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Votre avis sur The Raid 2 ?
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Ce film comporte des scènes d’une violence assez impressionnante et des bastons tellement intenses qu’on en retient son souffle. On souffre avec les personnages tellement les chocs sont puissants. La réalisation est excellente, avec des plans caméras qui virevoltent, qui nous amènent au plus près de l’action, c’est époustouflant. Alors pourquoi seulement 3 étoiles me direz-vous ? A cause du scénario qui ne tient pas la route. Tous ces mafieux qui se baladent sans arme à feu, et qui sortent des armes blanches pour se taper. Le mec avec sa batte de baseball, il affronte une dizaine de types qui sont censés assurer la sécurité mais qui ne portent pas de flingue. Idem pour la fille aux marteaux dans le métro. Et tant d’autres bastons similaires, mais c’est propre aux films d’arts martiaux. Il n’empêche que je trouve ça nul et que ce manque de crédibilité plombe le film. Sans parler des flics qui sont soit pourris, soit inutiles, soit complètement débiles notamment dans la gestion de leur agent infiltré. Et le pompon revient au traitement de faveur envers le héros : tout le monde se fait buter sauf lui qui se fait evacuer inconscient puis transporter en voiture sans meme avoir été ligoté ! Non mais sérieusement, c’est ridicule ! Mais je le recommande vivement aux adeptes des films d’arts martiaux, certaines scènes sont vraiment époustouflantes !
Florent B.
Le premier volet m’avait littéralement scotché, par son enchaînement de combats violents et fusillades démentielles. Ce second volet, d’une durée nettement plus longue, explore davantage l’univers de The Raid, où corruption, et trahison, pimentent l’histoire. Un scénario solide, bétonné d’une violence esthétique, en enchaînant une nouvelle fois, combats spectaculaires, poursuites en voiture ( rarement aussi bien filmées ), et fusillades sanglantes. Se finalisant dans un bain de sang purement jouissif. Un grand film d’action. Mais j’ai toutefois préféré le premier. Vivement le 3...
Une suite assez satisfaisante.Un film d'action spéctaculairé, par contre c'est très violent pour un film comme ça.
Sans doute une des violence dans un film d'action jamais atteinte mais avec une si belle maîtrise et des combats d'une énergie et d'une tonicité remarquable que ce deuxième opus fait rentrer Raid dans l'histoire du cinéma d'action et se distingue au la main des autres film de son genre, un film "hard" mais parfait si vous aimez l'action pure et dure !
Et un autre coup de poing en pleine face, mais en plus long.
Difficile de pas comparer ce film et le premier du nom, qui faisait montre d'une agréable simplicité (de scénario, d'environnement, de personnages).
Les scènes de combat sont encore plus intenses, plus ultimes, plus rapides... et rien que pour ça The Raid 2 se doit d'être vu, sans doute un des films d'action les plus violents et brutaux qui soient.
Et pourtant, tout cela reste esthétique, avec de nombreux plans superbes, de l'inventivité dans la mise en scène, des mouvements de caméra simplement incroyables et une action (presque) toujours lisible et d'une virtuosité sans égal.
Comme dans le premier film, la bande-son est très travaillée et participe tout à fait efficacement au film et à l'action.
Seul point noir à mon sens, un scénario qui se complique inutilement et une histoire parfois confuse avec ses très nombreux protagonistes. Un point noir de nouveau très relatif au vu de la qualité sidérante des scènes d'actions !
Difficile de pas comparer ce film et le premier du nom, qui faisait montre d'une agréable simplicité (de scénario, d'environnement, de personnages).
Les scènes de combat sont encore plus intenses, plus ultimes, plus rapides... et rien que pour ça The Raid 2 se doit d'être vu, sans doute un des films d'action les plus violents et brutaux qui soient.
Et pourtant, tout cela reste esthétique, avec de nombreux plans superbes, de l'inventivité dans la mise en scène, des mouvements de caméra simplement incroyables et une action (presque) toujours lisible et d'une virtuosité sans égal.
