Qui a dit que les suites ne pouvaient égaler ou surpasser son prédécesseur? Gareth Evans frappe encore plus fort avec ce deuxième volet de "The Raid" qui reprend les mêmes ingrédients que le premier film. On retrouve ainsi un pur film d'action/d'arts martiaux à cheval entre la tradition et le moderne sans abus de "shaky cam", de découpage exagérément saccadé ou de nombreux gros plans. Le cinéaste maitrise son sujet et l'ensemble est parfaitement équilibré pour que le spectateur puisse jouir pleinement des scènes d'action, des superbes chorégraphie et d'une photographie soignée. Le fait que l'action se déroule cette fois en extèrieur, contrairement au premier opus qui se passait intégralement dans un immeuble, multiplie les possibilités et libertés scénaristiques et efface l'aspect répétitif du précédent long métrage. Le cinéaste a placé la barre plus haut pour un résultat jouissif et d'une redoutable efficacité.
The Raid 2 n'est pas vraiment une surprise, le premier était une grosse bombe ou s'enchainais bastons et fusillades pendant plus de 90 minutes. Ici c'est a peut prêt le même concept sauf qu'en plus on a droit a un scénario digne de blockbuster entre guerre de gang et infiltration. Les scènes d'action sont spectaculaires et tendus a souhait, Rama est plus charismatique ici car c'est vraiment sur lui que s'oriente le film. La manière de filmer les scènes d'action sont excellentes et la violence éblouissante dans cet opus. Rarement un combat final n'a été aussi spectaculaire et aussi bien mis en scènes. La fin pourrais laisser entendre qu'un troisième opus pourrais bel et bien voir le jour, ce serais vraiment indispensable pour clore la saga.
et bien je pensais qu'il serait impossible de faire mieux que le premier volet en therme d'action et de scenario et bien j'avais tord ^^. Ceux qui ont aimé le 1 ne peuvent qu'apprecier le 2 . A voir et à revoir pour les choregraphies de ouf ^^. En plus il est plus gore...que demander de plus héhé
J'ai du mal à comprendre les bonnes notes pour ce film, même côté presse, d'une violence extrême et gore à base de baston asiatique. J'ai pensé à Indiana Jones quand il était menacé avec un sabre, au lieu de se défendre avec son fouet, il sort son revolver et là c'est l'inverse, à croire qu'en Indonésie ils n'ont pas encore inventé la poudre, invention chinoise, et ça donne lieu à beaucoup de sang et de bruit d'os cassés mais je pense que c'est le but premier. J'ai tenu 1H30 sur les 2H30 du film ! :- ((
Le premier volet ne m'avait aucunement laissé indifférent ! Ce fut une claque de haute volée, principalement grâce aux nombreuses scènes de combats épiques. Pour moi, The Raid est un film d'action culte pour sa génération ! Sur une trame toute simple, le cinéaste Gareth Evans a véritablement su nous montrer la puissance de la mise en scène, servie par les chorégraphies techniques et précises effectuées par les comédiens, pour la plupart adeptes d'arts martiaux. En cet été 2014 à la chaleur suffocante, le réalisateur indonésien nous pond la suite directe des aventures de Rama (toujours interprété par le charismatique Iko Uwais), que beaucoup de fans ont attendu avec impatience ! Etant sublimé par le premier du nom, je peux déjà vous dire que cette suite est du même acabit ! Le film recèle de beaucoup de scènes d'anthologies : l'affrontement entre prisonniers dans la boue, la course poursuite sur sur l'autoroute, le combat opposant Rama à 2 Yakusas aux méthodes atypiques mais tout de même drastiques... etc Vous l'aurez compris, l'intérêt majeur de The Raid 2 réside essentiellement dans ses scènes de combats qui sont toujours magnifiquement mises en scènes ! S'il est moins surprenant que son prédécesseur dans sa forme, nous pouvons quand même dire qu'il en jette plus question cinématographie. Le scénario est plus fouillé, de nombreux plans larges offrent une image scintillante, la direction artistique est habilement maitrisée... Le seul défaut majeur que j'ai pu soulevé est l'utilisation beaucoup trop abusive du travelling, qui perd sérieusement en crédibilité à un moment donné. Ok pour accentuer la tension, mais pas du tout d'accord pour en faire quelque chose de rébarbative et franchement lourd !
Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un bon film d'action/combat, bien loin des derniers films de keanu reeves. Ce film est d'une rare violence, les combats de thai et chorégraphies sont très bien orchestrés et est globalement bien plus aboutie et mieux fini que son prédécesseur. Les performances de l'acteur principal en terme de combat sont moindre qu'un Tony jaa à titre de comparaison, mais je souligne que ce film vaut largement le détour.
Pour voir de la violence entre mafieux, il n'y a rien à redire..coté personnage faudra repasser, coté trame à part chercher qui est qui pendant tout le film je ne m'en souviens pas.. sur 2h30 de film, 15 minutes de dialogue, 15 de jeux de regard et 2h de combats épuisants..En total perdition... attendez qu'il passe sur la TNT avec de la pub au milieu histoire de faire des pauses oculaires..
