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    Elle s'appelle Ruby
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    3,8
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    206 critiques spectateurs

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    riverainpsy
    riverainpsy

    32 abonnés 409 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 octobre 2019
    Quelques bonnes trouvailles . Zoé Kazan s'est taillée la part du lion en tant que scénariste et actrice principale . Néanmoins la plupart des pistes sont peu exploitées et tout cela sent l'amateurisme . On ne perd pas son temps mais peu mieux faire .
    liamsi
    liamsi

    18 abonnés 474 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 janvier 2019
    Un film très agréable à regarder réalisé par le duo derrière le magistral "Little miss sunshine", l'idée est assez originale et tient jusqu'au bout.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 octobre 2012
    J'ai tout simplement adoré. C'était frais, et bien joué. Les acteurs sont formidables, le scénario bien écrit et travaillé. Non vraiment, je n'ai pas vu les 2h passer. Une petite pépite ;)
    Julien D
    Julien D

    1 196 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2012
    Six ans après le succès incontestable de "Little miss Sunshine", le couple formé Jonathan Dayton et Valérie Faris réalise une nouvelle comédie surprenante. Écrite et interprétée par Zoe Kazan, elle aussi accompagné par son mari, Paul Dano, cette rom-com, réunissant les éléments scénaristiques du mythe de Pygmalion, de Frankenstein et de la série "Code Lisa", n’a pas le mordant du précédent film. A partir d’un pitch facile, qui aurait pu être la source d’une potentielle réflexion sur la création artistique, vont se multiplier, et aussi rapidement s’essouffler, des situations forts amusantes, après quoi les bonnes idées comiques ne tiendront que dans son casting pleins de seconds rôles prestigieux et dans une bande originale aussi française que vintage, et ce jusqu’à la fin la plus convenue possible.
    Benito G
    Benito G

    664 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2012
    Après un "Little miss sunshine" plutot British avc un ton décalé. Voici la nouvelle réalisation, qui va nous emmener entre mythe et réalité... Le début me laissa perplexe puis, étrangement je suis rentré dans le je de cette petite comédie romantique. Un scénario ou l'idée se montre assez originale (même si certains films ont deja pris certains "partis" sur l'ensemble du film ; mais reste ici original). L'émotion n'est malheureusement pas assez forte pour réellement nous toucher ; ou même en ce qui concerne de l'empathie des personnages. Même si ceux ci jouent correctement leurs prestations. Pas de grand rebondisements, ni de grandes surprises (on pourra donc regretter certains moments que l'on aurait peut être préfér voir cela sans qu'il soit prévisible). Puis un final, qui pourrait presque nous amener dans l"thriller" (je me comprend mais je n'ais pas trouvais d'autre équivalent).
    Un film qui avec un peu de recul amène une vraie reflexion sur la vie ne général (qui d'apparence, on n'aurait pu penser à cela) car en effet il existe un véritable flou entre le réel, tellement plus complexe et incontrôlable, et cette fiction qui investie nos vies : d'où l'apparition de ce personnage fictif dans la vie du héros et de ses proches. Ce film est un pur travail d'indépendant, rien de classique dans l'écriture, rien de classique dans les personnages -véritables anti-héros-, un ton corsé, libre, léger et très fin à la fois. La réalisation y est impeccable et la musique superbe.
    Audrey L
    Audrey L

