Derniers Avis : Expendables 3 - Page 6

Un humour vraiment pas très perçant avec un scénario totalement absent. Reste un final assez musclé et bien sûr le casting.

Expendables 3 est le troisième volet d'une franchise beauf qui n'aurait jamais du existé. Tout dans ce film est dans la surenchère par rapport aux deux précédents tout comme le deuxième chapitre était dans la surenchère par rapport au premier.
Côté casting, la franchise se paie toujours un panel bluffant d'acteurs de film d'action. Stallone, Schwarzy, Statham, Li, Lundgren, Crews et Couture rempilent dans la franchise qui pour certains, leur a donné une deuxième carrière. Les nouveaux arrivants sont très percutants, certains ayant déjà acquis une certaine notoriété dans le genre (Snipes, Banderas, Gibson, Ford, Grammer), d'autres entamant une carrière prometteuse (Rousey, Lutz, Powell, Ortiz). Même si tous ne jouent pas forcément super bien (Stallone en particulier), ils remplissent très convenablement leurs rôles.
Les scènes d'actions sont tout de même très réussies.
En revanche, le scénario est toujours aussi catastrophique, la saga préférant les muscles à l'intelligence, puisque même les personnages censés être intelligents dans ce film ne brillent pas par leurs esprits et les stratégies et plans d'attaque dans ce film ont sérieusement tendance à se résumer par des coups de poings.
Les personnages ne m'intéressent pas, tant leur niveau de beaufitude ferait passer Michael Bay pour un journaliste Télérama.
Mais j'imagine bien que l'objectif du film n'était pas dans le scénario et l'écriture des personnages mais plutôt dans l'action, qui elle, à défaut d'être mémorable, est suffisamment divertissante. Cette franchise n'est vraiment pas ma came.

Véritable déception que ce film qui rassemble pourtant une sacrée bande de costauds et d'idoles de ma jeunesse. Et c'est là que le bât blesse (ce qui se voit direct avec cette affiche remplie de personnages et une pile de noms impressionnante) sauf qu'en voulant ratisser large, Stallone et ses producteurs pollue le film avec un casting de jeunots têtes à claques qui font perdre du rythme au film (les meilleures scènes sont celles entre Stollone et ses vieux compères qui se pillonnent de vannes) et si R. Rousey s'en tire bien, les autres ne servent juste à rien. Pire encore, leur présence éclipse celle de W. Snipes par exemple qui n'a quasiment rien à faire du film et chaque perso effectue presque un caméo plus qu'une vraie performance. Alors certes, P. Hughes est le meilleur technicien à avoir officié sur la franchise mais les CGI plus moches les unes que les autres et des décors d'une pauvreté absolue ternissent son travail sur le découpage et le rendu spectaculaire. Le body count est vertigineux, les scènes d'action sont nombreuses et c'est un spectacle assez plaisant mais aussi incroyablement roboratif et répétitif. Fun ? Pas vraiment. Désolant ? Un peu. Et si M. Gibson s'éclate de manière visible, il est bien le seul. D'autres critiques sur

Vu mon opinion sur le 1 et 2, on se demandera pourquoi je me suis infligé le 3. Le sais-je moi-même ? Pris séparément, j'ai de la tendresse pour pratiquement tous ces vieux chevaux de retour. Mais ensemble dans cette franchise, je suis affligé, je les trouve vieux et ils me font peur physiquement.
il n'y a pas de scénario, les dialogues sont écrit par un logiciel qui a pompé toutes les répliques célèbres des acteurs, et comme tout le fric du film est parti dans les cachets, le réalisateur se contente de dormir derrière la caméra et est parfois réveillé par les explosions pyrotechniques.

Un peu d'action au début, un peu à la fin, et une heure de vide total entre les deux! Antonio Banderas est supposé apporter un peu d'humour, mais est juste ridicule, et l'humour des autres volets, lui, s'est juste envolé! On cherche simplement à rajeunir la franchise, puisqu'une nouvelle équipe se met en place!

