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Xavi_de_Paris
303 abonnés
2 854 critiques
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2,5
Publiée le 7 septembre 2014
"Eyjafjallajökull" s'inscrit dans la longue lignée des comédies mettant aux prises deux acteurs (un homme et une femme) à l'antagonisme exacerbé. Les premières minutes laissaient augurer une comédie très classique sur ces rapports là... Impression confirmée par la suite. Le scénario est cousu de fil blanc et la fin sans surprises, comme tout le film d'ailleurs. Cependant, le tout ne manque pas de rythme ni d'une relative fraîcheur, empêchant l'ennui général. Dany Boon est pas mal, Valérie Bonneton moins convaincante. Presque aussitôt vite vu qu'oublié.
Malgré un scénario original, Eyjafjallajokull se plante en beauté... Les gags sont téléphonés, j'ai rigolé 3 à 4 fois seulement, ce qui pour une comédie n'est pas assez selon moi. Le déroulement du film propose quelques bonnes surprises malgré tout et Valerie Bonneton maitrise le rôle de la l'ex femme chiante à la perfection.
Malheuresement ces quelques bonnes idées n'arrive pas à le sauver du triste sort qui est le sien, celui d'une comédie française de bas étage, qui ne vaut pas le coup d'être vu...
2 étoiles pour quelques bonnes idée et bonnes vannes,mais c'est à éviter.
Profiter d'un fait divers pour en faire un film, cela peut être une bonne idée mais pas a n'importe quel prix... Le film est proche du néant. Le scénario est a la limite du ridicule et les acteurs tentent de surnager tant bien que mal. Certains passages font sourire mais on est bien loin de la franche comédie que l'on était en droit d'attendre au vu du casting et de la bande annonce...
Et ben, c'est pas terrible tout ça...Bien qu'il puisse y avoir deux-trois choses drôles dans l'histoire, l'ensemble est assez fade et on devine les gags à des kilomètres...Ceci dit, le couple Dany Boon - Valérie Bonneton fonctionne plutôt pas mal (heureusement) mais ça ne suffit pas pour en faire une comédie qui restera dans les mémoires. Dany Boon déçoit dernièrement avec ses choix...
Une comédie avec Dany Boon qui n’atteint pas les 2 millions d’entrées est aujourd’hui considérée comme un semi-échec (1,8 millions en verité) . C’est la mésaventure qui est arrivée à « Evjafjallaökull » d’Alexandre Coffre qui a pourtant bénéficié d’un budget plus que confortable à l’échelle nationale (20 millions d’euros). La première demi-heure calamiteuse explique en grande partie la déception ressentie à la vision de cette confrontation plutôt séduisante sur le papier entre Dany Boon, le lunaire et Valérie Bonneton, l’explosive. L’idée de départ était pourtant tout à fait calibrée pour conduire le couple vers le succès. Deux ex-époux se retrouvent obligés de faire route commune pour se rendre en Grèce au mariage de leur fille suite aux perturbations du trafic aérien dues à l’éruption d’un volcan islandais en sommeil depuis 1821. Une cohabitation forcée, très bon point de départ pour une joute homérique, recette classique ayant fait le succès de ce type de comédie survoltée depuis « New York-Miami » de Frank Capra (1934) jusqu’au « Sauvage » de Jean-Paul Rappeneau (1975), sans parler des duels amoureux entre Cary Grant et Katharine Hepburn chez Howard Hawks. Malheureusement, l’entame destinée à planter le décor d'un road movie mouvementé où les petites vacheries et coups foireux vont se multiplier jusqu’à une complicité dans l’adversité, est grotesque à souhait, multipliant les invraisemblances et les fausses notes de goût. On se dit alors que l’on va avoir du mal à supporter encore une heure en présence de ces deux-là dont la haine qui les oppose semble bien trop factice pour un couple qui s’est tout simplement séparé pour incompatibilité d’humeur. Cette accumulation d’invraisemblances (Dany Boon dans le coffre d’une Porsche suite à un stupide pari) ne tarde pas à agacer fortement rendant le couple vedette antipathique ce qui est à l’opposé de la recette habituelle du genre . Heureusement les scénaristes ont eu une inspiration géniale avec l’intervention divine ( c'est bien le mot !) de Denis Ménochet qui grâce à son personnage complètement « barré » d’ancien serial killer reconverti en prêcheur halluciné relance complètement l’affaire, faisant prendre au film un virage destroyed bienvenu qui rappelle le trop méconnu « Fallait pas ! » de Gérard Jugnot (1996). Merci donc à Monsieur Menochet qui redonne un de fouet salutaire aux deux acteurs principaux englués pourtant habituellement plutôt convaincants.
Exaspérant. Ça me désespère les gens qui se font des vacheries comme ça ! Si vous aimez l'humour qui donne dans l'exagération, ce film devrait vous plaire.
Casse croûte, classique et sans surprise. Quelques gags bien sentis pour un film sans prétention. Une jolie photo et une bande son sympa, mais le tout est vraiment sans âme...
14 081 abonnés
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2,0
Publiée le 1 juin 2014
"Eyjafjallajökull" (copiè-collè oblige), un titre volontairement imprononçable! Avec le temps, les gens appelleront ce film « Le volcan » , vous savez ce truc islandais avec Dany Boon et Valèrie Bonneton! Sans ce volcan, il n'y a pas d'histoire! Celle d'un couple de divorcès qui se dètestent et qui se retrouvent bloquès en Allemagne! ils sont donc obligès de faire la route ensemble pour aller en Grèce marier leur fille! Accident de voiture en Autriche, vol d'une camionnette et d'un avion, tentative de fuite et barbarie sur une espèce protègèe en Albanie! Tout ça en trois jours! Fèlicitations! Pourtant tout ce que veulent Valèrie et Alain (Bonneton et Boon, complices...au service de la malice), c'est juste aller au mariage de leur fille qui se marie dans un petit village de Grèce! Ça va être compliquè [...] Pas du meilleur Dany Boon acteur cependant! Juste une comèdie d'aventures parfois exagèrèe où l'on change de dècor à chaque scène! Un condensè d'Europe entre l'Allemagne, l'Autriche et la Croatie (et non la Grèce) avec la magnifique île de Cres en dessert! Les ingrèdients sont rèunis, mais l'ensemble est mècanique, donne ègalement une impression de dèjà vu! De plus, les gags s'enchaînent sans aucun lien logique entre bagarres et cascades spectaculaires! A trop vouloir en faire, le film de Alexandre Coffre se perd finalement! Dommage pour un tel duo et surtout pour un tel budget (20 000 000 €). On notera quand même les dècors de cartes postales, la performance barrèe et irrèaliste de Denis Mènochet ( « Merci Jèsus Christ ! » ) et le clin d'oeil èmouvant pour la chanson « Cècile ma fille » , de Claude Nougaro, que chantent Boon et Bonneton pour la très superficielle Bèrangère McNeese! A voir en famille, un dimanche soir sur TF1...