Avis : Eyjafjallajökull - Page 2

Pas grand chose à retenir de ce film aux gags éculés et au scénario plus que faible, à part son titre, mais ça c'est impossible

"Eyjafjidjushinijfdoksgkp", c'est un condensé de tout ce qui se fait de pire dans la comédie française. Fade, sans idées et absolument pas drôle...

Valérie (Valérie Bonneton) et Alain (Dany Boon) doivent se rendre en Grèce pour assister au mariage de leur fille. Malheureusement, l'éruption du volcan Eyjafjallajökull en Islande va perturber le trafic aérien européen dont le vol du couple.
Ils vont devoir rejoindre leur destination par la route. Commence un road movie, sachant que Valérie et Alain sont séparés, ne se voient plus et même se détestent. Ils vont leur arriver pleins de péripéties jonchées de rencontres.
Malheureusement, les situations ne sont pas drôles, voir même grotesques et les deux personnages sont antipathiques.

Un film qui sera très vite oublié.

débilité , platitude , tous les ingrédients d'un super navet .

Je sors de la séance et je regrette le prix de ma place : Minable !!! j'ai espéré jusqu'au bout une scène qui me ferait rire mais en vain !

Que Valérie Bonneton reste à "fais pas çi fais pas ça" où elle est très drôle et Dany Boon à ses One Man Show.
Je ne le conseillerai pas.

Franchement très déçue car je n ai pas voulu me fier aux critiques et j aurai mieux fais car on rigole dix minutes et ensuite c est ennuyeux et limite lourd pour certaine scène. Donc bien réfléchir avant d y aller je m attendais a mieux venant de Danyboon

film nul rien d'autre a dire. Tout est mauvais, le scenario, les acteurs meme pas de belles images sur la grece

Franchement franchouillard, rires gras et si rares ( 1 fois toutes les 15 minutes ... ). J´attendais beaucoup mieux ...

Depuis "Bienvenue chez les ch’tis", Dany Boon est devenu la tête d’affiche préférée des producteurs de comédies françaises… en même temps qu’un des acteurs les plus décevants de ces dernières années. Comment l’humoriste (qui était, il y a peu encore, un second rôle apprécié) peut-il, à ce point, refuser de se renouveler et, surtout, comment peut-il planter quasiment tous les films auxquels il a participé depuis son coup de force ch’ti ? Entre "De l’autre côté du lit", "Rien à déclarer" ou encore "Un plan parfait" (pour ne citer qu’eux), Dany Boon se perd systématiquement dans des rôles mal taillés (où il tente de se faire passer pour un séducteur !) et des dialogues poussifs. On pensait, cependant, que cet "Eyjafjallajökull" (titre définitivement imprononçable auquel il convient de préférer "Le Volcan", comme le suggère l’affiche) viendrait mettre un terme à la malédiction… surtout avec la présence de l’excellent Valérie Bonneton à ses côtés. Malheureusement, le film vient confirmer que le cinéma comique français est bel et bien rongé par un mal quasi-incurable : le refus de toute audace sur le plan de l’écriture et de la mise en scène. A quelques exceptions près (voir le récent "Les Gamins"), on a droit, encore et toujours à ces gags bas de plafond (voir cartoonesques), à ses dialogues déjà entendus mille fois et à son intrigue monstrueusement prévisible. Le seul souci des producteurs réside visiblement dans la mise en avant de leurs deux têtes d’affiche, surexploités jusqu’à la moelle (ils sont de tous les plans et ne laissent pas les autres personnages exister, à part, peut-être, le routier évangéliste incarné par Denis Ménochet.. et encore) et omniprésents sur les plateaux TV lors de la promo. C’est oublier un peu vite qu’un film s’apprécie avant tout par ses qualités intrasèques, qui sont ici très minces. Après un entame pleine de promesses (avec la présentation des deux parents et leur haine réciproques à coups de dialogues vachards), on rit parfois d’un gag moins pataud que les autres ou d’un bon mot mais c’est bien insuffisant pour faire oublier le gros problème de ton du film. A trop vouloir accentuer la haine entre les deux parents, le réalisateur Alexandre Coffre a rendu son film agressif sans pour autant penser à désamorcer les tensions… ce qui n’est pas particulièrement propice à la comédie pure. A croire que le réalisateur a voulu faire "La Guerre des Roses" à la française, les rires gras en plus. Résultat : le film n’est que très rarement drôle… mais souvent gênant. La violence des échanges entre les deux ex (qu’elles soient verbales ou physiques) dépasse souvent les limites de l’acceptable, tout comme les crasses qu’ils se réservent (qu’y a-t-il de drôle à faire perdre son boulot à son ex ou à l’abandonner seule la nuit sur le bord de la route dans un pays étranger ?). "Eyjafjallajökull" est, donc, le parfait exemple du mal qui ronge les comédies françaises depuis quelques années, qui sombrent, les unes après les autres, avec leur intrigue bas de gamme, leur mise en scène sans intérêt, leurs dialogues insipides et, plus généralement, leur formatage télé. Et ça n’a pas l’air de vouloir s’arranger…

On sourit de temps en temps , sans plus .
Les situations sont trop artificielles et grotesques pour faire rire .
en fait je n'ai pas été convaincue par le jeu du duo .