    633 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2018
    Original, plutôt dramatique que comique au final, mais on termine sur une telle note positive qu'on oublie volontairement le côté mystique du film qui lui facilite bien les choses. Le seul défaut du film est que l'on ne nous aura pas donné la solution de l'énigme, le pourquoi du comment (on ne nous dit pas pourquoi Ruby en particulier est apparue en vraie, alors que Gavroche, Don Quichotte ou encore Harry Potter et autres personnages de romans restent tranquillement dans leurs pages). Autrement, le film se révèle ponctuellement drôle (lorsque Calvin et son frère font parler Ruby en français/italien, selon la VO/VF), très triste par moments ( spoiler: le final où Ruby est forcée de faire toutes sortes de choses ridicules et dégradantes alors qu'elle est terrorisée et en pleurs... On a mal pour elle, la pauvre...
    ) ou poétique et mignon (les dernières minutes, sans en dire plus...). La vraie force de ce film est qu'il fonctionne sur des couples : Calvin et Ruby sont ainsi interprétés par un vrai couple de tourtereaux qui se sont rencontrés sur Little Miss Sunshine (Paul Dano et Zoe Kazan), et même les réalisateurs (qui ont déjà réalisé le film précédemment cité ensemble) sont un vrai duo de vieux copains, ce qui se sent à l'écran. L'alchimie fonctionne parfaitement dans ce petit monde, et le film nous le rend bien. Moins puissant que Little Miss Sunshine, il n'en reste pas moins que l'on apprécie ce petit drame ponctuellement comique et à la fin poétique. A découvrir.
    Parkko
    Parkko

    159 abonnés 2 020 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 décembre 2012
    Attention, spoilers. Elle s'appelle Ruby est le genre de film qui repose sur une idée et rien d'autre. Le personnage de Paul Dano a écrit un premier roman à succès mais ne trouve pas l'inspiration pour la suite... jusqu'à la révélation Ruby. Jonathan Dayton et Valerie Faris se représentent-ils dans ce personnage ? Eux aussi ont eu une première oeuvre acclamée (Little Miss Sunshine) et ont mis du temps avant de trouver quoi faire ensuite... ici Ruby. Sauf que comme le dit Truffaut dans la nuit américaine, la fiction est plus belle que la réalité, pour le personnage de Paul Dano Ruby est un nouveau succès... pour Dayton et Faris c'est juste une cruelle désillusion.
    Ils ont eu juste une idée, que se passerait-il si on avait une sorte de machine à écrire magique où l'on pourrait modeler à souhait la femme de ses rêves. Mais cela ne fait pas un film, on le voit bien. La magie ne transparait jamais, ce n'est pas poétique, pas beau, pas attendrissant, c'est moyennement intéressant. En plus Zoe Kazan est vraiment pénible là dedans et Paul Dano un peu fade. Ca ne marche pas bien, c'est une idée mal traitée et mal exploitée, alors quand on sait qu'il n y a rien d'autre... Un film vraiment décevant.
    framboise32
    framboise32

    149 abonnés 1 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 octobre 2012
    Elle s’appelle Ruby est une relecture du mythe de Pygmalion. Elle s’appelle Ruby est un joli film très fantaisiste. La réussite vient du scénario parfaitement ficelé et du jeune duo fantastique Paul Dano et Zoe Kazan, couple à la ville. Le jeune acteur est parfait, et Zoe Kazan, hyper douée, jolie, pétillante crève l’écran. Ils sont entourés de personnages secondaires de talent. le tout réalisé par les talentueux réalisateurs du superbe Little Miss Sunshine.

    La comédie est une fable tendre, légère et charmante. Elle s’appelle Ruby n’est pas la comédie de l’année. Inratable pour le talent de Paul Dano et la pétillante Zoe Kazan.

    http://framboisemood.wordpress.com/
    Thierry M
    Thierry M

    159 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2012
    Malgres un debut poussif , ce film est tres interressant et pleins de surprises.
    BeatJunky
    BeatJunky

    149 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 septembre 2014
    Un film original et sympa avec de très bons interprètes. Rien d'extraordinaire mais il y a de l'humour et des choses intéressantes à ressortir de cette histoire d'amour: à savoir qu'il faut savoir aimer l'autre comme il est et pas comme on voudra qu'il soit, savoir rester soi-même et accepter que l'autre aussi. Paul Dano est vraiment crédible dans son rôle qui au début s'enflamme et adore avoir droit à l'amour sans faire d'effort, sans faire de concessions avant de s'apercevoir qu'il fait fausse route évidemment. Il y a en plus beaucoup d'humour avec des personnages secondaires attachants comme les parents de Dano dont Banderas que je n'attendais pas ici!
    Cluny
    Cluny

