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Votre avis sur Eyes Wide Shut ?
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La mise en scène extrêmement intimiste de Stanley Kubrick fait des merveilles et offre la possibilité au couple Tom Cruise - Nicole Kidman de nous montrer l'étendue de leur talent réciproque. La véracité de leur jeu nous mettrait mal à l'aise, tant les dialogues sonnent justes, tant leur interprétation est bluffante. Pour son film-testament, Kubrick, habité de tous les genres cinématographiques, prouve au monde qu'il n'a rien perdu de sa superbe et que son génie n'a pas cessé de le tarauder durant ces 12 années qui séparent "Eyes Wide Shut" de "Full Metal Jacket". A l'image de "2001, l'Odyssée de l'Espace" ou encore de "Orange mécanique", Stanley Kubrick se montre avant-gardiste, voire ouvre une voie dans laquelle nul autre n'osera pénétrer à nouveau... Un chef d'oeuvre.
le dernier chef d oeuvre d un grand maitre du septième art. simplement tout simplement Kubrick
Caine78
Aussi étonnant que cela puisse paraître, je n'avais jamais vu l'œuvre-testament de Stanley Kubrick, sans pouvoir réellement expliquer ce manque de motivation. Le sujet, sa réputation légèrement mitigée... Toujours est-il que sa ressortie au cinéma était une occasion rêvée de le découvrir enfin : c'est donc ce que j'ai fait, pour mon plus grand plaisir. Avec le recul, je me demande même comment ai-je pu à ce point douter de maître Kubrick tant celui-ci fait une nouvelle fois preuve d'une maestria souvent grandiose. Il y a tellement de choses à écrire que je ne sais par où commencer.
Formellement, sans être son travail le plus étourdissant, celui-ci reste d'une maîtrise, d'un raffinement rares, l'utilisation et le choix de la musique classique, pourtant très présente, faisant merveille, chaque plan, chaque scène ayant été soigneusement pensé pour nous plonger dans cet univers si singulier auquel nous sommes conviés, où le génie du cinéaste se déploie pour nous mettre face à nos contradictions, nous faisant passer par toutes les émotions à travers les tourments moraux et sexuels d'un couple ayant pourtant tout pour être heureux. Comme souvent, c'est un élément à première vue anodin qui va déclencher une véritable crise d'identité beaucoup plus subtile qu'au premier abord, où le comportement du héros a de quoi susciter nombreuses interrogations et interprétations. Si ce dernier, manifestement perturbé par la révélation que lui a fait sa femme, est manifestement attiré par l'idée d'en séduire (au moins) une autre, le destin va minutieusement s'acharner à spoiler: l'en empêcher, donnant autant l'impression d'une incroyable malchance qu'une absence de réelle volonté d'aller jusqu'au bout de sa démarche
, et ce alors que certaines occasions étaient concrètes. Ce pourrait presque être une comédie, mais Kubrick amène son scénario vers quelque chose de beaucoup plus troublant, questionnant les apparences, multipliant les interprétations possibles quant à certains personnages, certaines scènes... On sent que le film est long, et pourtant on n'a jamais réellement envie que celui-ci se termine tant le mystère que tisse l'auteur d' « Orange Mécanique » est fascinant, l'œuvre trouvant évidemment son point d'orgue à travers cette hallucinante spoiler: cérémonie secrète, dont le pouvoir hypnotique n'a d'égal que l'incroyable sophistication du rituel, la beauté des images et la dimension grandiose des lieux, cet aspect très vénitien à travers le port des masques et des costumes
renforçant l'emprise que ces quelques minutes inoubliables peuvent avoir sur nous. Et c'est là l'une des immenses forces d' « Eyes Wide Shut » : nous n'avons qu'une envie, retourner voir l'un de ses incroyables spectacles et d'en être constamment spoiler: empêché, tel notre héros, finalement totalement impuissant
. Il y aurait encore beaucoup à écrire, et même si j'émets de très légères réserves dans le scénario ou l'impression de voir Nicole Kidman (superbe) un peu sous-exploitée, je reste étourdi par cette expérience unique de cinéma, où l'on retiendra que le tout dernier mot prononcé dans l'immense carrière de Stanley Kubrick est spoiler: « fuck »
, mais surtout à quel point celui-ci était capable de nous éblouir autant par sa maestria visuelle que le trouble profond vers lequel celui-ci nous emporte lorsqu'il évoque la complexité des sentiments humains : reconnaissance éternelle, Monsieur.
