea seydoux fait rêver, qu'ils ne s'attendent pas à grand chose... Bref, c'est décevant, poussif, lent, ampoulé, prétentieux... C'est donc très très très moyen... On peut ne pas voir...
    César D.
    César D.

    36 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 septembre 2013
    j'ai été constamment assailli par l'ennui pendant le visionnage de ce petit film d'auteur sans grand intérêt, si ce n'est de nous en apprendre un peu sur la vie des centrales nucléaires. les acteurs ne sont pas en cause, ils sont tous excellents, mais le sujet est rebattu, pas plus intéressant qu'un téléfilm de l'après-midi. Léa Seydoux est très jolie avec une coupe courte. ça la change de sa non-coiffure habituelle.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 novembre 2013
    Un film simple, qui nous montre à la fois une histoire banale mais à la fois on y découvre un tas de choses méconnues.
    Les acteurs sont bons...
    Je devrais le revoir, vu au festival de Cannes, c'est le seul film qui m'a marqué avec "Le passé" (ayant vu 4 autres films assez décevant)... sorti de son contexte il se peut que je sois moins enthousiaste face à GRAND CENTRAL
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 novembre 2013
    Une bonne histoire écrite autour de cette centrale, bien construite autour de personnages attachants et intéressants. Il aurait fallu s'arrêter là, et ne pas la gâcher avec cette histoire d'amour mièvre et insipide,qui ne fait qu'être empirée par la présence de Léa Seydoux, dans un jeu qui paraît non travaillé et sans grand intérêt.
    Pourtant le film avait du potentiel visuel et sonore ! Dommage.
    Frédéric Mettetal
    Frédéric Mettetal

    3 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2013
    Superbe jeu d'acteur malgré un scénario un peu mou
    Emmanuelle Halimi
    Emmanuelle Halimi

    16 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 septembre 2013
    Juste minable ; pas d'émotion, pas de dialogue , que du vide...Léa Seydoux est bovine , pas sexy pour un sou.....le scénario est mauvais , les plans aussi ...Je suis carrément sortie 15 minutes pour prendre l'air et ensuite j'etais sur FB et Candy crush.....Vous voyez le tableau ...
    PetiteCerise
    PetiteCerise

    11 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    La réalisatrice est prometteuse, mais le scénario est au final assez faible. Le film ne "prend" pas. Le thème est intéressant. L'amour y est traité d'une manière assez commune et désabusée. Pas mal sans plus.
    nathaliewell
    nathaliewell

    21 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 septembre 2013
    C’est ce que j’appelle faire du cinéma pour passer le temps ! Une idée originale à la base qui n’est pas développée. Un film qui aurait du être de société et qui se transforme très vite en une histoire d’amour sans intérêt ! Je ne comprends pas le but de cette réalisatrice de s’être contenté de « semer » des bouts d’histoires à ses personnages, pour ne jamais les développer ! Une fois de plus, le jeu de Tahar Rahim est excellent, mais cela ne suffit pas à « sauver » ce film !
    brumaise
    brumaise

    23 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 septembre 2013
    On se force à aller voir ce genre de film, pas vraiment glamour sur le papier, rassuré par les critiques dithyrambiques et unanimes. Et là, c'est le drame : un navet sans originalité, des acteurs incapables de donner corps à leurs rôles sans profondeur, un scénario digne de plus belle la vie. Bref on s'emmerde.
    Le petit monde du cinéma français a besoin d'une révolution, on touche le fond !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 27 décembre 2013
    Le film vaut le coup d'œil pour son sujet social , la vie dans les centrales nucléaires mais son histoire d'amour bancale et creuse ne touche pas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 octobre 2013
    Avec Grand Central, Rebecca Zlotowski nous raconte une histoire d'amour passionnelle ayant pour toile de fond une centrale nucléaire et les Hommes qui y travaillent. Si la vision sociale et la romance ne s’imbriquent pas toujours très bien, l'une restant tout au long du film nettement en retrait par rapport à l'autre, Grand Central reste néanmoins une œuvre forte et pénétrante.

    La chronique sociale pétrie de convictions de ce lumpen-prolétariat de centrale nucléaire est très réussie, presque documentaire par moment et littéralement passionnante. Ces hommes et ces femmes travaillent dans les centrales, au plus près des réacteurs et effectuent les tâches jugées trop dangereuses pour les agents EDF. Ce sont des personnes issues de milieux extrêmement modestes, gens du voyages plus ou moins sédentarisés pour certains, jeunes sans qualification et sans attache pour d'autres. On les voit immédiatement comme les mineurs du XXIème siècle; ils vivent et travaillent ici et aujourd'hui et on ne les connaît pas. A d'autres moments, saisissant d'autres occasions d'emploi, ils font les cueillettes dans le sud ou en Espagne. Des tomates ou autres. "Des tomates CERISES !" précise d'ailleurs un jeune personnage, comme si ça changeait quelque chose. Les contrats dans les centrales leur permettent de monnayer au mieux leur absence totale de qualifications. "La première année du CAP. Enfin, plutôt les premiers mois" pour le héros. Et sans doute comme pour la mine autrefois, le métier se paie au prix de la santé, aussi dangereux qu'asservissant, mais presque paradoxalement, il est source de fierté, d'appartenance sociale et de solidarité. Ces êtres malmenés, qui mettent leur vie dans la balance et ressentent au quotidien le poids insupportable de la peur, sont aussi fiers d'être ceux qui affrontent les radiations "pour apporter la lumière."
    Les images de la centrale nimbée de bleu électrique et des sas de décontamination sont aussi belles que saisissantes. La scène où une des femmes a le crâne rasé pour cause de compteur Geiger qui s'affole est peut-être l'une des plus fortes du film.

    Mais à côté de cette restitution très forte, l'histoire d'amour manque un peu de relief.
    Rebecca Zlotowski place les rencontres du couple adultère formé par Tahar Rahim et Léa Seydoux dans le plus bel environnement de verdure qui puisse s'imaginer: les bords d'une rivière exultant au cœur de l'été. Comme si avec l'amour, la nature gagnait pour quelques heures la bataille face à l'industrie au masque froid. Ce contraste vraiment réussi m'a rappelé les vers du Dormeur du Val de Rimbaud, où de la même façon, la plus douce des campagnes voisine avec la mort.
    "Pâle dans son lit vert où la lumière pleut."

    Peut-être par crainte d'en faire trop, la réalisatrice reste très discrète sur cette passion, n'en expliquant pas vraiment les motivations, n'en exposant qu'à peine les méandres. Cette discrétion, cette pudeur presque, nuisent à l'intensité de ce qui se voudrait comme une grande passion amoureuse et qui, malgré le charme des comédiens, reste une évocation à l'aquarelle.

    Tahar Rahim, qui m'avait déjà convaincu dans Le passé de Farhadi, est sauvage et profond.
    Léa Seydoux, dont le personnage est nettement en retrait, est quant à elle aussi à l'aise et aussi crédible dans un campement de caravanes que dans les rues du XVIème arrondissement.

    De par son approche sociale originale et percutante, Grand Central est un beau film, qui aurait mérité un grand mélo. Dommage que Rebecca Zlotowski n'ait pas osé...
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