Mais vu sa piètre qualité, impossible que cette franchise là aille bien loin...

Après un Expendables 2 plutôt réussi, voilà nos mercenaires de retour pour une troisième virée. Film à prendre à la rigolote, parce que derrière ce gros moment d'action, de combats et gunfights se cache un long métrage sans originalité. Trop de stars aussi, ça part dans tous les sens du coup on arrive pas à se concentrer sur des personnages précis. Ça reste un bon divertissement.

Un divertissement bourrin et décérébré

Et de 3 ! Stallone et tous ses amis repartent pour de nouvelles aventures. Simon West a laissé sa place à Patrick Hugues, réalisateur inconnu en France, seulement auteur d’un western Red Hill. Après un premier opus, beaucoup trop premier degré pour être totalement apprécié, le deuxième s’était plus libéré, rendant le film bien plus jouissif. Cependant, trop d’humour, tue l’humour et si le « Chuck Norris facts » reste une merveille, la plupart du temps le reste était lourdaud. Et c’est avec une optique de mixer les regards que sort ce troisième volet…

Expendables 3 poursuit sur la lancée des deux premiers épisodes avec des gros bras, des anciennes stars de films d actions et des explosions à tout va ! Sur ce dernier point, on est servi et on en prend plein les yeux, on a également plaisir à retrouver ces héros meurtris et on a donc l occasion de voir un film bourrin pendant deux heures, un bon plaisir occasionnel du samedi soir donc.
Côté casting, de nouveaux anciens arrivent, avec un Wesley Snipes très bon, un Mel Gibson exceptionnel en méchant ( Il pourrait jouer un méchant dans James Bond sans problème), mais aussi un Antonio Banderas au sommet de sa forme et très drôle et qui fait des clins d oeil au chat potté ! Le seul point noir du film est que la base du scénario était le choc des générations avec de nouveaux jeunes acteurs qui font leurs apparitions. Malheureusement, le casting de ces derniers est raté, et ils se font totalement dominés à l écran par les anciens, cela est dommage car l idée de départ était pourtant bonne.

Bon c'est sûr que ça ne marquera pas l'histoire du cinéma ni même la filmo de certains des musclemen présents au générique mais ça reste plutôt fun à défaut d'être fin. Y'a du muscle huilé, de la punchline vintage et du second degré assez réjouissant. Pas aussi cool que les deux premiers mais ça rappelle toujours avec nostalgie ce temps où la chorégraphie des bastons se résumait à une mordale dans la gueule. En somme, le testament d'une époque par son plus illustre représentant.

Etant grand fan de la franchise, je suis très satisfait de ce nouvelle opus.
Le renouvellement des personnages avec l'arrivée de nouvelle recrues jeunes et l'apparition de nouvelle superstar du cinéma (Snipes,Ford,Gibson) apporte de la fraîcheur à ce troisième épisode de la saga.
Malgré le fait qu'on à toujours à faire au même type de scénario, je ne me lasse pas des scènes d'action fantastique et de l'humour fait pas les Expendables.

J'aurais pu mettre une deuxième étoile pour quelques moments sympas et le plaisir de voir certaines nouvelles recrues telles Wesley Snipes, Harrison Ford, Kelsey Grammer et surtout Mel Gibson, mais ce serait encore trop. Il faut dire qu'entre les mains de Patrick Hughes, la saga prend une mauvaise tournure tant celui-ci saccage pratiquement toutes les scènes d'action (l'introduction exceptée), évidemment pas relevées par un scénario totalement bidon et des enjeux souvent grotesques. Ba oui, parce que lorsqu'on va voir « Expendables », ce n'est pas pour avoir droit à un rajeunissement de casting prétexte à un « choc des générations », tous (Ronda Rousey exceptée) faisant d'ailleurs pâle figure. Ajoutez à cela un aspect ultra-lisse afin de rendre le film tout public (pas une giclée de sang pendant deux heures) et un humour au rabais pour les moins de 12 ans (le personnage d'Antonio Banderas : quelle honte...), sans oublier une scène finale donnant l'impression de durer 5 heures nous brûlant aussi bien les yeux que les oreilles... Seule satisfaction donc : la prestation de Mel Gibson en « bad guy », donnant une véritable leçon d'interprétation à un Sylvester Stallone qui n'a jamais été aussi mauvais. A ce rythme, pas sûr qu'un quatrième volet se justifie.