Formellement, sans être son travail le plus étourdissant, celui-ci reste d'une maîtrise, d'un raffinement rares, l'utilisation et le choix de la musique classique, pourtant très présente, faisant merveille, chaque plan, chaque scène ayant été soigneusement pensé pour nous plonger dans cet univers si singulier auquel nous sommes conviés, où le génie du cinéaste se déploie pour nous mettre face à nos contradictions, nous faisant passer par toutes les émotions à travers les tourments moraux et sexuels d'un couple ayant pourtant tout pour être heureux. Comme souvent, c'est un élément à première vue anodin qui va déclencher une véritable crise d'identité beaucoup plus subtile qu'au premier abord, où le comportement du héros a de quoi susciter nombreuses interrogations et interprétations. Si ce dernier, manifestement perturbé par la révélation que lui a fait sa femme, est manifestement attiré par l'idée d'en séduire (au moins) une autre, le destin va minutieusement s'acharner à spoiler: l'en empêcher, donnant autant l'impression d'une incroyable malchance qu'une absence de réelle volonté d'aller jusqu'au bout de sa démarche
, et ce alors que certaines occasions étaient concrètes. Ce pourrait presque être une comédie, mais Kubrick amène son scénario vers quelque chose de beaucoup plus troublant, questionnant les apparences, multipliant les interprétations possibles quant à certains personnages, certaines scènes... On sent que le film est long, et pourtant on n'a jamais réellement envie que celui-ci se termine tant le mystère que tisse l'auteur d' « Orange Mécanique » est fascinant, l'œuvre trouvant évidemment son point d'orgue à travers cette hallucinante spoiler: cérémonie secrète, dont le pouvoir hypnotique n'a d'égal que l'incroyable sophistication du rituel, la beauté des images et la dimension grandiose des lieux, cet aspect très vénitien à travers le port des masques et des costumes
renforçant l'emprise que ces quelques minutes inoubliables peuvent avoir sur nous. Et c'est là l'une des immenses forces d' « Eyes Wide Shut » : nous n'avons qu'une envie, retourner voir l'un de ses incroyables spectacles et d'en être constamment spoiler: empêché, tel notre héros, finalement totalement impuissant
. Il y aurait encore beaucoup à écrire, et même si j'émets de très légères réserves dans le scénario ou l'impression de voir Nicole Kidman (superbe) un peu sous-exploitée, je reste étourdi par cette expérience unique de cinéma, où l'on retiendra que le tout dernier mot prononcé dans l'immense carrière de Stanley Kubrick est spoiler: « fuck »
, mais surtout à quel point celui-ci était capable de nous éblouir autant par sa maestria visuelle que le trouble profond vers lequel celui-ci nous emporte lorsqu'il évoque la complexité des sentiments humains : reconnaissance éternelle, Monsieur.
En 1999, un film fait l’objet des rumeurs les folles accentuées par le décès de son réalisateur quelques mois avant sa sortie : Eyes wide shut de Stanley Kubrick ! Reçu fraîchement à sa sortie (comme la majorité des films du cinéaste), l’ultime long-métrage du réalisateur a acquis petit à petit le statut de film-culte où les fantasmes les plus fous sur son tournage (n’oublions pas qu’avant sa sortie le bruit courrait que ce serait une œuvre à la limite de la pornographie, ce qu’elle est très loin d’être même si le désir sexuel en est le sujet principal) s’associent aux multiples interprétations sur sa signification.
Il faut dire que le film possède tous les éléments pour cela : un couple star qui interprète un autre couple en crise alors qu’on apprendra après qu’il était lui-même dans cette situation, un sujet axé sur le désir sexuel et sur les fantasmes, l’évocation du thème des sociétés secrètes et des sectes alors qu’il met en scène une star (Tom Cruise) qui possède lui-même un rôle non négligeable au sein d’une célèbre secte (la Scientologie) et que la propre fille du réalisateur (Vivian Kubrick) rentra dans cette dernière pendant le tournage et rompit avec sa famille à la suite de ce choix… En plus de cela, Kubrick accumule les éléments libres d’interprétations spoiler: (l’image récurrente du double avec la présence à deux reprises de deux femmes draguant Bill, le désir d’Alice à la fois pour un inconnu et pour son mari ou encore le renvoi de nombreuses scènes à des séquences précédentes, le billard rouge et non vert, les lumières allumées dans l’appartement quand Bill rentre à la fin alors que tout le monde est couché…)
amenant à ne pas savoir si on est face à la réalité ou à un rêve (le titre du roman d’Arthur Schnitzler qui est à l’origine du projet est d’ailleurs La Nouvelle rêvée). Kubrick bloque constamment son héros spoiler: , obsédé par le désir que sa femme ait pu avoir un jour du désir pour un autre homme, dans son envie d’infidélité (il est constamment interrompu par d’autres personnages ou par des coups de téléphone et c’est la nouvelle de la séropositivité de Domino qui le réfrène à coucher avec la colocataire de celle-ci…), ce qui l’empêchera d’aller au-delà du simple baiser
. Le fait de le transformer en éternel frustré (le couple Cruise-Kidman possède d’ailleurs au final peu de scènes en commun spoiler: même si la séquence devant le miroir et celle de la dispute sont extrêmement marquantes
) accentue l’éventualité d’une œuvre fantasmée par lui.
