AlloCiné
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Votre avis sur Enemy ?
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C est drôle vraiment...mais c est pas du tout le but . D une prétention incroyable à chaque plan on finit par ne plus rien comprendre de ce qu a voulu raconter son auteur .Mélanie Laurent est insupportable je ne comprends toujours pas cette " actrice" et son succès...et que dire de la scène de l araignée ???? drôle vraiment.
C'est tout simplement une honte. Très mal écrit, grossier sans intérêt. Le côté "j'ai une partie" sombre en moi ou j'ai un double est mal exploité et complètement stupide. Tout le monde jouait sur son portable dans la salle tellement que le film était ennuyeux. Pourtant avec les acteurs on aurait pu s'attendre à un film beaucoup plus motivant, stimulant. Mais là très honnêtement le côté noir et blanc ou filmé à la sépia est trop pathétique!!! Je n'ai même pas compris l'intérêt du double qui est aussi minable au final...la femme de l'acteur qui semble avoir tout compris aurait pu nous donner des pistes...Mélanie Laurent n'a pas de grand rôle: on l'a voit juste dans un lit. Mais franchement c'est le plus mauvais film de 2014 voire des dix dernières années!!!
Ce film n'a aucun sens ! Pour moi la réussite d'un film se traduit par l'empathie que l'on peut ressentir pour les personnages, par des sentiments, de la tristesse, de la colère, de la joie, un fil rouge... Pour ce qui est d'Enemy c'est le trou noir, on est dans le brouillard, perdus tout le long du film sans rien à quoi nous raccrocher si ce n'est la prestation scyzophrénique de Jake Gyllenhaal (une fois de plus irréprochable par contre Mélanie Laurent reste cantonnée à des rôles sans aucune envergure). Denis Villeneuve nous abandonne dans une dimension perdue, on avance à tâtons dans un tunnel éclairé par cette lumière tamisée qui nous accompagne tout au long de ce chemin de croix. Mais au bout de tunnel pas de lumière récompensatrice mais au contraire une sombre bestiole incongrue... Impossible de ressentir le malaise que le réalisateur essaie de nous imposer car impossible de comprendre les réactions et agissements bizarres, disproportionnés des personnages. Je me doute bien que cette oeuvre doit avoir une signification profonde mais Denis Villeneuve ne nous donne aucune clef pour ouvrir une porte qui nous reste close. Rien pour appâter notre curiosité si ce n'est que des miettes à 8 pattes... S'il faut lire le roman pour comprendre son adaptation cinématographique alors c'est que cette dernière est ratée. Au final ma question est : mais comment des producteurs ont pu financer une telle chose ?
Un thriller psychologique expérimental qui m'a clairement laissé sur ma fin. Déjà parce que l'histoire, certes travaillée, est au final assez décousue. Les idées et les pistes s'entrechoquent sans jamais, au final, nous livrer d'explications ou d'interprétations concrètes. On reste dans l'énigme tamisée de cette double interprétation, et c'est à nous de broder un peu pour en dessiner à notre guise et à l'aide de nos neurones les explications et donc le fondement du film.
Mais au final, c'est trop flou, certains postulats comme l'araignée restent trop énigmatiques pour s'apporter une réelle interprétation, et on avance dans l'indécision en nous débattant pour comprendre les choses et cette personnalité si complexes. Mais personnellement je n'ai pas pu m'apporter d'explications convaincantes pour cerner ce film, et le peu de dialogues n'aident pas, voir, au contraire, nous renvoient toujours à nos plus profondes questions. Et au final, la sortie de route se fait sans l'ombre d'une réponse fiable et décisive pour ma part, et j'aime pas ça. Ce film reste trop étrange, ce délire appartenant au réalisateur qui n'a pas réussi à me le faire comprendre et partager.
Un deuxième visionnage dans les prochains jours m'aidera peut-être à y voir plus clair...
Mais au final, c'est trop flou, certains postulats comme l'araignée restent trop énigmatiques pour s'apporter une réelle interprétation, et on avance dans l'indécision en nous débattant pour comprendre les choses et cette personnalité si complexes. Mais personnellement je n'ai pas pu m'apporter d'explications convaincantes pour cerner ce film, et le peu de dialogues n'aident pas, voir, au contraire, nous renvoient toujours à nos plus profondes questions. Et au final, la sortie de route se fait sans l'ombre d'une réponse fiable et décisive pour ma part, et j'aime pas ça. Ce film reste trop étrange, ce délire appartenant au réalisateur qui n'a pas réussi à me le faire comprendre et partager.
Un deuxième visionnage dans les prochains jours m'aidera peut-être à y voir plus clair...
