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César D.
36 abonnés
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3,0
Publiée le 20 janvier 2015
visuellement plaisant, j'ai aimé son ambiance rétro. par contre pour les frissons, on repassera. absolument rien ne fait peur, ni même inquiète. c'est comme un livre qu'on lirait à un enfant le soir autour d'un feu de camp.
La dame en noir est de retour, et elle n’est toujours pas calmée! On retrouve beaucoup de choses du premier film (qui était très bon!), cette formule classique de l'horreur remis au goût du jour et assez efficace. On angoisse, on sursaute, ça marche quoi! Mais au final, cette suite n'est pas aussi inspirée et les personnages font un peu plus clichés. J'ai aussi personnellement été refroidi par une incohérence au 2/3 du film qui m'a déçu. Dommage car avec un peu plus de travail, il était aussi bon que son modèle! En résumé, une bonne suite tout de même, mais un poil moins bien que le premier!
N'ayant pas vu le premier, je ne peux pas juger si ce second film est mieux ou pas mais je peux dire que ce film ne m'a pas enthousiasmé. Un scénario classique comme on a pu voir dans d'autres films et rien de surprenant. Un casting pas trop mal dans l'ensemble mais sans plus. Dans ce film, il est clair que la mise en scène avec les musiques sont bien maîtrisés pour nous donner quelques frissons d'où l'intérêt d'un film épouvante mais à certains moment, je remarque que c'est un peu exagéré pour nous effrayer sans raisons par rapport à l'histoire du film. Le décors, il n'y a rien dire, un vrai, vétuste et grand manoir où on n'aimerait pas y dormir seul. Bref, ce film ne sera pas dans mon top des films épouvantes que j'ai déjà vu pour le revoir.
Déjà que le premier épisode ne m’avait pas laissé de grands souvenirs, voilà que cette suite se passe également des services de Daniel Radcliffe. La dame en noir 2 : L’ange de la mort se déroulant 40 ans après son prédécesseur, ce sont de nouveaux protagonistes qui font leur apparition. Avec une histoire qui prend racine en pleine Seconde Guerre Mondiale, on s’attendait à ce que le film tire davantage profit de cette atmosphère particulière mais ce n’est pas le cas. On préfère revenir à ce qui caractérise le Jump scare avec les banales portes grinçantes et apparitions inopinées pour tenter de surprendre les spectateurs. A la recherche de grands frissons ? Allez voir ailleurs !
Après un premier film à l'épouvante bien réussie, la dame en noir revient dans un scénario indépendant se situant en Angleterre pendant la seconde guerre mondiale. Exit Daniel Radcliffe, les personnages sont cette fois-ci huit écoliers accompagnés par leur directrice et leur enseignante dans une vieille demeure abandonnée au large de la côte afin d'échapper à la guerre. Très classique dans son déroulement, il entretient cependant une bonne ambiance horrifique malgré les apparitions prévisibles et les procédés maintes fois déjà vus. Le scénario reste très similaire à celui du premier film, avec une tentative de background pour Eve Parkins pas trop mal mais un peu tirée parles cheveux. L'efficacité des plans et l'ambiance musicale sauvent le film de la mauvaise banalité.
Fin 2013, les mythiques studios Anglais de « La Hammer » (« Frankenstein », « Dracula », etc...) débutent leur résurrection avec « La dame en noir ». Cette œuvre se révèle vite une excellente surprise et devient même le film d'horreur Anglais le plus rentable de ces 20 dernières années (130 millions de dollars de recettes à l'international). Forts de ce succès, les scénaristes écrivent immédiatement une suite qu'ils proposent à un jeune réalisateur inconnu, Tom Harper. Le résultat est légèrement décevant mais se place, quand même, à un niveau très correcte. L'histoire nous emmène cette fois au cœur de la seconde guerre mondiale, sur une île isolée où sont réfugiés deux enseignantes et huit élèves pour échapper aux bombardements de Londres. Leur quiétude est rapidement troublée par une mystérieuse et terrifiante apparition qui s'acharnent contre eux. Les effets horrifiques ne sont pas forcément très novateurs mais ils ont fait leur preuve et restent diablement efficaces. On sursaute donc souvent, même si le film reste plutôt académique et prévisible. Ceci dit, cette nouvelle « Dame en noir » se révèle agréable à suivre même sans la star, Daniel Radcliffe, qui est probablement à l'origine d'une bonne partie du succès du premier opus. Je parierais bien ma chemise qu'un troisième épisode ne tardera pas à voir le jour....
Le film, en terme d'angoisse, fait un bel hommage au premier film. Mais où en sommes nous niveau scénario ? Peu de personnages, les personnages ne semblent pas avoir une grande histoire et l'on ne nous rappel pas d’événements liés au premier film. De nombreuses scènes et propos incohérent avec le premier film. Cependant, la performance des enfants dans ce film mérite de large félicitations sur le choix du casting, même si la performance chez les adultes ne surpassent pas ceux du premier film. Mais si vous cherchez des cris ou une forte angoisse en salle (ou en DVD), vous ne serez pas déçu.
