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Votre avis sur The Raid 2 ?
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The Raid 2 : Berandal est une suite hallucinante, du début jusqu’à l’hilarante dernière réplique. Prenez The Raid et jetez-le à la poubelle. Prenez tous les meilleurs films d’arts martiaux, L’Honneur du dragon compris, et descendez-les d’un cran du podium. Il y a un nouveau Numéro Un en ville…
Lisez la critique complète sur le blog de Marvelll.
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Un film d'action de la même lignée que le précédent et très spectaculaire. Il ne faut pas vraiment faire attention au scénario qui n'est pas le point fort du film. Un acteur principal très physique pour les scènes d'action et qui passe bien la baraque. Les reste du casting asiatique ne ne montre pas aussi convaincant et montre peu d'émotions, cela gâche un peu le film. Les scènes de combat, absolument rien à dire. C'est fluide, dynamique, violent, bien chorégraphiée et surtout bien cadré pour bien en profiter. Quelque chose m'a peu gêné dans ce film. Deux possibilités, soit son scénario ou soit le film est trop longue car on perd un peu de tension contrairement au premier. Des décors et des costumes normaux. Malgré ce défaut, le film reste un excellent film d'action avec des scènes de combat rarement vu même si je ne cache pas que j'ai une préférence du premier.
Soyons clairs : The Raid premier du nom était une petite pépite en matière de surprise inattendue. Acclamé par de nombreux festivals, il avait su, par l'utilisation de son cadre et son action effrénée, réinventé les codes du cinéma d'action, à l'instar d'un John Mctiernan 30 ans auparavant avec son Piège de Cristal. En ressortait un film étourdissant, surprenant de rythme et d'ultraviolence. Une claque! Une claque certes...mais qui apparaît désormais comme mineure face à sa suite!Le film commence dix minutes après les évènements du 1er opus. Rama, le héros, doit à nouveau se confronter aux dangers du terrain, non pas en montant un commando, mais en infiltrant cette fois-ci le milieu de la pègre responsable de la mort de son frère. Il devra maintenir un dangereux équilibre entre sa relation avec les truands et sa mission pour la police, sensée porter un coup fatal à l'empire du crime. Les dégâts n'en seront malheureusement que trop grands!Le réalisateur Gareth Evans, pour tout fan de films d'actions qui se respecte, est un nom à entourer. A retenir, à encadrer d'un feutre rouge sang, tant son cinéma transpire la passion, la sincérité envers son propos et son public, les nombreuses références auquel il rend bien plus qu'un simple hommage! En effet, en construisant un véritable scénario digne des plus grandes tragédies mafieuses hong-kongaises (Les Syndicat du Crime et les Election en tête!), il s'inspire à la fois des plus grands Johnnie To, John Woo et consort! Cela se ressent également au plan technique, où sa mise en scène atteint une précision folle : la caméra virevolte, tournoie, se déplace en plan séquence, donnant à certains plans une qualité esthétique irréprochable! Et surtout un plaisir coupable démentiel lors des séquences d'action!Et là, le public est servi. Même si ce sont majoritairement des scènes de combat, tout l'arsenal y passe : flingues, matraques, battes de base-ball, balais, marteau, serpes, couteau, grill... Une ultraviolence décuplée, choquante mais diablement efficace, exécutée par des artistes martiaux au talent indéniable, renvoyant aux oubliettes les scènes de combat de bon nombre blockbusters hollywoodiens. A titre d'information, la scène de combat final a quand même nécessité six semaines de préparation : le cliffangher qui en résulte fera dresser le poil de n'importe quel spectateur. C'est indéniable : The Raid 2 est tout simplement le meilleur film de 2014 à ce jour, et probablement un des meilleurs films d'action de la décenie. Plus qu'un coup de coeur : un véritable KO!
