Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
L'actrice y est remarquable, parfaitement entourée par ses camarades de jeu, notamment Rhys Ifans dans la peau du commerçant Lheureux. On ne saurait trop conseiller aux collégiens de se précipiter sur cette nouvelle version, dont la grande lisibilité leur sera très utile.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Metro
par Mehdi Omaïs
(...) cette adaptation restitue avec élégance et soin l’essence même du classique de la littérature mondiale.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Sud Ouest
par Sophie Avon
Les libertés prises face au livre comptent peu, ce qui importe ici, c’est la magnifique cohérence qui apparaît dans le parcours.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Régal pour les yeux - les paysages se parent de couleurs en demi-teintes accordées aux sentiments - et illuminée par Mia Wasikowska, cette nouvelle adaptation mérite que l'on s'y attarde.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Alors que Flaubert se tournait vers l'insignifiant et le laid (...), Sophie Barthes propose un film élégant mais académique, sans grande originalité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La réalisatrice donne à son film sage et élégant les teintes mélancoliques du Perche en automne ; ses ciels gris et oppressants traduisent le malaise grandissant d’Emma, étouffée par les conventions d’une vie morne.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Flaubert en a fait un chef-d’oeuvre, Sophie Barthes en offre une adaptation soignée, mais purement illustrative, et tournée en anglais, à l’usage d’un public américain à qui elle est manifestement destinée.
Libération
par Gilles Renault
Assumant l’adaptation d’une histoire condensée ici sur un an, la réalisation dénote une capacité jamais ostentatoire ni mièvre à exposer la déchéance d’une femme submergée par un désir hédoniste d’élévation sociale qui lui sera fatal.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
Ces choix restreignent la portée du roman et rendent l’héroïne certes plus sympathique, mais moins complexe. Heureusement, Mia Wasikowska offre un intéressant mélange de douceur passéiste et de légèreté moderne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Un réalisme juste mais parfois un peu terne. C'est à travers le personnage d'Emma que la réalisatrice, franco-américaine, se distingue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La rédaction
Le drame est centré sur l'ennui et la mélancolie, à peine trompés par le piano, le tricot, le shopping complusif et l'adultère.
Critikat.com
par Benoît Smith
La vision tirée ici du récit affûté de Flaubert ne dépasse jamais la surface connue de tous, ou que tous croient connaître (c’est-à-dire les lieux communs), sans qu’aucune perspective rafraîchissante ne se dégage pour rendre justice sous quelque forme au matériau adapté.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Si la réalisatrice insiste sur le côté vain et superficiel de l’héroïne, elle affadit le personnage de Charles Bovary.
Le Monde
par Noémie Luciani
Une relecture du roman pas assez inventive pour réintéresser à l'histoire d'Emma.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une coproduction internationale appliquée. Mais était-elle forcément nécessaire ?
Positif
par Eithne O'Neill
S'agissant d'une intrigue archi-connue, la structure circulaire souligne la prévisibilité de la mise en scène, martelée par une musique superflue. Ce qui manque ici, c'est le bovarysme même.
TF1 News
par Romain Le Vern
Avec un souci du bon goût confinant au mauvais, Sophie Barthes filme mal la passion amoureuse, comme elle filme mal une chasse à courre. Reste l'étonnante métamorphose de Mia Wasikowska en Isabelle Huppert.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Le long-métrage indiffère, malgré ses emprunts d’ambiances aux films d’époque britanniques et une héroïne miraculeusement ordinaire.
L'Obs
par La Rédaction
C’est une pauvre Bovary qu’il est donné à Mia Wasikowska d’interpréter (...) dans cette adaptation piteuse (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Sophie Barthes esr bien là où on l'attendait, épisode indésirable et inévitable de la vie à l'écran de tout roman du XIXe Siècle, soit une balade touristique dans le cinéma en costume pour petite troupe hollywoodoïde.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Comment réduire Emma Bovary à sa plus vulgaire expression ? En faisant comme la réalisatrice Sophie Barthes qui ne voit chez l'héroïne de Gustave Flaubert qu'une petite bourgeoise dépensière et très accessoirement, volage.
