Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Dvortsevoy observe le quotidien et nous laisse, avec ses longs plans attentifs, avec le sentiment que quelque chose d'unique va se passer... ou vient d'être vécu. Un sentiment que rien n'est plus beau que l'instant que l'on est en train de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Dvortsevoy impose un point de vue quasi omniscient sur son sujet, et s'empare de la force brute du réel. Et Highway, plus qu'un documentaire sur un cirque itinérant, de devenir un instantané démiurge sur la beauté et la tragédie hasardeuse du monde...
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Curieuse odyssée que cette traversée du désert kazakh par les Tadjibaev : filmée avec une profonde humanité, elle montre la précarité de ces gens sans s'y arrêter et invite à découvrir la poésie d'un étrange périple apparemment dénué de péripéties.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le spectacle du film, qui renvoie aux origines foraines du cinéma, ne se réduit évidemment pas à la pauvreté de ces numéros, mais réside dans l'extraordinaire dignité avec laquelle la famille supporte le fardeau de son existence.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sous son regard vif et patient, dans ce bout du monde délaissé des humains, le moindre souffle de vie devient surnaturel (...) Diffusé à deux reprises sur Arte, ce documentaire est un voyage intersidéral d'une rare humanité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Sans jugement ni intrusion autre que celle de filmer le quotidien, le réalisateur suit les engueulades familiales, les tentatives de l'aigle pour déployer ses ailes ou les paysages désertiques et poussiéreux traversés par le bus. Dépaysant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le regard, très subtil, qu'il porte sur les Tadjibaev a valeur de témoignage ethnologique, même si le dépouillement brutal dont use sa mise en scène rend son oeuvre cinématographiquement trop aride pour instiller une forte émotion.
Aden
Dvortsevoy observe le quotidien et nous laisse, avec ses longs plans attentifs, avec le sentiment que quelque chose d'unique va se passer... ou vient d'être vécu. Un sentiment que rien n'est plus beau que l'instant que l'on est en train de vivre.
Cine Libre
Dvortsevoy impose un point de vue quasi omniscient sur son sujet, et s'empare de la force brute du réel. Et Highway, plus qu'un documentaire sur un cirque itinérant, de devenir un instantané démiurge sur la beauté et la tragédie hasardeuse du monde...
L'Obs
Curieuse odyssée que cette traversée du désert kazakh par les Tadjibaev : filmée avec une profonde humanité, elle montre la précarité de ces gens sans s'y arrêter et invite à découvrir la poésie d'un étrange périple apparemment dénué de péripéties.
Le Monde
Le spectacle du film, qui renvoie aux origines foraines du cinéma, ne se réduit évidemment pas à la pauvreté de ces numéros, mais réside dans l'extraordinaire dignité avec laquelle la famille supporte le fardeau de son existence.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Des saltimbanques sur les steppes d'Asie centrale, magnifiés par un cinéaste qui saisit leur rudesse et leur liberté sans les figer.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Sous son regard vif et patient, dans ce bout du monde délaissé des humains, le moindre souffle de vie devient surnaturel (...) Diffusé à deux reprises sur Arte, ce documentaire est un voyage intersidéral d'une rare humanité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Sans jugement ni intrusion autre que celle de filmer le quotidien, le réalisateur suit les engueulades familiales, les tentatives de l'aigle pour déployer ses ailes ou les paysages désertiques et poussiéreux traversés par le bus. Dépaysant.
Zurban
Le regard, très subtil, qu'il porte sur les Tadjibaev a valeur de témoignage ethnologique, même si le dépouillement brutal dont use sa mise en scène rend son oeuvre cinématographiquement trop aride pour instiller une forte émotion.