Grand Amateur de Film de Fight c'est peut être même ce que je préfère mais ceux la j'ai jamais accrocher 1et 2 tout simplement parce que s'est Mal filmé,j'aime voir ce qui se passe pendant l'action et non apercevoir bien trop épileptique avec camera qui bouge dans tout les sens dommage
Apprenez a cadré
Apprenez a cadré
Le penchak silat, art martial indonésien parcourt l'nsemble du film tout comme dans le précédent volet. Néanmoins celui-ci plus aboutit et varié fait appel à de jolis courses poursuites fusillades et autres cascades pour notre plus grand plaisir de spectateur. Oui, indéniablement ce film est une réussite en matière de mise en scène et de chorégraphies de combats. Ainsi, les deux réunis, on obtient quelques scènes tout simplement jouissives où le sang gicle sans peine et où les coups assassins pleuvent. Quelques scènes notamment dans la prison ou dans le repère d'un des personnages boiteux avec une cane ( digne des plus grands méchants de James Bond) sont esthétiquement magnifiques et participent à enjoliver ce festival de coups brutaux. Le film pêche uniquement par sa mise en place de l'histoire au début nécessaire mais qui en comparaison de la dernière heure et demie du film fait très pâle figure. Tout de même un excellent film juste jouissif.
Le premier opus était terrible mais un peu oppressant a cause des endroits clos !!! Le deuxième est une merveille de réalisation des chorégraphies de toute beauté ... Un film culte pour les amoureux du genre !!!
Kurosawa
Plus de personnages, un scénario moins minimaliste mais toujours autant de bastons et de sang: "The Raid 2" se présente ainsi. Je note les mêmes points forts que le film précédent, c'est-à-dire un sens du cadre qui permet des scènes d'action impressionnantes et stylisées; et des acteurs charismatiques qui nous font très vite comprendre qu'ils ne sont pas là pour plaisanter. Après, il est difficile de nier que les scènes ultra-violentes sont répétitives et qu'elles s'inscrivent dans une banale histoire de clans et de trahisons. On se réjouit quand même de voir que l'on peut faire des miracles avec un simple manche à balai, un marteau ou autre serpe. Alors, ce n'est pas "l'un des meilleurs films d'action de tous les temps", mais simplement un bon divertissement aux rares longueurs, et c'est déjà pas mal.
Plus long, plus de personnages plus de baston. Bref une suite relativement classique a priori mais qui pourtant malgré quelques sac de nœuds parvient a égaler le précédent. Encore une fois les séquences de combats sont d'une maitrise incroyable, la tension monte a chaque instant. Le combat finale dans la cuisine est tout simplement magistrale.
Un très bon film certes peut être long mais qui est d'une redoutable efficacité.
Un très bon film certes peut être long mais qui est d'une redoutable efficacité.
Dik ap Prale
Après Merantau (2009) et The Raid (2011), Gareth Evans gagne en réputation en signant une suite aux dimensions plus harmonieuses - un équilibre réussit en récit et combats - et bien plus bestiale. Directeur, scénariste aux commandes des chorégraphies, du montage et nourrit d'un enseignement sans limite en terme d'action, il se libère des contraintes de sa tour et fait de Berandal son Exutoire à références. Serpettes, Batte, Marteaux, Machettes, Pioche; Train, Cuisine, Resto, Boite de Nuit, Voiture, Toilettes et Bain de boue offert par la prison; Flics véreux, Yakuza, Armes à Feu, Pencak-Silat... rien de manque assurément. Yayan Ruhian, Cecep Arif Rahman et Iko Uwais orchestrent le tout à coup de tatanes, entourées de figures solides, sans doute mieux dirigées également depuis Merantau. Viscéralement pas enthousiaste à ce point depuis The Man From Nowhere (2010), je viens d'assisté grâce à Gareth Evans, dépositaire du Made in Indonesia, à la plus folle course poursuite et au tête à tête final le plus excitant. Gamin comblé par une générosité folle.
Welcome To Jakarta !
Le réalisateur Gareth Evans offre aux spectateurs une suite digne du premier opus en mélangeant film de gangsters et film d'action pour un cocktail explosif et sanglant qui s'impose comme LE film d'action de son temps !
Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
Le réalisateur Gareth Evans offre aux spectateurs une suite digne du premier opus en mélangeant film de gangsters et film d'action pour un cocktail explosif et sanglant qui s'impose comme LE film d'action de son temps !
Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
Un deuxième opus à la hauteur du premier, le film reprend les bases du succés du premier, à savoir les combats et leurs violences qui en ressort, mais gagne un scénario travaillé et recherché. Ce deuxième nous plonge dans un monde de mafieux, où règne la corruption. Le réalisateur a su mélangé cette ambiance de film noir avec le genre action combat. Un vraie réussite.
Souvenez-vous il y a deux ans. Rama affrontait une armée de vilains dans un immeuble ressemblant à une tour de la mort. Soyez prêts car aujourd'hui, cet homme va devoir démanteler tout un réseau criminel en s'infiltrant dans leur gang. Plus violent, plus spectaculaire, plus intelligent, The Raid n'était que l'entrée de ce dîner sanguinolent. Cette-fois, nous avons le droit au plat principal, et ça va saigner.
Cette suite à la folle ambition suivante : celle d'inscrire d'un rouge immaculé son nom dans le panthéon des films d'action. Et ce qu'il y a d'encore plus insensé, c'est qu'elle y parvient haut la main. Deux heures trente de pure bravoure. Deux heures trente d'hémoglobine. Deux heures trente de délectation atteignant un paroxysme déraisonnable. Qu'on ne s'y trompe pas, The Raid 2 n'est pas un enchaînement bête et méchant de combats plus indigestes qu'autre chose. Gareth Evans manie le rythme avec une dextérité impressionnante, alternant subtilement les phase narratives et dynamiques pour rendre l'ensemble harmonieux.
Parlons de ce qui fait l'essence de Raid 2 : l'action. D'une part, toutes les scènes de combats sont magnifiées par une mise en scène impeccable, une esthétique irréprochable et une caméra réussissant toujours à trouver sa place dans ce florilège de mouvements ultra-rapides. D'autre part, cela fait un bien monstrueux de voir un tel déluge de violence sur nos écrans. Qui en effet, aujourd'hui, peut rivaliser avec ce genre de production ? Donner sa chance à ce genre d'œuvre est primordial pour assurer l'éclectisme du septième art, et d'autant plus lorsqu'un résultat aussi abouti est rendu.
Soit, cette suite assure côté testostérone. Soit, ce film nous inflige des claques mémorables grâce à des passages cultes de par son ambition débordante. Mais le scénario vaut-il vraiment le coup ? La réponse est oui, définitivement. Entre la dénonciation d'un Etat corrompu et son cercle vicieux d'une violence sans fin, les rapports d'un père et son fils symbolisant l'ancienne et la nouvelle génération de gangsters, ou le parallèle qu'on peut dresser du personnage de Rama, se rapprochant d'un héros de tragédie grecque, nous n'avons plus qu'une seule chose à dire. Nous venons de finir notre viande, et nous attendons désormais le dessert.
Cette suite à la folle ambition suivante : celle d'inscrire d'un rouge immaculé son nom dans le panthéon des films d'action. Et ce qu'il y a d'encore plus insensé, c'est qu'elle y parvient haut la main. Deux heures trente de pure bravoure. Deux heures trente d'hémoglobine. Deux heures trente de délectation atteignant un paroxysme déraisonnable. Qu'on ne s'y trompe pas, The Raid 2 n'est pas un enchaînement bête et méchant de combats plus indigestes qu'autre chose. Gareth Evans manie le rythme avec une dextérité impressionnante, alternant subtilement les phase narratives et dynamiques pour rendre l'ensemble harmonieux.
Parlons de ce qui fait l'essence de Raid 2 : l'action. D'une part, toutes les scènes de combats sont magnifiées par une mise en scène impeccable, une esthétique irréprochable et une caméra réussissant toujours à trouver sa place dans ce florilège de mouvements ultra-rapides. D'autre part, cela fait un bien monstrueux de voir un tel déluge de violence sur nos écrans. Qui en effet, aujourd'hui, peut rivaliser avec ce genre de production ? Donner sa chance à ce genre d'œuvre est primordial pour assurer l'éclectisme du septième art, et d'autant plus lorsqu'un résultat aussi abouti est rendu.