Le Parisien
L'actrice y est remarquable, parfaitement entourée par ses camarades de jeu, notamment Rhys Ifans dans la peau du commerçant Lheureux. On ne saurait trop conseiller aux collégiens de se précipiter sur cette nouvelle version, dont la grande lisibilité leur sera très utile.
Metro
(...) cette adaptation restitue avec élégance et soin l’essence même du classique de la littérature mondiale.
Sud Ouest
Les libertés prises face au livre comptent peu, ce qui importe ici, c’est la magnifique cohérence qui apparaît dans le parcours.
Télé 7 Jours
Régal pour les yeux - les paysages se parent de couleurs en demi-teintes accordées aux sentiments - et illuminée par Mia Wasikowska, cette nouvelle adaptation mérite que l'on s'y attarde.
Culturopoing.com
Alors que Flaubert se tournait vers l'insignifiant et le laid (...), Sophie Barthes propose un film élégant mais académique, sans grande originalité.
La Croix
La réalisatrice donne à son film sage et élégant les teintes mélancoliques du Perche en automne ; ses ciels gris et oppressants traduisent le malaise grandissant d’Emma, étouffée par les conventions d’une vie morne.
Le Dauphiné Libéré
Flaubert en a fait un chef-d’oeuvre, Sophie Barthes en offre une adaptation soignée, mais purement illustrative, et tournée en anglais, à l’usage d’un public américain à qui elle est manifestement destinée.
Libération
Assumant l’adaptation d’une histoire condensée ici sur un an, la réalisation dénote une capacité jamais ostentatoire ni mièvre à exposer la déchéance d’une femme submergée par un désir hédoniste d’élévation sociale qui lui sera fatal.
Première
Ces choix restreignent la portée du roman et rendent l’héroïne certes plus sympathique, mais moins complexe. Heureusement, Mia Wasikowska offre un intéressant mélange de douceur passéiste et de légèreté moderne.
Télérama
Un réalisme juste mais parfois un peu terne. C'est à travers le personnage d'Emma que la réalisatrice, franco-américaine, se distingue.
Voici
Le drame est centré sur l'ennui et la mélancolie, à peine trompés par le piano, le tricot, le shopping complusif et l'adultère.
Critikat.com
La vision tirée ici du récit affûté de Flaubert ne dépasse jamais la surface connue de tous, ou que tous croient connaître (c’est-à-dire les lieux communs), sans qu’aucune perspective rafraîchissante ne se dégage pour rendre justice sous quelque forme au matériau adapté.
Le Journal du Dimanche
Si la réalisatrice insiste sur le côté vain et superficiel de l’héroïne, elle affadit le personnage de Charles Bovary.
Le Monde
Une relecture du roman pas assez inventive pour réintéresser à l'histoire d'Emma.
Ouest France
Une coproduction internationale appliquée. Mais était-elle forcément nécessaire ?
Positif
S'agissant d'une intrigue archi-connue, la structure circulaire souligne la prévisibilité de la mise en scène, martelée par une musique superflue. Ce qui manque ici, c'est le bovarysme même.
TF1 News
Avec un souci du bon goût confinant au mauvais, Sophie Barthes filme mal la passion amoureuse, comme elle filme mal une chasse à courre. Reste l'étonnante métamorphose de Mia Wasikowska en Isabelle Huppert.
aVoir-aLire.com
Le long-métrage indiffère, malgré ses emprunts d’ambiances aux films d’époque britanniques et une héroïne miraculeusement ordinaire.
L'Obs
C’est une pauvre Bovary qu’il est donné à Mia Wasikowska d’interpréter (...) dans cette adaptation piteuse (...).
Les Inrockuptibles
Sophie Barthes esr bien là où on l'attendait, épisode indésirable et inévitable de la vie à l'écran de tout roman du XIXe Siècle, soit une balade touristique dans le cinéma en costume pour petite troupe hollywoodoïde.
Studio Ciné Live
Comment réduire Emma Bovary à sa plus vulgaire expression ? En faisant comme la réalisatrice Sophie Barthes qui ne voit chez l'héroïne de Gustave Flaubert qu'une petite bourgeoise dépensière et très accessoirement, volage.