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Un visiteur
3,5
Publiée le 30 mai 2014
Encore un grand film de François Cluzet. On s'attache à ce skipper du Vendée Globe avec de superbes images de mer qui nous font vivre son périple "de l'intérieur". Le gamin clandestin qu'il transporte est attachant également. Le tout donne une histoire pleine de valeur humaine et de cœur. Un bon film.
Ce film m'a clairement divisé. D'un côté l'histoire "cul-cul la praline" de la famille recomposée, la gentille belle-mère qui apprivoise la petite fille sauvageonne qui fait preuve de jalousie parcequ'en fait elle regrette sa maman, et de l'autre des images magnifique de la course, merveilleusement filmée (notamment les scène de tempêtes), et une relation marin/clandestin plutôt bien retranscrite et touchante. Au final, 3/5, un bon film du dimanche soir afin de rattaquer gentiment la semaine.
On se laisse entraîner dans cette aventure qu'est le vent des globes, sans s'ennuyer et au contraire en étant tendu par moment; puisqu'on est vraiment sur ce bateau; dans cette course, par tous les temps et toutes les mers. Cluset est comme d'habitude très crédible dans son rôle. Après, tout ce qui est en parallèle de cette course, est traité de manière trop superficielle, notamment la relation avec ce passager clandestin et tout ce qui en découle.
mis à part le côté un peu trop romanesque, on passe un bon moment en compagnie de François Cluzet assez convaincant dans son rôle de marin têtu. L'immersion dans ce monde est grandiose, on y croit vraiment, jusqu'à ressentir la peur de ces aventuriers. Je ne connaissais pas ce milieu, du moins de l'intérieur et je vais dorénavant le suivre avec beaucoup plus d'admiration, sans pouvoir m'empêcher de penser qu'ils sont un peu timbrés quand même!!!
Lors du Vendée-Globe, un jeune migrant réussi à monter sur le bateau d’un navigateur lors d’un arrêt technique aux Canaries. Tourné en conditions réelles, « En Solitaire » est visuellement bluffant et doit énormément à la performance du grand François Cluzet. Le scénario lui procure d’ailleurs une domination total de l’écran, écrasant pour le coup tous les seconds rôles qui, par manque de consistance, se retrouvent quelque peu à la dérive.
Réalisation typiquement française, En Solitaire parvient tout de même à captiver le spectateur dans le périple en mer de Yann sur le parcours du Vendée Globe. On est tout de même gêné par l’omniprésence du logo de DCNS qui finance en grande partie ce long-métrage de Christophe Offenstein. Ce dernier n’a d’ailleurs pas prit de grand risque en composant son équipe. Un François Cluzet qui n’a plus rien a prouver de son talent, un Guillaume Canet qui fait ses preuves outre mer, une Virginie Efira, nouvelle coqueluche populaire et un Samy Seghir pour jouer le bon et jeune immigré alors que celui-ci est lui-même français. Bref, En Solitaire séduit surtout pour ses vagues, la navigation et quand même Cluzet. Mais le tout reste trop facile pour être exceptionnel. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
Ah merde...on n'est pas surpris une seule seconde. On comprend exactement comment le film va se dérouler dès l'arrivée du gamin. Cluzet nous a habitué à mieux sur ses derniers rôles ; "En solitaire" ne passionne pas et nous gave avec cette musique incessante essayant d'attraper notre coté émotionnel. Au final on s'ennuie et on préfèrera largement une expérience à la "All is lost" pour rester dans le registre maritime.
On passe un bon moment avec cette aventure humaine en pleine mer mais il manque un je ne sais quoi pour être totalement conquis. Peut-être à cause d’un scénario qui ne donne pas assez d’importance aux personnes restées à quai, comme la famille du navigateur ou son staff technique, très important et pourtant faiblement évoqué ? En tout cas, très belle prestation, comme toujours, de François Cluzet.
Doté d'un scénario très réaliste, "En Solitaire" entraîne le spectateur dans une histoire touchante et humaine. La réalisation nous offre un travail très réussi avec des scènes prenantes. Quant aux acteurs, ils sont excellents, surtout les protagonistes. Ainsi, le film est captivant et divertissant jusqu'au bout.
« En Solitaire » est bluffant pour plusieurs raisons : le réalisme, l'excellente interprétation de Cluzet et la fable entraînante de l'homme face à la mer. Il pêche néanmoins sur d'autres points : par exemple lorsqu'il donne de l'importance aux intrigues parallèles, ou lorsqu'il est soudoyé par les pubs.
On ne s'ennuie pas une seule seconde avec cette pléiade d'acteurs excellents, en plus c'est un film retraçant une histoire vraie, comme on fait aux us.
Ce film est un huis-clos dans lequel l'océan tient une place prépondérante mais il faut compter aussi avec l'interprétation remarquable de François Cluzet qui porte le film sur ses épaules. Il n'en reste pas moins vrai que nous vivons deux suspense en parallèle: une compétition sportive et un suspense humain. Ce film m'a donc tenu en haleine jusqu'au bout et ce n'était pas gagner d'avance avec ce même fond de décor, certes très changeant au fil des jours.
C'est pas mal, une aventure en mer qui change un peu de ce qu'on a l'habitude de voir à la télévision. Les images sont jolies et une belle BO surtout. A voir, c'est dépaysant de faire le tour du monde en solitaire. En tout cas, ça me plairait beaucoup à moi d'avoir un magnifique bateau comme Cluzet dans le film et pouvoir faire le tour de l'Antarctique en longeant le cap de Bonne-Espérance, le cap Leeuwin et le cap Horn. Etre dernier de la compétition ne me dérangerait pas d'ailleurs. L'important, comme on dit, c'est d'y participer.
Si vous êtes du genre à avoir le mal de mer même au cinéma, mieux vaut ne pas tenter le diable ! On embarque en effet en compagnie de François Cluzet pour cette incroyable compétition du Vendée Globe avec de somptueuses images. Même si on n’est pas forcément attiré par cet univers maritime, il y a quelque chose de fascinant voire de relaxant à voir ces bateaux filer au gré du vent. S’il n’y a rien à redire sur la prestation de Cluzet, c’est au niveau du scénario qu’En solitaire prend un peu l’eau. Il ne se passe rien de très passionnant durant cette course et même la relation entre Yann & Mano nous laisse sur faim. Sans compter que les quelques scènes qui nous ramènent sur la terre ferme sont tout simplement inutiles.