Soit, cette suite assure côté testostérone. Soit, ce film nous inflige des claques mémorables grâce à des passages cultes de par son ambition débordante. Mais le scénario vaut-il vraiment le coup ? La réponse est oui, définitivement. Entre la dénonciation d'un Etat corrompu et son cercle vicieux d'une violence sans fin, les rapports d'un père et son fils symbolisant l'ancienne et la nouvelle génération de gangsters, ou le parallèle qu'on peut dresser du personnage de Rama, se rapprochant d'un héros de tragédie grecque, nous n'avons plus qu'une seule chose à dire. Nous venons de finir notre viande, et nous attendons désormais le dessert.
"The Raid 2" est une excellente suite qui tabasse et défouraille sec! Les scènes d'action, bagarres ou scènes de shoot, sont visuellement splendides. On retrouve avec plaisir le très bon Iko Uwais dans le rôle principal. Tant pis pour le scénario et la durée du film un poil trop longue, "The Raid 2" est jouissif et on s'éclate un max sans réfléchir! Incontournable!
The Raid 2 : Quand l’ultra-violence devient un ballet chorégraphié
Alors là, The Raid 2 te met direct dans l’ambiance : t’as pas le temps de t’asseoir que ça commence déjà à distribuer des beignes comme si c’était Black Friday dans un magasin de poings dans la gueule. Gareth Evans a visiblement décidé que The Raid premier du nom, c’était pour les fillettes. Là, il passe en mode "gangster indonésien sous stéroïdes", et ça se sent. Les scènes de baston sont des poèmes de violence : chaque coup, c’est de l’art martial à la sauce ketchup, et je te garantis que t’en ressortiras avec les tripes qui tremblent.
Tu pensais que Neo savait se battre ? Mon gars, après The Raid 2, Neo, c’est une majorette. Ici, chaque baston est millimétrée comme un combat de Street Fighter où chaque coup te fait mal. Iko Uwais enchaîne les combos plus vite qu’un tournoi d’eSports. Entre la Hammer Girl qui te ferait regretter d’avoir jamais possédé un marteau et Baseball Batman, qui frappe mieux qu’un Yankee sous dopage, on est en pleine masterclass de chorégraphie. C’est fluide, c’est mortel, et si tu loupes une scène, t’as raté un cours magistral de violence.
Alors, soyons clairs : on n’est pas là pour la poésie. L’histoire, c’est simple : Rama infiltre la mafia, et puis voilà, c’est parti pour deux heures de mandales intergalactiques. Le scénar est certes plus élaboré que dans le premier, mais ne va pas chercher des thèses philosophiques à la Inception. On est là pour voir du sang, de la baston, et des mafieux se faire découper comme dans un épisode de Narcos sous testostérone.
Si t’aimes les histoires de mafia, The Raid 2 t’en donne pour ton argent. T’as l’impression d’être en plein milieu d’un GTA Jakarta Edition avec des Yakuza en furie. Chaque gang veut son bout de gâteau, et le pauvre Rama se retrouve au milieu de ce joyeux bordel à essayer de survivre. Entre complots, trahisons et balles qui sifflent, tu te dis que la retraite anticipée, ça aurait été une meilleure option pour lui. Mais bon, faut bien que le film dure plus de 30 minutes, hein.
Le réal, Gareth Evans, t’offre ici des plans-séquences d’une pureté cristalline. Chaque baston, chaque fusillade est orchestrée comme un opéra de violence. Les chorégraphies sont millimétrées et tu te surprends à te demander comment le mec a fait pour filmer des scènes aussi fluides. Si Tarantino regardait ça, il mettrait direct son cigare de côté pour prendre des notes. Entre la caméra qui virevolte et les décors qui explosent, c’est un feu d’artifice visuel.