Comme dans le premier film, la bande-son est très travaillée et participe tout à fait efficacement au film et à l'action.
Seul point noir à mon sens, un scénario qui se complique inutilement et une histoire parfois confuse avec ses très nombreux protagonistes. Un point noir de nouveau très relatif au vu de la qualité sidérante des scènes d'actions !
Plein d'action, bagarres, poursuites, tirs, un peu comme Tarantino. Le film a une histoire décente pour le genre mais vraiment, je sens la douleur et pas de plaisir à regarder des gens se faire tabasser et taillader.
Ce film est une découverte, de la violence explicite impliquant une guerre sans pitié Police contre gangsters indonésiens, le personnel principal est une taupe s’infiltrant chez ces barons de la drogue pour se cacher des collègues ripoux sous peine d’être dénoncé et de risquer sa vie. Le super-flic surentraîné d’une intégrité sans faille est prêt à combattre au péril du devoir, la raison de sa détermination, ses adversaires ennemis sont férocement survoltés et lui tienne tête, ce ne sera pas de tout repos, le chemin s’annonce rude jusqu’au bout du suspense.
Le succès rencontré par l’explosion de bourrinage décérébré qu’était The Raid rendait prévisible de voir une suite poindre le bout de son nez. C’est donc en toute logique que, deux ans après le premier film, Gareth Evans a réuni une nouvelle équipe, ne gardant que trois des acteurs du premier opus qui a vu la large majorité de ses personnages se faire massacrer, pour filmer une série de combats au Pencak Silat chorégraphiés avec brio. Mais cette fois, le réalisateur gallois expatrié en Indonésie ne s’est pas contenté de cumuler les scènes de baston en s’alignant, comme précédemment, sur un schéma hérité d’un vieux jeu de plateforme puisqu’il a eu les moyens de ressortir de ses tiroirs un véritable scénario écrit plusieurs années plus tôt. Sans qu’il s’agisse d’un polar écrit de façon approfondie, cette suite réussit à installer, non sans un minimum d’humour au second degré, un semblant d’intrigue, utilisant tous les poncifs de base du film de mafieux, pour justifier la violence sans limite qui la ponctue. En plus de ces combats, aussi bien à bien à mains nues qu’à coups d’armes saugrenues, qu’Evans a monté avec un panache éblouissant, la scène de course-poursuite en voiture dont jouit le film est particulièrement réussie. Nettement plus abouti que son prédécesseur, The raid 2 est un sacré défouloir qui, lui, n'aura pas démérité une réputation, quoique surclassée, de petite révolution dans le cinéma d’action.
Une suite correcte mais rien de transcendant par apport au premier. Ce qui est bien c'est que c'est une suite directe, toujours autant de combat mais quelques longueur étant donnant que cette suite dure 1h de plus que le premier
Vraiment Non 👎 apres the raid 1 que j'avais pas du tout aimé une surenchère de violence et de combats voici the raid 2 Avec quand même une histoire, mais alors en longueur 2h20!!!! Et toujours pareil des combats certes réussi mais c'est lassant à force Et d'une violence je ne vois pas l'intérêt, surtout quand c'est à répétition .
Bref le cinéma indonésien n'est vraiment pas mon créneau
Bref le cinéma indonésien n'est vraiment pas mon créneau
Assez bluffé par le premier Raid dont l'absence de scénario était totalement assumée. Malheureusement le réalisateur tente d'insuffler un scénario brouillon, confus, sur 2h30. Ca lorgne vers Infernal Affaires en bien moins bon...
En revanche, que ce soient les bastons de la prison de la première partie ou surtout les hallucinants combats en huis-clos ou dans la rue, on atteint une fois encore des sommets de radicalité qui nous rapprochent de ce que faisait le cinoche de Hong-Kong époque Jackie Chan avec des cascadeurs sans filet et des vrais bras cassés. On n'ira pas voir dans quel état réel sont sortis les combattants, mais dieu que c'est réaliste, intense, bien chorégraphié. Avec 1h de moins (soit la durée du premier Raid) cela aurait été parfait. Dommage, pour une fois on reprochera au réalisateur d'avoir voulu mettre une histoire sur un film de baston. Comme quoi, en série B il faut toujours assumer son statut.