    74 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 octobre 2012
    Y'a pas à tortiller, ça doit être mon mauvais fond : je préfère 100 fois qu'on me raconte l'histoire d'une mère de famille débordée, d'un père raté, d'un fils autiste et militariste, d'un oncle suicidaire et d'un grand-père défoncé plutôt qu'une jolie histoire d'amour, quand bien même celle-ci présente la particularité de confronter le créateur et sa créature. Je parlais hier pour "Do Not Disturb" du charme de l'inconnu dans les avant-premières, et des motifs qui peuvent me pousser à y aller ; pour "Elle s'appelle Ruby", pas besoin d'autres raisons que l'envie de voir ce que Jonathan Dayton et Valerie Faris allaient faire après "Little Miss Sunshine", dont j'annonçais il y a sept ans qu'il allait devenir culte, et ce n'est pas mon neveu qui me contredira !
    Le changement de tonalité entre les deux films est-il dû au changement de scénariste ? Délaissant Michael Arndt, Jonathan Dayton et Valerie Faris ont choisi Zoe Kazan (petite-fille d'Elia Kazan) qui joue aussi le rôle de Ruby et dont c'est le premier scénario. Elle a raconté que c'est la vision d'un mannequin gisant dans les rues de New York qui l'a renvoyée au mythe du sculpteur Pygmalion donnant vie à sa statue Galatée et qui lui a donné l'idée de cette histoire. Ce thème n'est pas nouveau, de Hermione dans "Le Conte d'hiver" de Shakespeare à "Frankenstein" de Mary Shelley, jusqu'à "My Fair Lady", évoqué par la vision sur un écran d'Audrey Hepburn dans "Sabrina".
    Calvin Weir-Fields est donc une sorte de J.D. Salinger qui accepterait de faire des conférences, et son rattachement aux clichés littéraires du siècle passé est symbolisé par son usage d'une machine à écrire Olympia, bien plus cinégénique que le Macbook qu'il achète à la fin. Victime du traumatisme de la page blanche, il va voir une autre figure du cinéma de la fin du siècle dernier, un psy joué par Eliott Gould, acteur qui incarna en son temps bon nombre de psychopathes. Sur ses conseils, il écrit une nouvelle où il donne vie à un personnage de ses rêves, sans se rendre compte du double sens de l'expression "donner vie".
    Le début du film, très sage, se traîne en longueur, entre des scènes d'exposition pour bien situer le dégré de coincitude de l'écrivain, et l'apparition de la créature qui ne donne pas davantage de rythme, la multiplication des scènes "Mon Dieu, j'y crois pas", seul ou avec son frère ne faisant qu'étirer un récit où il ne s'est rien passé d'autre que l'irruption d'un personnage de papier dans la vie de Calvin. La visite à la mère (Annette Bening), ex-housewife en polo devenue New Age au contact de son sculpteur de compagnon (Antonio Banderas) n'arrange rien, bien au contraire, tant on se vautre dans des situations et des personnages caricturaux empruntés à "Meet the Fockers", c'est dire la légèreté.
    Quand Ruby commence à vivre par elle-même, loin de la jeune femme rêvée qu'il a inventée, il tente de modifier son attitude en transgressant la règle qu'il s'était lui-même fixé, à savoir en décrivant sur sa machine le comportement qu'il souhaite retrouver. C'est cette partie la plus intéressante, à la fois par le potentiel comique qu'elle possède, l'exagération des qualités de soumission ou de bonheur de Ruby donnant quelques scènes où on retrouve l'énergie potache de "Little Miss Sunshine", mais aussi par la réflexion qu'elle induit sur la représentation fantasmée qu'on peut se faire de l'autre dans le couple, et qui ne correspond jamais à son attente et à son besoin.
    Malheureusement, ce dérèglement chaotique ne dure pas, et le récit rejoint vite les rails de la comédie romantique, avec une happy end qui efface toute la pertinence du propos. Dans le rôle de Calvin, le Lorànt Deutsch américain semble flotter dans son costume d'écrivain bien sage, loin de la fièvre inquiétante d'Eli Sunday dans " There will be blood" et Zoe Kazan, compagne dans la vie de Paul Dano, apparaît plus comme un double féminin de Calvin que comme une créature fantasmatique. Notons pour mémoire une curiosité : après la présence de Marcel Proust dans le scénario de "Little Miss Sunshine", c'est la B.O. qui fait référence à la France, avec Plastic Bertrand (Bon d'accord, il est belge), Sylvie Vartan (Bon d'accord, elle est Bulgare) et Holden. A mi-chemin entre la comédie romantique et la comédie tout court, "Elle s'appelle Ruby" ne trouve jamais son propre style et encore moins le rythme qui faisait la qualité de "Little Miss Sunshine", accident heureux ou "Attrape-Coeurs" du duo ?
    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    56 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2014
    Et bien non, je n'ai pas accroché peut être à cause du sujet trop léger du film et à l'acteur Paul dano, que je n'aime pas trop.
    annereporter94
    annereporter94