Eyes wide shut est donc une œuvre extrêmement foisonnante dans son scénario et dans sa réalisation. Le film étant signé Stanley Kubrick, il semble d’ailleurs inutile de préciser que cette dernière est tout bonnement maîtrisée de bout en bout en bout (l’utilisation quasi-constante de la Steadycam est une fois de plus brillante). Comme à son habitude, le cinéaste a multiplié les prises pour atteindre la perfection et les comédiens sont tous excellents. De même, il continue à travailler la bande originale de son film en utilisant des morceaux préexistants allant de chansons commerciales (Baby did a bad bad thing de Chris Isaak ou une version instrumentale de Strangers in the night), à la musique classique (Rex tremendae extrait du Requiem de Mozart ou la Valse n°2 de la Suite pour orchestre de variété n° 1 de Dmitri Chostakovitch) en passant par des morceaux plus expérimentaux comme ceux de Györgi Ligeti ou surtout de Jocelyn Pook.
Eyes wide shut est donc une œuvre d’une incroyable richesse et magnifique qui sera encore longtemps l’objet de diverses interprétations et qui clôt brillamment une des plus grandes carrières de réalisateur avec un mot assez insolite.
Il faut dire que le film possède tous les éléments pour cela : un couple star qui interprète un autre couple en crise alors qu’on apprendra après qu’il était lui-même dans cette situation, un sujet axé sur le désir sexuel et sur les fantasmes, l’évocation du thème des sociétés secrètes et des sectes alors qu’il met en scène une star (Tom Cruise) qui possède lui-même un rôle non négligeable au sein d’une célèbre secte (la Scientologie) et que la propre fille du réalisateur (Vivian Kubrick) rentra dans cette dernière pendant le tournage et rompit avec sa famille à la suite de ce choix… En plus de cela, Kubrick accumule les éléments libres d’interprétations spoiler: (l’image récurrente du double avec la présence à deux reprises de deux femmes draguant Bill, le désir d’Alice à la fois pour un inconnu et pour son mari ou encore le renvoi de nombreuses scènes à des séquences précédentes, le billard rouge et non vert, les lumières allumées dans l’appartement quand Bill rentre à la fin alors que tout le monde est couché…)
amenant à ne pas savoir si on est face à la réalité ou à un rêve (le titre du roman d’Arthur Schnitzler qui est à l’origine du projet est d’ailleurs La Nouvelle rêvée). Kubrick bloque constamment son héros spoiler: , obsédé par le désir que sa femme ait pu avoir un jour du désir pour un autre homme, dans son envie d’infidélité (il est constamment interrompu par d’autres personnages ou par des coups de téléphone et c’est la nouvelle de la séropositivité de Domino qui le réfrène à coucher avec la colocataire de celle-ci…), ce qui l’empêchera d’aller au-delà du simple baiser
. Le fait de le transformer en éternel frustré (le couple Cruise-Kidman possède d’ailleurs au final peu de scènes en commun spoiler: même si la séquence devant le miroir et celle de la dispute sont extrêmement marquantes
) accentue l’éventualité d’une œuvre fantasmée par lui.
Eyes wide shut est donc une œuvre extrêmement foisonnante dans son scénario et dans sa réalisation. Le film étant signé Stanley Kubrick, il semble d’ailleurs inutile de préciser que cette dernière est tout bonnement maîtrisée de bout en bout en bout (l’utilisation quasi-constante de la Steadycam est une fois de plus brillante). Comme à son habitude, le cinéaste a multiplié les prises pour atteindre la perfection et les comédiens sont tous excellents. De même, il continue à travailler la bande originale de son film en utilisant des morceaux préexistants allant de chansons commerciales (Baby did a bad bad thing de Chris Isaak ou une version instrumentale de Strangers in the night), à la musique classique (Rex tremendae extrait du Requiem de Mozart ou la Valse n°2 de la Suite pour orchestre de variété n° 1 de Dmitri Chostakovitch) en passant par des morceaux plus expérimentaux comme ceux de Györgi Ligeti ou surtout de Jocelyn Pook.