Quatre ans après la venue des Expendables dans les salles de cinéma, les voici de retour pour la troisième fois, plus en forme et plus nombreux que jamais ! D’autant plus que la belle troupe s’est offerte une avant-première hors compétition lors du 67e Festival de Cannes. De quoi mettre en avant la notoriété de la bande qui sortait tout juste du succès commercial (et un chouïa critique) de l’opus précédent. Malheureusement pour Sly and co., le public n’était pas au rendez-vous de ce troisième film. La faute à un téléchargement prématuré du film et à une classification PG-13 alors que la saga a été habituée à plus ? Pas seulement…

Avant d’attaquer la critique de ce film, penchons-nous sur ce qui avait été la réussite (bien que cela soit un grand mot) d’Expendables 2. Une suite qui été arrivée là où le premier opus avait échoué, à savoir réunir les gros bras d’hier et de demain pour un divertissement sans prise de tête qui les iconifie un maximum sans se prendre une seule fois au sérieux. Pour cela, il a fallu un zoom en gros plan sur Stallone énonçant le plan de sa bande (« Les traquer, les trouver et les tuer ! »), des punchlines hilarantes (« Repose en pièces ! »), une scène d’ouverture grandiose, des personnages caricaturés un max, un antagoniste du nom de Vilain (oui, ils ont osé !), des séquences poilantes (Bruce Willis et Arnold Schwarzenegger au volant d’une Smart) et des moments de pur bonheur (l’apparition WTF de Chuck Norris). Tout ce qu’il fallait pour passer un très bon moment avec de l’action désopilante et des protagonistes délirants. Et qui n’a, bizarrement, pas été repris dans cette suite…

À commencer par le scénario. Alors attention, les Expendables n’ont jamais brillé par leur script, la trame nous incitant à suivre un commando de gros bras partant casser la figure à des méchants pas beaux. C’est sûr que niveau originalité, nous avons déjà vu mieux ! Mais en même temps, quand on regarde Expendables, on s’attend à voir un semblant des films d’action des années 80-90, dans lesquels un ou plusieurs héros badass ne faisaient jamais dans la finesse. Ce que nous livrait le 2ème opus. Ici, après deux séquences d’action, le film traîne la patte jusqu’au dénouement final, une demi-heure de fusillades, de corps-à-corps et d’explosions. Un milieu de long-métrage vide de toute action et humour (oui, cet Expendables 3 se prend au sérieux : ça manque de caricatures et de punchlines !) qui préfère perdre son temps (soit 1h20) dans de la dramaturgie inutile. En bref, Expendables 3 possède le même défaut que The Lone Ranger : deux grandes scènes d’action réunies par un vide sidéral et fort ennuyeux.

Pourtant, le scénario ne manquait pas d’idée vis-à-vis du concept même de la saga. Comme, par exemple remplacer nos gros bras de l’ancienne école par des jeunots au beau milieu du film, et finir ce dernier en réunissant tout ce joli monde. Là, ça revenait véritablement à associer vieux et jeunes acteurs du cinéma d’action. Mais le problème réside dans le casting, l’erreur étant d’avoir pris des comédiens tels que Jason Statham et Jet Li dès le début de la franchise. En effet, les voir ici prendre la place de Dolph Lundgren et autres Schwarzy aurait eu plus d’impact. Mais comme ils font partie de la bande depuis le premier opus, le passement de main en devient intolérable (étant donné que nous avons eu le temps de s’attacher à eux en deux films), les virant pendant une bonne partie du scénario contre des personnages/comédiens totalement inconnus et sans aucun charisme. Surtout que l’histoire même du film s’attarde sur cette nouvelle bande dont nous nous fichons royalement, vu que nous voulons voir Snipes et consort. Du coup, l’ennui ne peut que pointer le bout de son nez ainsi que l’intérêt de ce troisième opus.

