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chrischambers86
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3,5
Publiée le 21 juin 2023
Attention une nouvelle espèce d'insecte incendiaire dèbarque dans les salles obscures en 1975! Jeannot Szwarc, l'inclassable, nous dèmontre efficacement que les insectes peuvent mettre le feu aux choses telles que les èglises ou les voitures! Six pattes et trois sections, une sorte de colèoptère au mètabolisme èlevé qui fiche la panique dans un petit bled tranquille des Etats-Unis! Les avis divergent d'une vision sur l'autre à propos de ce "Bug", mais on ne peut nier une certaine originalitè dans ce film d'èpouvante. "Bug" aurait sans doute aimè acquèrir le statut du film culte, mais ces « insectes de feu » connaîtront un peu vite l'oubli! Heureusement Canal Plus dans les 90's et la Paramount Channel en 2023 redonnent une seconde vie à ce classique du genre, vivement dèconseillè aux personnes victime d'entomophobie et de pyrophobie, avec quelques scènes chocs (cf. les cheveux en feu de Joanna Miles)...
Un authentique navet que cet histoire de cancrelats pyromanes et lettrés, échappés des entrailles de la terre suite à un tremblement de terre. Je ne vais pas épiloguer longtemps dessus, c est très mauvais, le rythme est affreusement lent, c est bête et il contient une bande originale qui donne envie de se crever les tympans. Même au niveau de son aspect nanardeu on ne trouve pas son compte, le rythme catastrophique le rendant plus pénible qu amusant.
Sur un postulat assez semblable à bon nombre de séries B d'épouvante des années 60, Jeannot Szwarc met en scène à l'économie un suspense lent et finalement très prévisible, peu aidé par un casting qui semble être venu essentiellement pour toucher son cachet, et un scénario qui n'inventera rien d'éblouissant. La montée en pression semblait plutôt bien engagée, mais le final part un peu dans tous les sens, paraissant vouloir en finir au plus vite faute de meilleure idée. Un peu dommage.
Le film Les Insectes de Feu atteste un goût pour l’épouvante animalier cher au cinéma fantastique des années 70 : Phase IV, sorti un an auparavant, mettait en scène une invasion de fourmis, L’Inévitable catastrophe proposera, trois ans plus tard, une attaque d’abeilles tueuses. Le long métrage de Jeannot Szwarc s’empare du cafard, en particulier l’espèce connue sous le nom d’eurycotis floridana, réputée pour sa taille importante, comme menace sortie des profondeurs de la terre et décidée à pulluler telle une pandémie. Loin de se contenter d’illustrer sa propagation, le réalisateur prend le soin de faire ressentir sa présence au spectateur par le biais d’un travail du son remarquable – la musique électronique de Charles Fox ainsi que les bruitages créent une atmosphère sonore fort déplaisante – qui donne l’impression d’écouter pendant une heure et demie un « bug » informatique. Les insectes sont là, on les entend mais on ne les voit pas. Ça grouille sous les pieds, ça crépite au plafond, là derrière la voiture, un son parasite. Les cafards sont ici sources d’écœurement : ils dégradent ce qu’ils mangent, détruisent leur environnement en projetant du gaz enflammé, s’activent dans l’évier pendant que James Parmiter se sert un verre de lait, absorbent la côtelette de viande posée sur la table ; quant au chat qu’ils ont dévoré, on le sort de sa boîte pendant un déjeuner à la cantine. Les insectes apparaissent comme des consommateurs, des corps s’agglutinant à d’autres corps qu’ils sucent, creusent, ingèrent ; ils mangent et attaquent des parties du corps inhabituelles, de l’oreille à la paupière. Le long métrage réussit à répugner sans tomber pour autant dans le gore gratuit, représente de façon efficace cette menace rampante et invisible. Deux ans après Extreme Close-Up, Jeannot Szwarc effectue une entrée concluante dans le cinéma de genre type série B qui annonce son prochain film, Les Dents de la mer : deuxième partie.
Dans la lignée de "Phase IV" son aîné de 2 ans, on entre dans une psychose, un environnement angoissant au même titre que l'expérience du film "Au delà du réel". Il n'est d'ailleurs pas sans rappeler le pilote de la série éponyme des années 90 (qui n'a absolument aucun lien avec ce dernier ceci dit). Malgré quelques longueurs, le film tient son intérêt dans son ambiance, soulignés par un excellent travail sur le montage sonore et de belles prises de vue et un rôle plutôt bien porté et occupé par le protagoniste. L'ensemble n'a pas si mal vieilli, bien que niveau FX ça reste assez limité mais plutôt novateurs pour l'époque, tout comme pour son prédécesseur avec une observation minutieuse sur les fourmis. A voir ne serait-ce par curiosité.
C'est le film d'horreur typique qui a marché à l'époque parce qu'il était le premier long-métrage à aborder le sujet. Ici, on parle d'insectes venus des entrailles de la terre. Le film est tellement cheap qu'il fait peine à voir. Qu'il date de 1976 n'est pas une excuse. Les personnages ne sont ni attachants ni crédibles. Et contrairement à "Massacre à la tronçonneuse" de 1974, qui a été tourné peu de temps avant avec un budget bien moindre, "Les insectes de feu" est un film qui manque cruellement de rythme : la première demi-heure est assez dynamique avec le tremblement de terre et les premiers morts. Mais ensuite, on s'ennuie ferme et le film ne repart plus. Jeannot Szwarc fera bien mieux plus tard puisqu'il ne pouvait pas faire pire...
Pour l'époque ( années 70 ) , d'assez bons trucages et qui tient la route de par son scénario assez original . Ces insectes qui mettent le feu , ne sont pas tirés de la chanson de Johnny Hallyday , et sont ma fois , assez terrifiants . Ca joue assez bien ma fois . Dommage que le montage ne soit pas plus serré ( surtout dans le dernier tiers du film ) . Mais tout honnêtement , c'est un film qui se laisse agréablement regarder et ce , pour une bonne heure et demie de détente .