    49 abonnés 1 006 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 janvier 2014
    Un très joli film où l'imagination est reine. N'en déplaise à la critique nullissime de "Première", ce film vit de son charme et de sa relative naïveté...
    Eldacar
    Eldacar

    48 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 octobre 2012
    Relecture du mythe de Pygmalion et Galathée, "Elle s'appelle Ruby" traite à la fois de la difficulté de l'acte de création, de la relation de couple et du narcissisme d'un homme (Calvin l'écrivain) qui ne trouve l'amour qu'avec une personne (Ruby) qu'il a créé lui-même. Riche programme. Dommage que le film tombe trop vite dans la pure comédie romantique, se qui lui enlève beaucoup de sa finesse. De même, le passage au genre très codifié de la rom com rend les rebondissements très prévisibles. On remarque tout-de-même les prestations de Paul Dano (n'importe qui ayant vu "There will be blood" connaît son talent) et Zoe Kazan (également scénariste), qui apportent un peu de punch au film. Quelques bonnes scènes se démarquent également, spoiler: notamment la séquence d'une perversion inouïe au cours de laquelle Calvin humilie (on pourrait même dire torture) Ruby en obligeant celle-ci à faire tout se qu'il souhaite
    . Mais "Elle s'appelle Ruby" déçoit car trop inégal et ne se montrant pas à la hauteur de ses ambitions.
    Charles G
    Charles G

    34 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2012
    Zoe Kazan est à la fois au départ de l'aventure et à son arrivée, en ayant écrit la nouvelle dont le scénario du film est tiré et en interprétant son personnage féminin principal. Elle incarne une Ruby fantasmagorique, pétillante, belle sans être parfaite, fragile, encline à satisfaire sa moitié à tout moment. Bref, une certaine idée de l'idéal féminin. On retrouve également le trop rare Paul Dano, toujours très bon mais dont on ne peut pas dire qu'il apparaît ici dans un de ses meilleurs rôles. Le "control freak" dans la peau duquel il se trouve est un tantinet exagéré, et va loin dans l'expression "cracher dans la soupe". L'idée de base est intéressante et nous fait nous poser la question de ce que nous ferions dans telle situation. Aussi, l'évolution de l'histoire, même si un peu exagérée et précipitée, est dans l'ensemble réaliste. Comment, lorsque nous avons ce dont nous avons toujours rêvé, nous débrouillons-nous souvent pour tout foutre en l'air ? Comment faisons-nous pour aggraver sans cesse des situations que nous pourrions régler de bien pus intelligente façon à condition de s'en donner les moyens ? Voilà ce que ce film nous pousse à nous demander. Reste toutefois une comédie où l'on ne sourit pas vraiment et au rythme assez monotone. J'en attendais plus.
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