The Raid 2, c’est LE film d’action ultime. Gareth Evans te balance un chef-d'œuvre brutal, sanglant et magnifiquement chorégraphié. Les scènes d’action sont tellement bien filmées que même si t’es du genre à pleurer devant Le Roi Lion, tu vas te surprendre à adorer chaque coup. Sérieusement, si t’es pas encore fan de films d’action après ça, on peut plus rien pour toi.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Alors là, The Raid 2 te met direct dans l’ambiance : t’as pas le temps de t’asseoir que ça commence déjà à distribuer des beignes comme si c’était Black Friday dans un magasin de poings dans la gueule. Gareth Evans a visiblement décidé que The Raid premier du nom, c’était pour les fillettes. Là, il passe en mode "gangster indonésien sous stéroïdes", et ça se sent. Les scènes de baston sont des poèmes de violence : chaque coup, c’est de l’art martial à la sauce ketchup, et je te garantis que t’en ressortiras avec les tripes qui tremblent.
Tu pensais que Neo savait se battre ? Mon gars, après The Raid 2, Neo, c’est une majorette. Ici, chaque baston est millimétrée comme un combat de Street Fighter où chaque coup te fait mal. Iko Uwais enchaîne les combos plus vite qu’un tournoi d’eSports. Entre la Hammer Girl qui te ferait regretter d’avoir jamais possédé un marteau et Baseball Batman, qui frappe mieux qu’un Yankee sous dopage, on est en pleine masterclass de chorégraphie. C’est fluide, c’est mortel, et si tu loupes une scène, t’as raté un cours magistral de violence.
Alors, soyons clairs : on n’est pas là pour la poésie. L’histoire, c’est simple : Rama infiltre la mafia, et puis voilà, c’est parti pour deux heures de mandales intergalactiques. Le scénar est certes plus élaboré que dans le premier, mais ne va pas chercher des thèses philosophiques à la Inception. On est là pour voir du sang, de la baston, et des mafieux se faire découper comme dans un épisode de Narcos sous testostérone.
Si t’aimes les histoires de mafia, The Raid 2 t’en donne pour ton argent. T’as l’impression d’être en plein milieu d’un GTA Jakarta Edition avec des Yakuza en furie. Chaque gang veut son bout de gâteau, et le pauvre Rama se retrouve au milieu de ce joyeux bordel à essayer de survivre. Entre complots, trahisons et balles qui sifflent, tu te dis que la retraite anticipée, ça aurait été une meilleure option pour lui. Mais bon, faut bien que le film dure plus de 30 minutes, hein.
Le réal, Gareth Evans, t’offre ici des plans-séquences d’une pureté cristalline. Chaque baston, chaque fusillade est orchestrée comme un opéra de violence. Les chorégraphies sont millimétrées et tu te surprends à te demander comment le mec a fait pour filmer des scènes aussi fluides. Si Tarantino regardait ça, il mettrait direct son cigare de côté pour prendre des notes. Entre la caméra qui virevolte et les décors qui explosent, c’est un feu d’artifice visuel.
The Raid 2, c’est LE film d’action ultime. Gareth Evans te balance un chef-d'œuvre brutal, sanglant et magnifiquement chorégraphié. Les scènes d’action sont tellement bien filmées que même si t’es du genre à pleurer devant Le Roi Lion, tu vas te surprendre à adorer chaque coup. Sérieusement, si t’es pas encore fan de films d’action après ça, on peut plus rien pour toi.
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J'ai adoré le premier « The Raid » pour son suspense et son imprévisibilité, mais cette suite est trop prévisible et manque de cette anticipation. Bien que le film offre d'excellentes scènes de combats martiaux et une réalisation impressionnante, la suspension de l'incrédulité est parfois trop demandée. Le film semble trop vouloir imiter « Kill Bill », avec des scènes où un personnage principal affronte des dizaines d'adversaires de manière prévisible. Malgré ses défauts, le film est visuellement intéressant et les séquences d'action sont bien exécutées, rendant certaines scènes absolument mémorables, comme celle dans la cuisine. Néanmoins, j'apprécie davantage le premier film pour son ensemble, même si ce second est techniquement mieux réalisé. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
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