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weihnachtsmann
Une histoire d’amour tourmenté sur fond d’espionnage.
Il y a aussi comme thème la femme abandonnée qui retrouve sa dignité avec un amour de jeunesse.
C’est assez musical et pas mal.
Il y a aussi comme thème la femme abandonnée qui retrouve sa dignité avec un amour de jeunesse.
C’est assez musical et pas mal.
Un film marqué à la fois par l'expressionnisme et le cinéma noir étatsunien. Du Mexique, on ne retrouve pas grand chose, sinon la bande son et la corruption d'un gouverneur qui aurait "vendu une grève" à une multinationale. Nous sommes à une époque où le Mexique, encore imprégné de la révolution de Villa et Zapata, revendiquait fièrement son indépendance par rapport à son puissant voisin du nord. Toutefois, la conception du combat syndical exprimée ici laisse perplexe. Elle se limite à une bagarre pour s'emparer de documents compromettants. La partie mélo est sans doute plus réussie que la partie politico-polar, même si celle-ci comporte quelques morceaux de bravoure, en particulier l'intrusion des hommes de main du gouverneur ripoux dans un cabaret. Au final, ce film est tout de même très daté, mais il se laisse voir agréablement.
La sortie sur grand écran de cinq films "mélo criminel", inédits appartenant à l'âge d'or du cinéma mexicain ( 1940-1950), permet de voir deux opus de J.Bracho dont " distincto amanecer " ( une aube différente) en français.
"Distincto amanecer " est finalement un film politique ( bien que mexicain, on voit la carte de Cuba à deux reprises, ce n'est vraisemblablement pas le hasard).
Un groupe de syndicalistes possèdent un document prouvant la corruption du système et qui serait de nature à faire basculer les prochaines élections.
De façon parallèle, une histoire d'amour faite de regret parcoure le film.
Mais si l'on peut peut-être espérer une société plus juste, le devoir est plus fort que l'amour semble nous dire " distincto amanecer ".
Très réussi et porté par le latin lover Pedro Almendariz, c'est sans doute une des meilleures réussites de ces cinq films. En tout cas, mon préféré dans cette sélection ( tous les longs métrages présentés méritent d'être visionné) qui possède beaucoup de charme.
"Distincto amanecer " est finalement un film politique ( bien que mexicain, on voit la carte de Cuba à deux reprises, ce n'est vraisemblablement pas le hasard).
Un groupe de syndicalistes possèdent un document prouvant la corruption du système et qui serait de nature à faire basculer les prochaines élections.
De façon parallèle, une histoire d'amour faite de regret parcoure le film.
Mais si l'on peut peut-être espérer une société plus juste, le devoir est plus fort que l'amour semble nous dire " distincto amanecer ".
Très réussi et porté par le latin lover Pedro Almendariz, c'est sans doute une des meilleures réussites de ces cinq films. En tout cas, mon préféré dans cette sélection ( tous les longs métrages présentés méritent d'être visionné) qui possède beaucoup de charme.
A la fois policier et mélo, le film raconte les retrouvailles d'anciens amoureux sur fonds de combat syndical. Mais la femme est mariée, mal mariée avec un type un peu médiocre, écrivain raté, incapable de la rendre heureuse et qu'elle n'aime probablement plus. Va-t-elle céder à ce retour de flamme? Telle est la question, plus que l'intrigue syndicalo-policière à laquelle on ne comprend pas grand chose (la grève vendue à une entreprise étrangère... difficile à suivre!).
Les acteurs sont pas mal, surtout Pedro Armendariz, acteur majeur du cinéma mexicain qui vendra son âme et son talent à Hollywood dans des rôles souvent parfaitement secondaires.).
Les méchants ont l'air très méchant dans des scènes où l'action est un peu sacrifiée. Mais l'histoire d'amour vaut la peine.
Une curiosité issue d'un cinéma mexicain peu connu sous nos latitudes.
Les acteurs sont pas mal, surtout Pedro Armendariz, acteur majeur du cinéma mexicain qui vendra son âme et son talent à Hollywood dans des rôles souvent parfaitement secondaires.).
Les méchants ont l'air très méchant dans des scènes où l'action est un peu sacrifiée. Mais l'histoire d'amour vaut la peine.
Une curiosité issue d'un cinéma mexicain peu connu sous nos latitudes.
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