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    Elle s'appelle Ruby
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    3,8
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    206 critiques spectateurs

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    Thierry M
    Thierry M

    166 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    Malgres un debut poussif , ce film est tres interressant et pleins de surprises.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    Du grand cinéma indépendant américain :-)
    Du film à multi niveaux qui peut paraitre cliché au premier abord mais qui risque fort de résonner pour certaines et certains d'entre nous ...
    Écriture, folie, amour, relation à l'autre, ... bref, laissez-vous déranger par ce film
    Clingo
    Clingo

    62 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 octobre 2012
    Spoilers dans la critique.

    Que faire quand on a créé un succès ? C'est la question que se pose le jeune auteur interprété par Paul Dano, qui après un premier roman best-seller connaît la panne sèche ( comme le mini-van de Little Miss Sunshine ). C'est peut-être aussi ce qui a hanté Valerie Faris et Jonathan Dayton, qui après un premier film acclamé et rempli de qualités, ont mis six ans à enchaîner pour le cinéma. Que faire, donc, quand une création artistique est plébiscitée par le public et la critique à tel point que cela pourrait vous faire perdre le sens des réalités ? Il fallait bien un postulat fantastique pour souligner l'étrangeté d'une telle situation, et celui de Ruby Sparks est des plus originaux. Disons-le d'emblée, ce que le film ne propose pas en inventivité narrative ( que peut générer un sujet semblable ), il l'acquiert en émotions. Le scénario de Zoe Kazan explore davantage la voie de la comédie romantique que celle du film de science-fiction, se focalise plus précisément sur la profondeur des personnages que sur la mécanique du récit. Par le prisme de son personnage principal, à la fois auteur et homme amoureux, il se livre également à une charge contre l'idéalisation. Idéalisation de la fiction donc, mais aussi des rapports amoureux et de la vie de couple. Et les deux vont de pair ici, car Ruby Sparks est le contraire d'une comédie romantique niaise et remplie de guimauve. En disséquant la relation qui unit le couple, le film est à l'opposé du cliché selon lequel l'amour est un long fleuve tranquille. C'est que, soumis à l'épreuve de la routine et du temps, de la découverte en profondeur ( sans jeu de mots ) de l'autre, il y a forcément quelque chose - que nous ne montre pas toujours Hollywood - qui se perd.

    Ou se transforme.

    Le film dit à la fois quelque chose de l'amour, le vrai, pas idéalisé, et des fictions qui le mettent en scène en occultant sa part plus contraignante. On pourrait dire que quand l'imagination et le fantasme dépassent la réalité, il est certes plus tentant d'imprimer l'imagination et le fantasme. Mais face à la réalité, ils ne valent plus grand-chose. A la manière d'autres excellents films au sujet aussi dingue ( Last Action Hero par exemple ), Ruby Sparks montre - à la grande joie de Truffaut - que la fiction est bien plus agréable que la réalité. Mais là où Kazan, Dayton et Faris prennent le contre-pied d'oeuvres célébrant la perte dans l'imaginaire, c'est donc dans la seconde partie du film, spoiler: véritable virage scénaristique qui fait voir les choses sous un autre angle.
    Ce qui subsiste, néanmoins, c'est l'absurdité du film, sa légère loufoquerie, qui compensent donc l'absence de profondeur du récit et des potentielles interrogations pirandelliennes. Mais puisque ce ne sont pas des personnages qui sont en quête d'auteur ici, mais l'inverse, on comprend que le film ne fait pas les choses comme on les attend, et c'est tant mieux. Il faut terminer en parlant de Paul Dano, acteur parmi les plus intéressants du moment, tout en retenue, jamais dans le passage en force, mais pourtant très présent. Ses rôles chez Dayton et Faris sont dans le fond plutôt similaires : à chaque fois ses personnages ont du mal à s'exprimer ( le frère muet dans Little Miss, l'auteur en panne dans Ruby Sparks ), mais ça n'est pas le cas de l'acteur, qui apporte toute sa puissance discrète aux personnages qu'il incarne.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 octobre 2012
    Une trés belle suprise
    Seemleo
    Seemleo