La dame en noir épisode 2. Il fallait bien le faire puisque le 1 avait bien marché, ceci dit nous ne sommes pas devant une suite car le 1er film se suffisait à lui même et c'est aussi le cas de celui ci. La franchise Hammer avait été relancée suite à ce succès imprévu et compte bien surfer sur la vague malheureusement on est plus proche de la balade tranquille en stand up paddle que de l'ivresse du surf. Toutes les coutures de ce film sont visibles à des km, on joue sur l'ambiance (très bonne certes) et sur les "bouuuuuh je t'ai fais peur hein" qui à la longue ne font justement plus peur à personne. Les acteurs eux sont bons et bien dans leurs rôles mais cela ne suffit pas à en faire un bon film
Déjà pas franchement original, La dame en noir premier du nom possédait au moins le charme des vieilles productions Hammer et profitait du talent charismatique de Daniel Radcliffe. Ce n’est pas le cas de cette suite opportuniste qui recycle avec bien moins de talent tous les éléments vus dans le premier volet. Rien de nouveau à se mettre sous la dent donc, sauf des acteurs endives qui n’ont aucun charme et des effets éculés. Reste le cadre toujours aussi fascinant de cette île perdue dans la brume et un dernier quart d’heure plutôt efficace. C’est tout de même un peu maigre.
Ce second volet interprété par de convaincants comédiens est pourvue d'une ambiance de qualité et des effets très réussis même si le scénario, prévisible et peu original, subit de nombreuses longueurs et se révèle bien inférieur au précédent opus. Divertissant.
Plus faible, moins haletant et très convenu, ce sequel pas trop mal fagoté mais tourné par un artisan qui fait le job, ni plus ni moins, devrait satisfaire au moins les amateurs de frissons facilement impressionnables. C’est déjà ça. Les autres resteront sans nul doute sur leur faim.
4 561 abonnés
18 103 critiques
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1,5
Publiée le 23 septembre 2021
J'étais excité pour La Dame en Noir 2 : L’Ange de la Mort parce que j'ai bien aimé le premier. Puis je l'ai vu et j'ai pensé à l'arrêter au plus vite. Les premiers 90% du film sont très lents et très ennuyeux. Les cinq dernières minutes du film étaient plus divertissantes que tout le début. Si jamais ils font un troisième film il faudra vraiment me convaincre pour que je le regarde. Je ne regarderai plus jamais ce film parce que c'était vraiment douloureux à regarder. Je suis l'ai regardé en entier parce que j'aime voir comment les choses se terminent dans un film. J'ai été très déçu parce qu'ils auraient pu faire tellement plus avec cette histoire. Si je pouvais revenir en arrière dans ma vie je déciderais de ne pas le voir pour ne pas avoir a perdre mon temps...
(...) Véritable institution de l'horreur à la gothique dans les années 50 à 70, la Hammer a donné vie à nombre de monstres populaires sur grand écran, avant de connaître le déclin dans les années 80. Revenus sur le devant de la scène il y a deux ans grâce à La Dame en Noir, film sympathique doté d'un budget minuscule, les studios ont décidé de poursuivre la stratégie qui leur a apporté le succès (...) Le second film, bien entendu, reprend plus ou moins les mêmes recettes, et tente de les moderniser en transportant l'action quarante ans plus tard, en pleine Seconde Guerre Mondiale. Un cadre qui aurait pu servir de toile de fond à une réflexion sur la cruauté de la guerre et ses premières victimes: les enfants, comme le faisait si bien Guillermo Del Toro dans l'excellent Labyrinthe de Pan. Las, le conflit n'est ici qu'une toile de fond (...) si le huis-clos fonctionnait déjà difficilement dans le premier opus, il explose ici carrément en vol, et le dernier tiers devient franchement risible (...) La réalisation de Tom Harper peine à provoquer des frissons (...) le rythme du scénario est bien trop lent pour permettre des montées d'angoisse. Du coup, pour compenser, Harper tombe dans la facilité en utilisant le raccourci favori de tout bon réalisateur de film d'horreur feignant : le jump-scare (...)
Niveau terreur, c’est plutôt moyen mais ce n’est pas pour autant qu’on ne sursaute pas. L’environnement et l’atmosphère des lieux sont assez intrigants. Nous même nous n’y poserions pas les pieds … Côté scénario, peu mieux faire. En effet, entre une romance qui débarque au milieu de nulle part mais en même temps tellement prévisible et une histoire avec des enfants pas très claire, le spectateur ne sait pas trop où donner de la tête. De plus, on a l’impression que le réalisateur a absolument cherché à avoir un lien entre Eve et la Dame en Noir. C’est un peu tirer par les cheveux … De nombreuses scènes sont prévisibles, c’est bien dommage. Heureusement que la musique est là ne serait ce que pour nous faire sursauter. La Dame en Noir fait très vite son apparition, on est vite plongé dans le bain. Une fin plutôt mitigée … Il n’y a pas grand-chose à en dire dessus. Le casting n’est pas terrible.
Je ne peux pas trouver d'attraits positifs à ce deuxième opus. Le titre du film s'accomode très bien avec l'ambiance osbcure qui nous suit tout le long de l'histoire, rendant peu crédible les scènes qui auraient pu surprendre. En effet, l'action est tellement plongée dans le noir qu'on ne distingue rien. De plus, le suspens (et oui il y en a un quand même !) arrive au bout de 45min et seulement les 10 dernières minutes de la fin sont crédibles. Arrêtons le massacre, même si le film nous laisse une fin non achevée, ne faites pas de troisième opus, pour le bien des cinéphiles.