En revanche, que ce soient les bastons de la prison de la première partie ou surtout les hallucinants combats en huis-clos ou dans la rue, on atteint une fois encore des sommets de radicalité qui nous rapprochent de ce que faisait le cinoche de Hong-Kong époque Jackie Chan avec des cascadeurs sans filet et des vrais bras cassés. On n'ira pas voir dans quel état réel sont sortis les combattants, mais dieu que c'est réaliste, intense, bien chorégraphié. Avec 1h de moins (soit la durée du premier Raid) cela aurait été parfait. Dommage, pour une fois on reprochera au réalisateur d'avoir voulu mettre une histoire sur un film de baston. Comme quoi, en série B il faut toujours assumer son statut.
Une claque de cinéma comme on en n'a pas une fois par an.
Epure de l'intrigue qui reprend des vieilles recettes mais avec un tour de main tout particulier, The Raid 2 impressionne par la qualité de son casting, la maîtrise impeccable, sobre et élégante, de sa technique et de la mise en scène, la gestion sous tension de sa dramaturgie, et bien sûr ses combats ahurissants. Chorégraphies exceptionnelles, bastons de génie, art martial magnifique à la violence de cinéma jamais complaisante, zéro défaut pendant 2H25 pour un kiff total.
Plusieurs moments dans le film dégagent une puissance émotionnelle, graphique ou d'exaltation exceptionnelles.
Un chef d'oeuvre trop peu connu.
Epure de l'intrigue qui reprend des vieilles recettes mais avec un tour de main tout particulier, The Raid 2 impressionne par la qualité de son casting, la maîtrise impeccable, sobre et élégante, de sa technique et de la mise en scène, la gestion sous tension de sa dramaturgie, et bien sûr ses combats ahurissants. Chorégraphies exceptionnelles, bastons de génie, art martial magnifique à la violence de cinéma jamais complaisante, zéro défaut pendant 2H25 pour un kiff total.
Plusieurs moments dans le film dégagent une puissance émotionnelle, graphique ou d'exaltation exceptionnelles.
Un chef d'oeuvre trop peu connu.
Un film d’action, ou plus précisément d’arts martiaux, hors norme. Proche de Les infiltrés pour son intrigue sur l’infiltration au sein de gangs ou de Sans pitié pour sa violence stylisée et pour ses combats ultra maîtrisés. Un film de presque 3 heures bien rythmés, qui ne sait pas ennuyer son audience. Je le déconseille aux moins de 16 ans. 4/5
Autant le 1 possède un scénario des plus minimal, autant celui-ci plus long, s'avère trop compliqué inutilement. Trop de personnages, de gangs, menant à des confusions mentales inutiles pour un film de "baston" et de violence sans autre véritable intérêt que le plaisir de voir des gens se battre (avec des arts martiaux le plus souvent). Film passable toutefois. Une sorte de "parrain" à la sauce indonésienne, avec en plus de belles scènes de combats.
Meilleur film d'action de tous les temps! The Raid 2 redéfinit les codes du film d'action! On peut lire encore beaucoup d'autres conneries du même style sur les affiches du dernier film de Gareth Evans. Alors certes, The Raid 2 est loin d'être une purge, mais les gars, faut pas déconner! Ce film d'action indonésien ne révolutionne que dalle, c'est juste un bon divertissement bien hardcore qui n'arrive jamais à la cheville de ses modèles, à savoir: la filmo de John Woo, de Park Chan Wook et celle deTsui Hark. C'est effarant de voir comment des films peuvent être survendu à ce point. A croire que tous les journalistes ont obtenu de la prod' un joli petit voyage gratos en Indonésie pour nous lâcher sans sourciller que The Raid 2 serait tout simplement le meilleur film d'action depuis l'invention du cinéma...La presse nous avait déjà fait le coup pour le premier volet et elle remet le couvert pour sa suite...
