Derniers Avis : Eyjafjallajökull - Page 3

On sourit parfois, vite fait, dans ce fade Guerre des Rose franchouillard, suite de situations insensées plus que loufoques. Pour du Boon, on n'attendait pas un chef-d'œuvre de réflexion, mais au moins des vrais gags. On cherche encore.

Une véritable catastrophe pour un mec qui s'est vraiment pris pour le nouveau Bourvil !

Insupportable... Humour lourd, si on peut appeler ça humour...
On sort de ce film de mauvaise humeur...

Et oui ! On s'y attendait mais on y va quand même...Maso?!
C'est facile, prévisible, le scénario est délirant. On y croit pas une seconde. On n'est pas embarqué. Mais que voulez-vous c'est grand public ! C'est rageant que ces navets aient du succès.
Petit bémol, j'étais contente de voir Valérie Bonneton dans un autre rôle que Madame LEPIC.

Il n'y a vraiment pas grand chose qui sauve ce film qui ne restera pas dans les mémoire, c'est lourd voire lourdingue. Les visiteurs à coté c'est un peu ce que Mozart serait à Clayderman.
Si vous avez le rire facile et l'esprit de même accabi, vous devriez être satisfait, ce ne fut pas mon cas.

Un bon film doit se faire sans Dany Boon. Désolé mais ce film est très nul. Je suis très gentille quand je mets 1,5/5

Eyjafjallajökull, Le pire road movie que j'ai vu, on a le droit a encore une fois de plus à Dany Boon que je ne supporte pas, ce film n'est pas drôle, ennuyeux, et prévisible.

Depuis "Bienvenue chez les ch’tis", Dany Boon est devenu la tête d’affiche préférée des producteurs de comédies françaises… en même temps qu’un des acteurs les plus décevants de ces dernières années. Comment l’humoriste (qui était, il y a peu encore, un second rôle apprécié) peut-il, à ce point, refuser de se renouveler et, surtout, comment peut-il planter quasiment tous les films auxquels il a participé depuis son coup de force ch’ti ? Entre "De l’autre côté du lit", "Rien à déclarer" ou encore "Un plan parfait" (pour ne citer qu’eux), Dany Boon se perd systématiquement dans des rôles mal taillés (où il tente de se faire passer pour un séducteur !) et des dialogues poussifs. On pensait, cependant, que cet "Eyjafjallajökull" (titre définitivement imprononçable auquel il convient de préférer "Le Volcan", comme le suggère l’affiche) viendrait mettre un terme à la malédiction… surtout avec la présence de l’excellent Valérie Bonneton à ses côtés. Malheureusement, le film vient confirmer que le cinéma comique français est bel et bien rongé par un mal quasi-incurable : le refus de toute audace sur le plan de l’écriture et de la mise en scène. A quelques exceptions près (voir le récent "Les Gamins"), on a droit, encore et toujours à ces gags bas de plafond (voir cartoonesques), à ses dialogues déjà entendus mille fois et à son intrigue monstrueusement prévisible. Le seul souci des producteurs réside visiblement dans la mise en avant de leurs deux têtes d’affiche, surexploités jusqu’à la moelle (ils sont de tous les plans et ne laissent pas les autres personnages exister, à part, peut-être, le routier évangéliste incarné par Denis Ménochet.. et encore) et omniprésents sur les plateaux TV lors de la promo. C’est oublier un peu vite qu’un film s’apprécie avant tout par ses qualités intrasèques, qui sont ici très minces. Après un entame pleine de promesses (avec la présentation des deux parents et leur haine réciproques à coups de dialogues vachards), on rit parfois d’un gag moins pataud que les autres ou d’un bon mot mais c’est bien insuffisant pour faire oublier le gros problème de ton du film. A trop vouloir accentuer la haine entre les deux parents, le réalisateur Alexandre Coffre a rendu son film agressif sans pour autant penser à désamorcer les tensions… ce qui n’est pas particulièrement propice à la comédie pure. A croire que le réalisateur a voulu faire "La Guerre des Roses" à la française, les rires gras en plus. Résultat : le film n’est que très rarement drôle… mais souvent gênant. La violence des échanges entre les deux ex (qu’elles soient verbales ou physiques) dépasse souvent les limites de l’acceptable, tout comme les crasses qu’ils se réservent (qu’y a-t-il de drôle à faire perdre son boulot à son ex ou à l’abandonner seule la nuit sur le bord de la route dans un pays étranger ?). "Eyjafjallajökull" est, donc, le parfait exemple du mal qui ronge les comédies françaises depuis quelques années, qui sombrent, les unes après les autres, avec leur intrigue bas de gamme, leur mise en scène sans intérêt, leurs dialogues insipides et, plus généralement, leur formatage télé. Et ça n’a pas l’air de vouloir s’arranger…

Le film dure seulement 1h30, mais on a l'impression qu'il dure une éternité. On ne s'attache pas aux personnages, les scènes sont souvent exagérées et ne font pas du tout rire. Cependant, les acteurs jouent bien leur rôle.

Je n'ai pas pu aller jusqu’à la fin, ennuyant à mourir et absolument pas drôle.

Calamiteux. Réellement, Dany Boon s'écrase dans des comédies qui ne veulent plus rien dire. Que pensez du titre du film, totalement incohérent et impossible à dire et ça a sûrement fait venir peu de public. L'humour n'est pas là, mis à part quelques blagues très lourdingues et indignes de Dany Boon. Réellement, on tombe dans un film avec trop d'éléments mais vraiment peu intéressants. Eyjaj...... est un film vraiment mauvais, comme chaque année le cinéma français nous en sort plusieurs.

Mauvais, très mauvais
pas marrant pour deux sous.
Valérie Bonneton y est insupportable

Comme souvent avec ces comédies françaises à gros budget le commentaire se résume à : "poussif", "quelques sourires"... Mais honnêtement, au vu du budget et du casting de prétendues stars, c'est un travail médiocre tant dans le jeu que dans la réalisation !

Même si je ne m'attendais pas à LA comédie de l'année, j'osais au moins espérer quelques scènes drôles. Mais non, encéphalogramme plat. Hormis de beaux paysages et l'excellente Valérie Bonneton, le film tombe à plat à chaque passage où l'on attends LA scène drôle. Aussitôt vu, aussitôt oublié.

Pas grand chose à écrire sur cette "comédie" qui ne fait presque pas rire ! Un casting très moyen n'aide pas a la réussite de ce film. Au lieu de laisser nos ex-époux dans l'avion et à l'aeroport, Alexandre Coffre les fait voyager et accumule les quiproquos aussi imprévisibles qu'inutiles. Passez votre chemin...