Eyes wide shut est donc une œuvre d’une incroyable richesse et magnifique qui sera encore longtemps l’objet de diverses interprétations et qui clôt brillamment une des plus grandes carrières de réalisateur avec un mot assez insolite.
Eyes Wide Shut fait partie de ces grands classiques du cinéma que l'on pense connaitre mais qui n'a absolument rien à voir avec l'idée que l'on s'en fait. Ayant la réputation d'un film sulfureux (censuré lors de sa sortie aux USA), l'œuvre de Kubrick est en réalité un thriller assez classique, tirant vers le film noir tant dans son écriture que son esthétique. Tout comme le livre dont il est tiré, le film se veut une plongée dans l'esprit humain au travers d'un couple de la petite bourgeoisie étasunienne. Tom Cruise est excellent, tout comme Nicole Kidman, bien que très peu présente à l'écran. La réalisation est maitrisée, et l'écriture assez fine, parfois cryptique. Il n'est pas simple de comprendre tous les tenants et aboutissants tant le film se garde de nous donner toutes les clés, jusqu'à sa fin ouverte. Ainsi, le rythme un peu lent du film en fera décrocher plus d'un.
Eyes Wide Shut est peut être le film qui pour moi gâche au plus près son passage au titre de chef d'oeuvre. En effet, nombreuses sont les frustrations lorsque l'on est en face d'un scénario aussi inachevée, la première partie du film nous donne de nombreuses interrogations et un vrai mystère s'installe dans une ambiance très particulière mais grandement soignée par une mise en scène parfaite.
spoiler:
Difficile de démêler le vrai du faux de ces orgies, était-ce vraiment une prostituée qui sauva le Dr Harford ?
. Après nous avoir servit un terrible suspense, la dernière heure du film se concentre uniquement sur la relation entre le Dr Harford (Tom Cruise) et sa femme (Nicole Kidman) et l'ombre de l'adultère qui pèse sur leur conscience. A mon sens un film inachevé qui aurait très facilement put être classé comme chef d'oeuvre si la seconde partie du film avait été aussi captivante que la première. Néanmoins le duo Kidman/Cruise, la mise en scène de Kubrick, l'ambiance étrange et si captivante et l'originalité du scénario bien qu'à mon goût inachevé font de "Eyes Wide Shut" un très bon film .
. Après nous avoir servit un terrible suspense, la dernière heure du film se concentre uniquement sur la relation entre le Dr Harford (Tom Cruise) et sa femme (Nicole Kidman) et l'ombre de l'adultère qui pèse sur leur conscience. A mon sens un film inachevé qui aurait très facilement put être classé comme chef d'oeuvre si la seconde partie du film avait été aussi captivante que la première. Néanmoins le duo Kidman/Cruise, la mise en scène de Kubrick, l'ambiance étrange et si captivante et l'originalité du scénario bien qu'à mon goût inachevé font de "Eyes Wide Shut" un très bon film .
Ouais bah Kubrick je ne peux m'empêcher de lui filer ses 5 étoiles. Affection particulière pour celui ci qui est son dernier avant qu'il ne nous quitte. Un film sur la dualité passion/fidélité traité par le couple superstar d'hollywood de l'époque Kidman/Cruise. Les deux acteurs se livrent sans retenue, et sont très bons. Une invitation à la réflexion, un autre ovni intemporel qui est encore un jeune crû mais qui avec le temps figurera parmi les must de son génial auteur.
Sortes de thérapie pour le coupe Cruise Kidman, Eyes Wide Shut est un film à la hauteur du mythe de Stanley Kubrick.
Kubrick nous offre une plongée dans les abîmes dans les pensées d'un homme à la recherche d'une nouvelle vie et surtout à de nouvelles expériences sexuelles. Certes, certaines images et moments peuvent choque mais la réalisation est tellement puissante que l'on ne peut être indifférent à ce film.
Avec une atmosphère suintante et grâce aux talents du cinéaste et le duo Cruise/Kidman sont les principaux atouts de ce film.
Un film symptomatique de la réalisation de Kubrick, certes on n'est pas face à un classique mais devant un excellent film.
Kubrick nous offre une plongée dans les abîmes dans les pensées d'un homme à la recherche d'une nouvelle vie et surtout à de nouvelles expériences sexuelles. Certes, certaines images et moments peuvent choque mais la réalisation est tellement puissante que l'on ne peut être indifférent à ce film.