A part la poursuite en bagnole, chaque séquences de The Raid 2 a déjà été vu ailleurs et en mieux. La scène du hangar? Beaucoup mieux dans A toute épreuve, Les plans séquences de fight? Je préfère revoir les Tony Jaa et Oldboy, Les plans hors actions? Ils sont pompés sur le cinéma coréen! Alors l'originalité vient seulement du fait que les The Raid proposent au cinéma un art martial malaisien jamais shooté auparavant, le pencak- Silat. Pour avoir rencontré un cascadeur pratiquant cet art martial sur un tournage, je peux vous garantir que ce style fracasse bien comme il faut. Le mec m'avait juste collé une claque sur la cuisse et je n'ai pas pu marcher pendant 2 heures. Dans la vraie vie, pratiquer le pencak-silat peut être très utile, je n'en doute pas, mais au ciné, c'est pas vraiment ça. Les coups sont lents et la force d'impact est très faible. Hors, ce qui fait vraiment bander au cinoche quand on mate un film de baston, c'est justement la force d'impact. Les chinois et les thaïlandais utilisent souvent la poussière pour justement doubler cette force tellement cinégénique. Le réal de The Raid tente de pallier ce manque en se vautrant inutilement dans l'ultra violence. Voyant bien que les chorés à elles seules ne remplissent pas le cahier des charges, il transforme donc ses bastons en cours magistral de boucherie charcuterie. Pour le scénario, on repassera. Gareth Evans tente de nous faire Le Parrain version Indonésie, mais le résultat est à des années lumières des films de Coppola. Le réal mixe un peu le cinoche Japonais et Coréen et sort un scénario vide de sens dans lequel les enjeux ont déjà été vu 1000 fois. Survendu à mort, The Raid 2 ne tient jamais ses promesses. Mais en fait, qui nous à fait la promesse que ce film serait un truc de ouf malade? La presse, le buzz et des spectateurs. The Raid 2 reste un honnête divertissement pour peu que l'on aime l'action et le sang qui gicle. Rien de plus, rien de moins.
A part la poursuite en bagnole, chaque séquences de The Raid 2 a déjà été vu ailleurs et en mieux. La scène du hangar? Beaucoup mieux dans A toute épreuve, Les plans séquences de fight? Je préfère revoir les Tony Jaa et Oldboy, Les plans hors actions? Ils sont pompés sur le cinéma coréen! Alors l'originalité vient seulement du fait que les The Raid proposent au cinéma un art martial malaisien jamais shooté auparavant, le pencak- Silat. Pour avoir rencontré un cascadeur pratiquant cet art martial sur un tournage, je peux vous garantir que ce style fracasse bien comme il faut. Le mec m'avait juste collé une claque sur la cuisse et je n'ai pas pu marcher pendant 2 heures. Dans la vraie vie, pratiquer le pencak-silat peut être très utile, je n'en doute pas, mais au ciné, c'est pas vraiment ça. Les coups sont lents et la force d'impact est très faible. Hors, ce qui fait vraiment bander au cinoche quand on mate un film de baston, c'est justement la force d'impact. Les chinois et les thaïlandais utilisent souvent la poussière pour justement doubler cette force tellement cinégénique. Le réal de The Raid tente de pallier ce manque en se vautrant inutilement dans l'ultra violence. Voyant bien que les chorés à elles seules ne remplissent pas le cahier des charges, il transforme donc ses bastons en cours magistral de boucherie charcuterie. Pour le scénario, on repassera. Gareth Evans tente de nous faire Le Parrain version Indonésie, mais le résultat est à des années lumières des films de Coppola. Le réal mixe un peu le cinoche Japonais et Coréen et sort un scénario vide de sens dans lequel les enjeux ont déjà été vu 1000 fois. Survendu à mort, The Raid 2 ne tient jamais ses promesses. Mais en fait, qui nous à fait la promesse que ce film serait un truc de ouf malade? La presse, le buzz et des spectateurs. The Raid 2 reste un honnête divertissement pour peu que l'on aime l'action et le sang qui gicle. Rien de plus, rien de moins.
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