Mais s’il n’avait que cela comme défaut, Expendables 3 aurait pu passer. Ce n’est malheureusement pas le cas, à cause du casting. Une distribution sur le papier incroyable, qui réunit un bien plus grand nombre de comédiens du cinéma d’action que les films précédents, mais se révèle être d’une inégalité inacceptable : des comédiens n’en ont rien à faire d’être là (Stallone en tête), jouent mal (Schwarzy), cabotinent un max (Jason Statham, Harrison Ford) et parfois à la limite du supportable (Antonio Banderas), passent inaperçus (Robert Davi, Jet Li, la bande de jeunots tels que Kellan Lutz et Ronda Rousey), sont bien mais n’ont aucune utilité à l’ensemble (Kelsey Grammer), s’amusent comme des petits fous (Wesley Snipes et Mel Gibson)… Arrivé à un tel constat, cela en est presque honteux. Et ça l’est encore plus quand on voit les conséquences que cela apporte au film !

Avoir autant de comédiens aussi reconnu du cinéma hollywoodien n’est pas gratuit, même pour un type comme Stallone. Qu’il ait viré Bruce Willis parce que ce dernier réclamait un cachet de 1 à 3 millions de dollars juste pour quelques minutes d’apparition n’aurait sans doute pas changé grand-chose au fait que chacun des comédiens de ce film ait pompé la quasi intégralité du budget du film. Du coup, il ne reste plus grand-chose pour qu’Expendables 3 ait la moindre envergure. Il suffit de voir les séquences d’action qui font peine à voir : une mise en scène d’une platitude exaspérante (c’est beau de chercher du sang neuf en la personne de Patrick Hughes, encore faut-il avoir du savoir-faire), des effets spéciaux dégueulasses (du numérique semblable à celui visible dans les téléfilms) et totalement paresseux (des explosions faites par ordinateurs et non en vrai comme dans les opus précédents)… Il suffit de voir la séquence d’action finale, où notre troupe affronte une armée entière, cette dernière étant équipée de tanks et d’hélicoptères. Un moment qui aurait pu être d’anthologie, d’autant plus que ça bouge pour notre plus grand plaisir. Mais le manque de punch et d’envergure gâche tout !

Alors que le second film avait corrigé les défauts du premier, nous voilà invraisemblablement revenus à la case départ avec Expendables 3, un film d’action qui est sauvé de la médiocrité par son final et la composition de son casting. Malheureusement, cela ne suffira pas à voir ce long-métrage comme un nanar potable, son côté sérieux et son manque d’envergure parasitant l’ensemble. M. Stallone, le fait que votre film ait été piraté et censuré volontairement pour avoir un plus large public n’est pas étranger à l’échec de votre film. Mais il faut vous ouvrir les yeux : sa piètre qualité en est le principal coupable ! Alors oui, faites un Expendables 4 comme convenu ! Mais faites-le en prenant exemple sur le 2 : pas sérieux pour un sou et sans prise de tête !