    67 abonnés 888 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 octobre 2012
    Le casting évite les sentiers battus, surprend et convainc. L'intrigue se déploie sans contretemps, et l'histoire ne lâche pas le spectateur, avec une mise en scène soignée servant le récit. La toile de fond diffuse une réflexion inspirée sur la relation à l'Autre. Une bonne comédie dramatique, une bonne cuvée.
    selenie
    selenie

    6 344 abonnés 6 208 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 octobre 2012
    Les réalisateurs du magnifique "Little Miss Sunshine" réalise un film écrit par Zoé Kazan (petite fille de Elia kazan) avec entre autres Paul Dano, déjà présent dans le film précédent et compagnon à la ville de Zoé Kazan. Un écrivain voit son fantasme apparaitre et vivre avec lui comme n'importe quel couple amoureux, avec tous les inconvénients de la création inhérents à la douce utopie de la femme idéale. A partir d'une idée originale Zoé Kazan écrit un scénario qui revisite le mythe du pygmalion qu'on attendait tous dans le genre de la fantaisie pétillante... C'est justement là qu'est le petit problème. Très vite l'histoire vire du côté comédie romantique de moins en moins drôle (retour à une triste réalité), et la morale "qu'il faut prendre chacun comme il est" sous-jacente au début devient vite le thème principal. Evidemment le couple (à la ville comme à l'écran) est une belle osmose, il y a de belles idées et la BO offre un contre courant audacieux (sYvie Vartan et Plastic Bertrand dans un film indé américain !). Un joli petit film auquel il manque soit un peu plus de rrire et/ou d'un peu plus d'impertinence.
    ffred
    ffred

    1 729 abonnés 4 021 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 octobre 2012
    Il est souvent difficile d'enchainer après un succès aussi phénoménal qu'inattendu. En 2006, le premier film des réalisateurs, Little Miss Sunshine, avaient tout raflé sur son passage : succès public et critique mondial et moisson de prix dont un César et deux Oscar. Ce n'est pas avec ce second film que Valerie Faris et Jonathan Dayton vont rééditer le même exploit...
    La suite sur : http://lecinedefred2.over-blog.fr/article-elle-s-appelle-ruby-110872925.html
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 octobre 2012
    Surprenant! l'idée du scénario est astucieuse, mais non aboutie. Le film tourne en rond. Je mets 2 étoiles pour l'interprétation de Ruby et pour la B.O. que j'ai adoré. Je n'ai pas réussi à adhérer au film dont les dialogues sont creux.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 octobre 2012
    Une excellente idée de départ mais, malheureusement, tout comme Ruby échappe au contrôle de son créateur, le film échappe au contrôle de ses 2 réalisateurs qui ne savent pas trop où aller avec une histoire qui tourne en rond et ont bien mal à la conclure. L'ensemble reste néanmoins honorable grâce à l'interprétation des comédiens (Paul Dano vu dans "little miss sunshine" des 2 mêmes réalisateurs, Zoe Kazan nouvelle venue pleine de fraicheur ou encore Annette Bening et Antonio Bnaderas dans les seconds rôles) et à une bande originale surprenante puisque l'on y retrouve du Sylvie Vartan et même le "ça plane pour moi" de Plastic Bertrand !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 3 octobre 2012
    Excellent film, plein de tendresse et de poésie, on à envie de croire que cette histoire est crédible.
    On est d'autant plus sous le charme par la crédibilité de cette relation qui évolue selon le caractère de l'écrivain qui doit faire façe à l'imprévu et se remet en question en étant confronté directement à son imaginaire, à l'essence même de sa création qui est Ruby, son fantasme.

    Le duo d'acteur est excellent et l'histoire tiens la route. Ravi d'avoir dépensé des sous pour un film qui vaut le coup.
    Nicano
    Nicano

    65 abonnés 309 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2012
    Chef d'oeuvre ! Oui, pour Elle s'appelle Ruby, je n'hésite pas à le dire... Il y a un tel romantisme, une telle magie qui se dégage de ce film, qu'il ma envoûté du début à la fin. Elle s'appelle Ruby, ce n'est pas qu'une comédie romantique, c'est bien plus, quelques passages dramatique notamment sont particulièrement maîtrisés.
    Le duo Paul Dano / Zoe Kazan est exceptionnel, cette dernière, aperçue dans l'excellent Happythankyoumoreplease de Josh Radnor, a signé le scénario du film, ce qui est à souligner.
    Bref, pour tous ceux qui aiment le romantisme, la poésie, la magie qui peut se dégager dans un film, foncez ... Vous ne serez sûrement pas déçus ....
    cinono1
    cinono1

