Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
WutheringHeights
108 abonnés
930 critiques
Suivre son activité
1,0
Publiée le 15 novembre 2013
Si certaines scènes à bord du bateau sont spectaculaires, Christophe Offenstein sombre presque toujours dans une mièvrerie bébête et un contrechamp terrestre (sa famille, ses sponsors…) aussi inutile que raté. En effet, l'idée la plus audacieuse aurait été de ne jamais quitter le bateau, pour emporter le spectateur dans la solitude de cette course. Hélas, pour son premier film en tant que réalisateur, il tombe dans tous les écueils les plus agaçants, oscillant entre une image faussement humaniste et une absence totale de point de vue. Un naufrage.
Bon film, de belles images impressionnantes quand on imagine les techniciens dans des positions dangereuse pour faire les prises de vues ! Un bon scénario simple et efficace. Un bon moment sur les fauteuils rembourrés!
[...]Alors on attend patiemment que quelque chose se passe, (quoi ?, mystère), mais rien ne vient, jusqu’à l’arrivée, façon bouquet final, qui aurait pu dégager une belle émotion s’il y en avait eu le reste du film. Même ceux qui sont restés à terre, l’équipe qui suit la course depuis leur QG, sa femme et sa fille, le skipper qu’il a remplacé au pied levé, ne sont pas « dedans ».
Deux choses pourtant sauvent le film : le jeu de François Cluzet et le fait que grâce à la promo bien orchestrée, on sait que le film a été tourné en situations réelles avec une équipe de 14 techniciennes à bord, réalisant ainsi de véritables prouesses techniques.
Mais cela ne suffit pas à sauver du naufrage un film qui ne laissera dans nos mémoires que de petites vaguelettes.
Retrouvez la totalité de cette critique et bien d'autres sur:
Ah ce François Cluzet, quel caractère ! C'est tellement fait pour lui ce rôle ... en solitaire, au milieu de nul part, un brin ronchon.... Un brin ? Quand même je reste poli. Il faut pas l'embêter quoi ! Dommage pour le petit émigré à bord de son bateau qui pensait amerrir plus facilement en France ! L'histoire est bien faite, mais à des moments on peut avoir comme un "mal de mer" ... et à mon goût le jeune Samy Seghir ne joue pas très bien. Il a fait des plus belles prouesses au cinéma !
Un bon film, une bonne histoire, de bonne émotions ainsi que de bons acteurs aussi bien les personnages primaires que secondaires. On se croirait presque du voyage en mer à travers le monde en 80 jours. Bravo à François cluzet/virginie effira et leur fille ainsi que guillaume canet, le petit samir. A voir une fois suffit.
Un excellent film. En haleine d'un bout à l'autre ! Les magnifiques prises de vue et un Cluzet plus vrai que nature . Humanité est le mot de la fin ...on s'y attends un peu mais bon ...
François Cluzet interprète à merveille ce skipper des formules 1 des mers. Malheureusement le scénario est un peu mince pour rendre ce film captivant. De plus , presque tout le film est tourné en gros plan, sur le bateau, ce qui donne une image trépidante, sautillante et finalement assez désagréable. Il n'y a jamais de vue de l’ensemble du bateau, des voiles ou du spi ce qui est fort joli lorsque l'on voit les compétitions de voiliers.
Bien interprétée par un excellent François Cluzet, malgré un scénario assez convenu, cette jolie fable sportive et humaniste se laisse suivre facilement. Les images de mer sont superbes. Une bonne surprise. Le principal bémol vient du sponsor principal, DCNS, spécialisé dans l'armement naval, et là, c'est tout de suite moins fun.
Film très agréable avec François Cluzet convaincant en vieux loup de mer. Je me demandais comment faire un long métrage sans donner l'impression d'un documentaire sur la course au large. L'idée du jeune clandestin à bord permet d'ajouter des problèmes autres que comment devancer les autres concurrents. Le spectateur est constamment à bord aussi et savoure dans son fauteuil les tempêtes et autres péripéties, toutes brillamment filmées.
Il y a de cela environ 40 ans, j'avais un bon copain qui était fêlé de voile. Il n'arrêtait pas de nous les briser avec un vocabulaire et une terminologie ésotériques. Bref, il était sympa, mais chiant sur ce plan là et il avait parfaitement réussi à me faire détester tout ce qui tourne autour la navigation, de plaisance ou autre. Heureusement, la chanson de Renaud "Dès que le vent soufflera" est arrivée fort à propos un peu plus tard : elle m'a bien fait marrer et partiellement réconcilié avec ce monde un peu tordu. Mais c'est quand même avec une certaine appréhension que je suis allé voir "En solitaire". Pas mal, les scènes grandioses de mer déchaînée et... c'est à peu près tout. Assez paradoxalement, ce film manque singulièrement de souffle. C'est plat, c'est creux (à part celui des vagues), ça manque d'âme et de passion, bref, c'est à la limite rasoir. En plus le titre "en solitaire" est un peu usurpé quand on voit le déploiement logistique autour de cette course et l'inflation des moyens électroniques mis à la disposition des "skippers". Je m'attendais en fait à un scénario plus enlevé, avec un minimum de suspense et rien n'est venu, ou peu de choses. Un petit plus pour la scène finale de l'arrivée aux Sables l'Olonne qui est magnifique et plutôt grandiose
Une épopée hors du commun ou se mêlent volonté, humanité, humilité et générosité. Des images magnifique pour peu que l'on aime l'océan. C'est plaisant de toucher du doigt ce que peut la vie de ces hommes et femmes pendant cette régate extraordinaire.
Un très beau film, la course d'une vie pour cet homme courageux, légèrement méprisé par son beau- frère, des plans magnifiques et cette histoire d'amitié entre ces deux hommes que tout sépare est bouleversante.