Le plus grand réalisateur de la décennie (rires) livre un film prétentieux qui tente à travers un concept, il faut le dire, très intéressant, un film sans aucun sens pour celui qui ne le regarde qu'une fois (jamais je ne reverrai ça) avec une métaphore de l'homme qui se projette dans la vie d'un autre.
J'y ai vu un film lent, pompeux et chiant sur une relation entre deux hommes physiquement identiques dont les personnalités détonnent.
Probablement le syndrome Fight Club/Mullholand Drive ou l'un envie l'autre (ou pas, même ça c'est pas clair par contre quand c'est pour faire une opposition noir/ blanc y a du monde).
Deux caractères opposés (l'un en blanc, l'un en noir) qui commence une relation intriguant qui finit en "inversons nos femmes".
Le minimum syndical est là : bons acteurs et jolie photographie.
Par contre, c'est quoi le problème avec la musique qui est jamais employé au bon moment, aussi stable que le montage étrange du début du film.
Enemy est un film étrange qui se croit intelligent et profond mais qui tombe dans une sur-intellectualisation qui rend son visionnage très douloureux et son revisionnage impossible.
Si encore le film était bien réalisé par le meilleur réalisateur de la décennie (Je suis taquin, c'est très banal mais pas particulièrement nul).
Pff, Monde de merde a dit un jour un grand philosophe.
J'y ai vu un film lent, pompeux et chiant sur une relation entre deux hommes physiquement identiques dont les personnalités détonnent.
Probablement le syndrome Fight Club/Mullholand Drive ou l'un envie l'autre (ou pas, même ça c'est pas clair par contre quand c'est pour faire une opposition noir/ blanc y a du monde).
Deux caractères opposés (l'un en blanc, l'un en noir) qui commence une relation intriguant qui finit en "inversons nos femmes".
Le minimum syndical est là : bons acteurs et jolie photographie.
Par contre, c'est quoi le problème avec la musique qui est jamais employé au bon moment, aussi stable que le montage étrange du début du film.
Enemy est un film étrange qui se croit intelligent et profond mais qui tombe dans une sur-intellectualisation qui rend son visionnage très douloureux et son revisionnage impossible.
Si encore le film était bien réalisé par le meilleur réalisateur de la décennie (Je suis taquin, c'est très banal mais pas particulièrement nul).
Pff, Monde de merde a dit un jour un grand philosophe.
Non non et non, je n'ai vraiment pas compris l'intérêt du film. Du début à la fin c'est une atmosphère étrange avec des scènes qui n'ont aucun rapport.
Jonathan M
Hasard du calendrier, le film du canadien Villeneuve ressemble étrangement à celui de Richard Ayoade «The Double» sorti une semaine plus tôt. Un portrait viril d’un homme double facette. Un double pas si similaire que çà au final. Une fois la métaphore avec les araignées comprise (bonne chance, moi je n’y arrive pas), ben en faite on s’aperçoit qu’il n’y a encore une fois pas grand chose à dire, car rien n’a paru transcendant à l’écran.
faut lire le bouquin pour comprendre QQ chose à toutes ses longueurs?? la lumière c'est seven et le duo/ quatuor Nicole et tom sans les masques ?? c'est un film du genre référence à on sait pas trop quoi qui va on ne sait pas trop où. d'autant plus déçu que j'ai adoré ses deux précédents...
Ah voila le type même de films que je déteste : le pseudo film qui fait réfléchir et qui triture les meninges pour que l'on trouve un sens à chaque scene en nos invitant à revoir le film...
ben non : on peut jouer à cela quand on s'appelle Kubrick ou lynch, mais certainement pas Villeneuve.
C'est raté, car une fois le supplice d'1h30 terminé, on n'a qu'une envie c'est de se coucher car on a du lutter contre le sommeil pendant le visionnage de ce film
Pauvres acteurs qui ont du bien être déçus d'avoir gâché leur talent dans cette "oeuvre"....
ben non : on peut jouer à cela quand on s'appelle Kubrick ou lynch, mais certainement pas Villeneuve.
C'est raté, car une fois le supplice d'1h30 terminé, on n'a qu'une envie c'est de se coucher car on a du lutter contre le sommeil pendant le visionnage de ce film
Pauvres acteurs qui ont du bien être déçus d'avoir gâché leur talent dans cette "oeuvre"....
De Denis Villeneuve, qui avait fait des bons films avant celui-là. Et avec Jake Gyllenhaal, qui avait fait aussi des bons films avant celui-là. Il y a aussi Mélanie Laurent, la petite française qui est absolument sublime. Mais malheureusement c'est du grand n'importe quoi. C'est bien joué par tout le monde. Mais par un tour du destin, Adam (le héros s'appelle Adam). C'est un tranquille jeune homme. Il s'aperçoit, le malheureux, il s'aperçoit qu'il a un sosie, totalement parfait, rien ne le différencie de lui, surtout pas son énorme cicatrice. Alors il essaie de le rencontrer. C'est chiant ! Les gardiens de mon immeuble, je les ai croisés à la sortie, ils m'ont dit : on peut pas supporter ce genre de films. Donc voilà. Alors ça rime à rien du tout, hein.