C’est littéralement K.O que l’on sort de la projection de « The Raid 2 ». La promotion ne mentait aucunement : on tient là le film d’action de l’année si ce n’est de la décennie ; et pour pouvoir surpasser ce degré de réussite et de savoir-faire, il va falloir sacrément s’accrocher. Les américains peuvent aller se rhabiller surtout qu’ici il n’y a aucun effet spécial ou presque. Le premier opus, un peu sous forme d’un jeu vidéo avec différents niveaux correspondant à différents ‘boss’, nous en avait déjà mis plein les mirettes mais manquait cruellement d’une histoire en tant que telle pour s’affranchir de la simple série B de luxe. Ici l’anglais Gareth Evans, exilé en Indonésie, voit très grand et greffe une histoire mafieuse de (très) haut niveau aux scènes d’actions et de combats à mains nues. Et on peut dire que, même s’il a dû bien digérer foultitude de films de genre de Tarantino à John Woo en passant Tsui Hark ou le Tony Jaa de « Ong Bak », il recrache ses influences à sa sauce dans une mixture frôlant la perfection technique, visuelle et narrative. Le chef d’œuvre du film d’action, du film d’arts martiaux et du film de triades en un seul ! Impossible me direz-vous ? On en reparle après avoir vu le long-métrage de ce surdoué de la caméra qui sait composer des cadres et des travellings fascinants de beauté. Qui sait également filmer des combats comme personne sans nous filer une migraine et sans hacher son montage de manière épileptique. Qui sait aussi le temps d’une course-poursuite en voiture sidérante de maîtrise formelle renvoyer « Fast and Furious » à la casse. Mais cela n’est que pour le côté spectaculaire… Chaque moment d’anthologie dans l’action est ponctué de moments plus apaisés où trahisons, vengeances et duplicités se font face. Une intrigue de haute volée complexe (peut-être un peu nébuleuse durant le premier quart d’heure avec son abondance de noms et son entrée directe dans le feu de l’action) mais qui comblera n’importe quel fan des grands polars. Chaque personnage est charismatique et Evans sait le rendre inoubliable ou automatiquement inscrit dans la mythologie de son film par le biais de peu de répliques ou de quelques gestes forts. Les dialogues sont autant d’uppercuts que les coups portés eux-mêmes. Ces deux heures et demie, on les passe crispés sur les accoudoirs de siège en se disant que ce film s’inscrit au panthéon des perles asiatiques aux côtés de chocs tels que « Battle Royale » ou « J’ai rencontré le Diable ». Chaque séquence d’action est à ce point mémorable et aussi inouïe que la précédente qu’il en devient difficile de se remémorer sa préférée ! Celle de l’émeute dans la prison, celle de la tueuse au marteau dans le métro, le final ou encore le sauvetage en voiture ? D’une extrême violence et d’un réalisme à toute épreuve, « The Raid 2 » imprègne durablement la pupille du spectateur et se rangera directement dans les incontournables du septième art bis et qui vieillira aux côtés des classiques. C’est un tour de montagnes russes où comme faire l’amour : des préliminaires à l’accélération érotique, on finit par atteindre l’orgasme cinématographique ! Et pour tout amateur de films d’action celui-ci atteint le nirvana ! Immanquable !
Poooo ! quel film ! Une bonne suite qui se perd parfois ( à mon avis ), mais pour de l'action , IL Y A DE L'ACTION ! des énemis plus forts et un héros qui fait tout pour arriver au bout de sa quête. Allez le voir !
Très médiocre. Aligner ainsi des scènes de combat d'une violence voyeurisme avec un scénario d'une platitude et d'un manque d'originalité totaux relève du gaspillage inutile. Très ennuyeux par la répétition. Les spectateurs en viennent à rire quand les chairs explosées en viennent à salir les murs, c'est tout dire. Ne plaira pas aux amateurs de vrai cinéma et d'histoires racontées avec intelligence.
Des combats violents, extrêmes et sans pitié sont distillés avec efficacité. On retrouve notre héros dépassé par l'intrigue qui essaye de s'en sortir. Ajoutons une pair de méchants stylisés Hammer Girl et l'homme à la batte. C'est distrayant et efficace. Enfin des combats sans filtre hollywoodien, les entailles saignent, les membres cassent, ... des scènes d'action cultes.
Gareth Evans avait créé instantanément un film culte asiatique avec The Raid. The Raid 2 est beaucoup plus varié, extrêmement efficace dans les scènes de combat, comme dans les scènes de poursuite. La mise en scène est plutôt réussi, mais les dialogues sont filmés sans beaucoup de relief, peut-être pour mieux contraster les combats. Le film est supérieur au premier, Gareth Evans prend son temps au début pour installer l'histoire, mais quand ça explose, c'est un feu d'artifice. Hautement recommandable et sans aucun équivalent dans le cinéma américain.
un scenar proche des "infiltrés", déjà connu mais filmé de façon tellement intense et stylé, des combats qu on ne présente plus et qui font craquer les dents, des personnages iconiques, des acteurs qui "joue" si l on ne cherche pas trop non plus l oscar dans leurs performances, une musique haletante et poétique, the raid 2 s élève à tous les niveaux et en impose, une suite qui se sert de son prédécesseur comme d un tremplin pour tout décupler... on sent que Gareth Edwards a mis toutes ses tripes et son âme, si bien que la dernière réplique du film, une des meilleures dans le cinéma pour ce genre de film, doit être à l image de qu il a du ressentir au vu de cet excellent résultat