Il est impensable de voir autant de moyens dépensés pour une comédie d’une telle vacuité. L’histoire promettait pourtant un road-trip endiablé façon "Un Ticket pour Deux" : Alain et Valérie ne peuvent plus se supporter mais quoi de plus normal pour un couple divorcé ? Manque de pot nous sommes le 20 mars 2010 et l’avion devant les emmener en Grèce pour le mariage de leur fille est cloué au sol à cause de l’éruption d’un certain volcan islandais au nom imprononçable. S’en suit une cohabitation houleuse à travers différents moyens de locomotion… Alexandre Coffre signe ici son deuxième long-métrage et s’offre un duo de choix pour les rôles principaux, Danny Boon qu’on ne présente plus et Valérie Bonneton vue dans la série "Fais pas ci, fais pas ça" et "Les Petits Mouchoirs". Tous deux jouent leurs rôles habituels, lui le bafouilleur ch’timi et elle avec la gouaille qu’on lui connait. Comme biens souvent les meilleurs gags se trouvent dans la bande-annonce, les autres plus rocambolesques et maladroits les uns que les autres font prendre une tournure très relative à l’intérêt comique de ce divertissement. Les seconds rôles, qui aurait pu apporter un plus, se comptent sur les doigts d’une main et leur impact est minimaliste. En conclusion il est n’est compliqué de dire qu’ "Eyjafjallajökull" est une énième comédie cherchant à surfer sur la côte de popularité de Dany Boon comme si cela allait compenser son manque total d’inventivité.

J'ai merdé, j'ai merdé. J'ai regardé ce film, et maintenant je le regrette amèrement. Déjà, je décide que je ne prononcerai pas ce titre de toute ma critique, et que je n'essaierai plus jamais de le dire d'ailleurs. C'est une honte de pondre des titres aussi merdiques. Ça et dire aux spectateurs "allez vous faire foutre", c'est la même chose. Bon, ensuite, qui est le sombre crétin qui a eu l'idée débile de pondre un scénario comme ça ? Qu'il se dénonce sur le champ, il faut le brûler. Non, mais sérieux, quel gars peut se dire qu'il va faire un road trip incluant un cinglé fan de dieu qui conduit une caravane-église ? Quel con peut faire croire aux spectateurs que quelqu'un est capable de voler une caisse de flic, et ensuite un avion alors qu'il n'a jamais piloté de sa vie, si ce n'est sur un ordinateur ? Enfin quel abruti peut nous faire croire qu'un commissaire, après avoir vu toutes les infractions que les héros ont fait, est capable de les laisser partir juste parce que la meuf guérit son clébard ?! J'ai relevé seulement trois aberrations mais le film en est truffé du début à la fin, c'est incohérent, super convenu avec un fil linéaire que j'ai déjà vu des milliers de fois dans ma vie en regardant un film. En plus, on ne rigole quasiment jamais. En fait, on ne rigole jamais, on sourit au pire. Allez, deux ou trois fois maximum, pas plus. Mais, y'a aucune bonnes idées. Les acteurs sont en roue libre, surtout Dany Boon. Il arrive à être marrant par moment, y'a deux ou trois bons trucs mais c'est pas assez. Et puis, merde, y'a des trucs franchement honteux. Bonjour la violence dans le couple, que ce soit physique ou oral, c'est assez honteux et pas franchement recommandable par moment. Je veux bien qu'il faille prendre des risques par moment et au moins le film a pour mérite d'essayer de transgresser les règles sur ce point. Mais c'est vraiment raté, la violence sur les femmes (et tout court) quand c'est mal traité, c'est pas bon. Et là c'est vraiment pas bon. J'ai même réussi à ressentir de la honte par moment parce que ça fait vraiment l'apologie de la violence par moment. Surtout que le message de fin est pas vraiment positif. Tout ce que j'ai compris en regardant le film et en mettant mon cerveau en mode off, c'est : battez vos ex-femmes, si vous êtes divorcés, couchez avec, et mentez à votre nouvelle femme. Super, merci. À éviter.

Oh l'ennui !!! Je ne pensais pas me plier en deux, mais au moins sourire un peu, une fois passé le "tu me tiens par la barbichette", je me suis ennuyé comme un rat crevé. Niais comme ce n'est pas permis pour finir sur un happy end classique, ce film au titre imprononçable mérite d'être jeté dans le volcan. Dans le genre couple déchiré, je vous conseille "La guerre des Rose", d'un niveau supérieur.

Mauvais , cadre et photo indignes . Scénario vide ...
Honte aux techniciens du cinéma français
Les producteurs ont du marger un Max ...

Ça crie, ça braille, ça s'agite pour pas grand chose, ça surjoue, c'est plutôt pénible. Seul point positif, l'histoire est bien pensée et c'est peut-être vraiment passée à l'époque de cette incroyable épisode volcanique.