Avec une atmosphère suintante et grâce aux talents du cinéaste et le duo Cruise/Kidman sont les principaux atouts de ce film.
Un film symptomatique de la réalisation de Kubrick, certes on n'est pas face à un classique mais devant un excellent film.
un rythme maitrisé, un scénario subtil, une interpretation haut de gamme et un travail visuel de très haut niveau. merci, stanley.
Dans la vie, nos aventures sont parfois des mascarades. Nos yeux sont totalement fermés, pourtant l’important est que nous soyons réveillés.
Probablement pas le meilleur Kubrick a mes yeux mais un bon métrage qui propose une histoire perverse sur l'infidélité avec une ambiance assez étouffante et malsaine par moment.
Le personnages de Tom Cruise va aller la ou il ne devrait pas , face a ses désirs , ses pulsions et l'amour pour sa femme , il semble perdu et joue a la perfection , pareil pour Nicole Kidman .
La photographie est soignée comme souvent avec les films de Kubrick et la bande son est bonne quoi que très répétitive sur les bords .
Par moment le film va dans des passages assez glauque ( La secte ou encore l'adolescente avec les deux asiatiques ) et le rythme est assez inégal , parfois captivant , parois juste ennuyeux .
Bref un bon film mais probablement pas le meilleur Kubrick a mes yeux , le sujet de l'infidélité est tout de même abordé d'une façon spécial et maitrisé avec brio .
Le personnages de Tom Cruise va aller la ou il ne devrait pas , face a ses désirs , ses pulsions et l'amour pour sa femme , il semble perdu et joue a la perfection , pareil pour Nicole Kidman .
La photographie est soignée comme souvent avec les films de Kubrick et la bande son est bonne quoi que très répétitive sur les bords .
Par moment le film va dans des passages assez glauque ( La secte ou encore l'adolescente avec les deux asiatiques ) et le rythme est assez inégal , parfois captivant , parois juste ennuyeux .
Bref un bon film mais probablement pas le meilleur Kubrick a mes yeux , le sujet de l'infidélité est tout de même abordé d'une façon spécial et maitrisé avec brio .
T-Tiff
Avec "Eyes Wide Shut", le mythique réalisateur Stanley Kubrick signe son dernier film porté par le couple formé par Tom Cruise et Nicole Kidman. Ce film est particulièrement intriguant, avec pour thème dominant, le pouvoir d'attraction entre les hommes et les femmes, pouvoir parfois destructeur. Le couple présenté dans le film doit faire face à la désillusion de l'amour éternel, chacun se tourne donc vers l'infidélité, moyen d'échapper à l'ennui du couple. Derrière cette première intrigue, une seconde se construit où Tom Cruise devient le protagoniste principal. Le sexe est toujours omniprésent avec des scènes presque érotiques illustrant de la meilleure manière le thème du film. Le réalisateur accompagne son film d'une ambiance glaçante, voire même angoissante, mettant mal à l'aise le spectateur et entraînant une forme de répulsion voulue par le cinéaste. Les acteurs jouent parfaitement bien, même si Nicole Kidman fini par être trop absente. D'autre part, au bout de plus de deux heures, le film finit par être répétitif. "Eyes Wide Shut" reste un très bon film, souvent incompris par le public, pourtant traitant de manière admirable son sujet et à regarder sous différents angles pour en percer les mystères éparpiller par Kubrick.
Un film très troublant et inquiétant, avec toujours ce côté hypnotique propre aux films de Stanley Kubrick. La bande son est très bonne une fois de plus, et sert vraiment le film. Pas mal de scènes sont vraiment marquantes. Un très bon film.
Dernier film , dernier chef-d'oeuvre de Kubrick. Un film d'adulte. Un film qui fait refléchir sur les sentiments humains et leur complexité. Un film trop long pour certains, mais justement qui avance en meme temps que la reflexion du spectateur. Monumental ! Interprétation et réalisation incroyables.
Chef d'œuvre ? C'est pas loin. Eyes wide shut, dernière œuvre de Stanley Kubrick est totalement jouissif. D'une maitrise saisissante, sa mise en scène est sensationnelle. Sa direction d'acteurs excellente; Soyons clair, Nicole Kidman n'a jamais était aussi forte. Un scénario excellent. Que dire de Kubrick qui nous laisse avec ce dernier bijou sur un goût d'inachevé tout de même. Un maître incontesté du cinéma et qui à déjà laisser son emprunte.
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