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On passe un agréable moment devant ce road-movie à pédales, haletant et bien ciselé, n'hésitant pas à dénoncer quelques-uns des vils travers du peloton (l'omniprésence du sponsoring, la pratique du dopage).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le réalisateur (...) a réussi une bien belle échappée. (...) De la sueur, des répliques hautes en couleur, du talent, de la tendresse et des situations comiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Quelques passages bien vus au sein d’une comédie que l’on aurait aimé toutefois plus dopante mais qui boucle tout de même son périple confortablement installé en milieu de peloton.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
(...) l'ensemble, porté par le sportif tandem Cornillac-Bouli Lanners, reste sympathique, reflet de cette France pas compliquée, enthousiaste et profondément attachée à son patrimoine.
Laurent Tuel réussit son pari avec ce road-movie familial, au scénario très attendu : une bonne vieille comédie qui exalte l'esprit de camaraderie, le courage et la volonté des cyclistes.
Pourvu d'un scénario qui en vaut d'autres et porté par des acteurs motivés (...), "La Grande Boucle" divertit agréablement et, sans révolutionner la grammaire du film sportif (...).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Idée plaisante pour un personnage qu’habite Clovis Cornillac avec charme et fantaisie. Le film atteint toutefois ses limites en raison même de sa construction, étape après étape.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Une fable sociale paresseuse et ingrate maquillée en feel-good movie, un long spot de promotion pour le Tour qui délire une France (...) coupée de toute réalité.
[Le film] suscite un certain embarras, indépendamment de son scénario qui pédale dans la semoule dès le premier col scénaristique. (...) Ce n'est plus du cinéma mais du marketing.
Scénario indigent (...), racolage à tous les étages (...) : cela faisait longtemps qu'on n'avait pas vu une grosse machine aussi grossière. De quoi dégoûter de la petite reine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
On passe un agréable moment devant ce road-movie à pédales, haletant et bien ciselé, n'hésitant pas à dénoncer quelques-uns des vils travers du peloton (l'omniprésence du sponsoring, la pratique du dopage).
Le Parisien
Le réalisateur (...) a réussi une bien belle échappée. (...) De la sueur, des répliques hautes en couleur, du talent, de la tendresse et des situations comiques.
Télé 7 Jours
Cette fable séduit pour son humour bon enfant et l'émotion qu'elle distille.
Ecran Large
Quelques passages bien vus au sein d’une comédie que l’on aurait aimé toutefois plus dopante mais qui boucle tout de même son périple confortablement installé en milieu de peloton.
La Croix
Clovis Cornillac tente le Tour en solitaire dans cette comédie généreuse mais desservie par un scénario balourd.
Le Journal du Dimanche
(...) l'ensemble, porté par le sportif tandem Cornillac-Bouli Lanners, reste sympathique, reflet de cette France pas compliquée, enthousiaste et profondément attachée à son patrimoine.
Les Fiches du Cinéma
Laurent Tuel réussit son pari avec ce road-movie familial, au scénario très attendu : une bonne vieille comédie qui exalte l'esprit de camaraderie, le courage et la volonté des cyclistes.
Positif
Pourvu d'un scénario qui en vaut d'autres et porté par des acteurs motivés (...), "La Grande Boucle" divertit agréablement et, sans révolutionner la grammaire du film sportif (...).
TéléCinéObs
Idée plaisante pour un personnage qu’habite Clovis Cornillac avec charme et fantaisie. Le film atteint toutefois ses limites en raison même de sa construction, étape après étape.
Le Figaroscope
L’histoire, simplette, pédale dans la semoule pour tomber très vite à plat. Petit braquet.
Ouest France
Entre humour bienveillant et mélo familial, un parcours très convenu dans un album de situations et de figures clichés.
aVoir-aLire.com
Malgré une belle brochette de comédiens (…), "La Grande Boucle" peine à être autre chose qu’une comédie franchouillarde et prévisible.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Les Inrockuptibles
Une fable sociale paresseuse et ingrate maquillée en feel-good movie, un long spot de promotion pour le Tour qui délire une France (...) coupée de toute réalité.
Première
[Le film] suscite un certain embarras, indépendamment de son scénario qui pédale dans la semoule dès le premier col scénaristique. (...) Ce n'est plus du cinéma mais du marketing.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Scénario indigent (...), racolage à tous les étages (...) : cela faisait longtemps qu'on n'avait pas vu une grosse machine aussi grossière. De quoi dégoûter de la petite reine.