Un film très original (pas forcément de manière positive). Autant du même réalisateur (Denis Villeneuve) j'avais adoré Prisoners (malgré quelques longueurs, seul défaut du film), autant celui-ci m'a un peu laissé de marbre.
Le casting est plutôt pas mal. Jake Gyllenhaal (qui depuis quelques années fait d'excellent choix de films) est très bon dans ce double-rôle ambigu. Mélanie Laurent est à peu près correcte (et pourtant Dieu sait à quel point je trouve qu'elle joue mal). L'idée de la schizophrénie est pas mal amenée et ne donne à aucun moment une réponse claire à nos interrogations.
Mais au final, j'ai trouvé que le film avait trop tendance à chercher le statut de film cérébral et souvent à faire de la masturbation intellectuelle. Comme par exemple le proverbe (pseudo-phrase philosophique) s'affichant au tout début du film et qui n'a strictement rien à voir avec le film. Tout comme certaines scènes qui ne servent strictement à rien mais qui donnent un style intellectualisant au film. Le paroxysme est atteint à la toute dernière scène (pour ne pas dire à la toute dernière image) qui est complètement absurde et qui est vraiment de la masturbation intellectuelle.
Bref, je préfère rester sur Prisoners.
Le casting est plutôt pas mal. Jake Gyllenhaal (qui depuis quelques années fait d'excellent choix de films) est très bon dans ce double-rôle ambigu. Mélanie Laurent est à peu près correcte (et pourtant Dieu sait à quel point je trouve qu'elle joue mal). L'idée de la schizophrénie est pas mal amenée et ne donne à aucun moment une réponse claire à nos interrogations.
Mais au final, j'ai trouvé que le film avait trop tendance à chercher le statut de film cérébral et souvent à faire de la masturbation intellectuelle. Comme par exemple le proverbe (pseudo-phrase philosophique) s'affichant au tout début du film et qui n'a strictement rien à voir avec le film. Tout comme certaines scènes qui ne servent strictement à rien mais qui donnent un style intellectualisant au film. Le paroxysme est atteint à la toute dernière scène (pour ne pas dire à la toute dernière image) qui est complètement absurde et qui est vraiment de la masturbation intellectuelle.
Bref, je préfère rester sur Prisoners.
Rien compris. Ni le film ni ce qu'un grand réalisateur et un super acteur font là dedans. Le concept semble original mais c'est tellement long et creux.
J'avais adoré les deux autres films du réalisateur. Quelle déception pour celui là: je me suis ennuyée pendant tout le film : très lent et surtout incohérent. Je déconseille d'aller le voir.
Il n'y a pas de mot pour décrire l'ennui durant ce film. Il est sombre, mou, avec une intrigue ridicule.
Mr Villeneuve, voit son ego gonflé par ses 2 précédents succès, et nous vend une métaphore de 1h30, bien trop opaque, obscure pour la banalité du theme traité, dans une ambiance lourdissime et bien trop oppressante pour la platitude de ce sujet ordinaire.
Bref, beaucoup trop d'effets et de pseudo reflexion pour pas grand chose.... Un film compliqué (ou complexe pour les puristes...) n'est pas synonyme de chef d'oeuvre, n'en déplaise à certains cinéphiles autoproclamés.
Une métaphore grisâtre sur la désir d'adultère d'un homme raté sous la coupe de femmes/meres/épouses étouffantes. Des ficelles scénaristiques éculées, une symbolique pauvre, une photographie douloureuse, des clichés psychanalytiques exaspérants dissimulés sous le voile d'une complexité élitiste.
Toutefois, Jake Gyllenhaal, nous fascine encore une fois par la justesse de son jeu. Il lui manque un scénario pour enfin briller.
Bref, beaucoup trop d'effets et de pseudo reflexion pour pas grand chose.... Un film compliqué (ou complexe pour les puristes...) n'est pas synonyme de chef d'oeuvre, n'en déplaise à certains cinéphiles autoproclamés.
Une métaphore grisâtre sur la désir d'adultère d'un homme raté sous la coupe de femmes/meres/épouses étouffantes. Des ficelles scénaristiques éculées, une symbolique pauvre, une photographie douloureuse, des clichés psychanalytiques exaspérants dissimulés sous le voile d'une complexité élitiste.
Toutefois, Jake Gyllenhaal, nous fascine encore une fois par la justesse de son jeu. Il lui manque un scénario pour enfin briller.
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