Avec la saga "Expendables", Sylvester Stallone pourra se vanter d’avoir imposé un nouveau mot à la culture populaire et créé une œuvre cohérente… ce qui n’est pas forcément un compliment puisque cette cohérence se constate surtout dans le refus de toute évolution significative de film en film. Certes, le second opus avait marqué un léger mieux en offrant vraiment la réunion de gros bras qu’on attendait (la scène de l’aéroport réunissant Sly, Schwarzy, Bruce Willis et Chuck Norris contre Van Damme, restent dans les mémoires des fans des 80’s) mais ne révolutionnait pas non plus le genre. Avec ce troisième opus, le constat n’est pas différent puisque, une fois encore, on retrouve les mêmes qualités et les mêmes défauts que les deux films précédents. On a, donc, droit, côté qualité, à de l’action décérébrée et spectaculaire, à des punchlines gentiment beaufs et à un ton fun qui s’autorise quelques vannes méta plutôt sympa (voir la dualité entre vieux et jeunes, le retour aux affaires après son incarcération du personnage campé par Wesley Snipes comme écho aux problèmes rencontrés par l’acteur dans sa vie privée ou encore la référence à l’absence de Chappelle qui fait suite au départ du trop gourmand Bruce Willis). Côté points noirs, on a droit à l’habituel scénario hyper-prévisible qui ne joue pas assez avec les poncifs des intrigues des films d’actions des 80’s et au manque de consistance des personnages. Mais, surtout, ce troisième opus manque de séquences marquantes ou, plutôt, iconiques… ce qui parait pourtant un minimum dans la saga (le premier épisode avait la scène de l’église, le second la scène de l’aéroport et celle de l’arrivée messianique de Chuck Norris). Pour autant, "Expendables 3" bénéficie peut-être d’une mise en scène plus rythmée que les 2 autres épisodes et peut se targuer d’avoir tenté de renouveler un peu la saga en insufflant du sang nouveau avec la nouvelle génération appelée à la rescousse. Mais, et c’est une autre erreur du film, aussi sympathiques soient ces jeunes (Kellan Lutz, Ronda Roussey, Glenn Powell…), ils sont loin de rivaliser avec leurs aînés, tant sur le plan du charisme que de la notoriété (c’est à se demander pourquoi de jeunes vedettes plus établies n’ont pas été réquisitionnés pour l’occasion). Il suffit, pour s’en persuader de voir à quel point ils sont éclipsés, non seulement par les anciens (Jason Statham, Dolph Lundgren, Jet Li…) mais, également par les nouveaux parmi lesquels le charismatique Wesley Snipes, l’amusant Antonio Banderas ou encore le légendaire Harrison Ford. Mais, la grosse attente du film restait, pour moi, le rôle du méchant qui s’étoffe de film en film et qui est confié, ici, à Mel Gibson. Une fois de plus, l’acteur confirme qu’il mérite une seconde carrière à Hollywood et que les rôles de méchants lui vont comme un gant (voir le récent "Machete Kills")… même si son personnage manque cruellement de consistance. J’attendais, d’ailleurs, un twist concernant ce méchant, ancien allié et co-fondateur des Expendables… en vain, le passé du personnage et son potentiel de rédemption n’ayant visiblement pas intéressé les scénaristes. Est-ce ce traitement trop léger ou la lassitude du spectateur qui ont conduit à l’échec commercial du film (à moins que ce soit le fuitage de sa copie piratée avant sa sortie) ? Difficile à dire mais, à l’heure où l’avenir de la saga semble compromis, le bilan reste mitigé et "Expendales" restera, à mon sens, comme un grande occasion ratée de rendre un vibrant hommage aux films d’action des années 80 et 90. Peut-être aurait-il fallu en confier l’écriture à des fans purs et durs de cette période bénie, qui auraient su davantage saisir l’essence de ces films et avoir le recul nécessaire pour jouer avec les codes… Qui sait ? Peut-être qu’un 4e épisode verra le jour avec cet état d’esprit… surtout qu’il reste quelques illustres absents qui ne se sont pas encore frotter aux Expendables (Kurt Russell, Steven Seagal ou Carl Weathers, pour ne citer qu’eux).

Encore un bon épisode, un peu moins bien que les 2 premiers opus mais qui est super agréable à regarder. Un bon mélange anciens et nouveaux même si personnellement je préfère et de loin les anciens. Un super Antonio Banderas qui est à tordre de rire. Un bon moment devant se film, ma note 4/5

Toujours autant spectaculaire, explosive et drôle. Rien de bien innovant, mais ça reste distrayant. La distribution musclée et la présence de Mel Gibson en méchant renforcent le coté spectacle de ce 3ème volet des Expendables. Un bon film d'action à voir.