    309 abonnés 2 065 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 3 octobre 2012
    L'histoire était astucieuse, le scénario n"en fera jamais rien et n'offre ni rebondissement digne de ce nom, ni réflexion sur l'écrivain et sa "création". L'ensemble manque de fantaisie et finit par s'avérer très répétitif, les rapports entre les protagonistes n'évoluant jamais malgré le charisme du couple vedette. Faiblard
    annastarnomberon
    annastarnomberon

    139 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 octobre 2012
    Il n'y a à mes yeux qu'une seule scène qui vaille réellement le coup dans ce film : Celle où Paul Dano part dans un délire nerveux égocentrique et fait faire tout et n'importe quoi à Zoe Kazan, qui se retrouve quand même par terre à faire le chien. Et c'est la seule scène qui ait réellement une âme, et la seule dans laquelle j'ai trouvé que les acteurs avaient du talent (celui de Paul Dano ne me semble pourtant plus à prouver). Le reste est télécommandé, sans saveur. Le comble pour un film censé incarner la rencontre entre un homme paumé et solitaire et son idéal féminin. Peut-être ce manque cruel de romantisme (je n'ai à aucun moment éprouvé une quelquonque once d'émotion) est là pour dénoncer l'aspect réellement égoïste de l'écrivain qui ne voit en sa Ruby que la projection d'un idéal et pas une personne à part entière. Peut-être, mais même si c'était le cas, ça n'a rien d'efficace à mes yeux. On assiste un peu blasé à ce petit film qui ne mène pas à grand chose, et en plus le plaisir des yeux est très relatif : j'ai trouvé la caméra assez mal maîtriée. Parfois bancale, des plans trop larges... Bref, une caméra qui ne parle pas, qui ne dit rien, qui ne sert pas le film. Un échec à mes yeux.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 2 octobre 2012
    Nous avions des places de cinéma gratuites; une amie (que je ne nommerai pas et à qui je promets qu’elle reste malgré tout une amie) avait aimé Little Miss Sunshine et nous fit part de son envie d’aller par conséquent voir Ruby Sparks. Cela semblait être une bonne idée, nous avons donc suivi le mouvement.

    Nous sommes venues.
    Nous avons vu.
    Nous avons toutes cru crever tellement c’était nul.
    Unanimité totale à la sortie: Elle s’appelle Ruby est une telle daube que malgré nos différences de goût parfois prononcées, nous avons toutes conclu que nous aurions mille fois, cent mille fois mieux fait d’aller voir American Pie 8 – Concours de pets dans les dortoirs, plutôt que ce film ni fait ni à faire, bâclé d’un bout à l’autre, et qui transpire la prétention branchouille par tous les pores.
    cadrages minables, montage scandaleux d’amateurisme, photo sans intérêt, le tout gorgé d’une prétention démonstrative qui rappelle les meilleurs moments des bobos s’essayant à la “photographie lifestyle avec instagram”. La bande originale vous donne envie de vous crever les tympans avec une aiguille à tricoter, car afin de bien montrer qu’il est maxi branché trop cool, les réalisateurs (oui, ils sont deux) ont fait le choix de passer un nombre parfaitement odieux et superfétatoire de chansons pop françaises rétro ou des années 1980 (que j’aurais plutôt tendance à affectionner au départ, mais dans ce contexte, ça vous donne envie de lapider Plastic Bertrand).
    Les dialogues sont d’une pauvreté intolérable, les situations sont aussi prévisibles que répétitives et caricaturales, les personnages sont creux …
    Toute la critique bougonne et irritée sur Franglaisreview: http://franglaisreview.com/2012/09/30/ruby-sparks-elle-sappelle-ruby/
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 1 octobre 2012
    Elle s’appelle Ruby avait tout du film casse-gueule : une paire de réalisateurs attendue au tournant, un genre sujet à clichés et un thème susceptible de tomber dans les poncifs et le discours lourdingue. Et c’est pourtant réussi. On appelle ça un bon film.

    La suite :
    http://www.benzinemag.net/2012/10/01/elle-sappelle-ruby-jonathan-dayton-valerie-faris
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