Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
(...) ce qui distingue ce film de tous les autres de son auteur, c'est que son constat est doux et mélancolique. Pour la première fois, la gravité de Kubrick nous touche intimement.
Comme tous les films majeurs du cinéaste, Eyes Wide Shut est une fable en guise d'avertissement. Un mince vernis de civilisation recouvre toujours chez Kubrick des pulsions qui n'ont pas changé depuis la nuit des temps.
Et quand bien même le film serait-il le plus mauvais de Kubrick (on peut toujours en causer), il se situerait déjà à des années-lumière de ce que l'on peut voir chaque semaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Tout est mise en scène. Celle de Kubrick combine superbement style classique et pointes de baroque, qui, par les contrastes qu'elles suscitent, permettent à l'humanisme, fondement de la pensée du cinéaste, de s'exprimer et de s'épanouir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) Eyes Wide Shut, l'oeuvre kubrickienne la plus humaine et d'apparence la plus simple, se révèle être un film plus obsédé par l'angoisse que par le sexe.
(...) Eyes Wide Shut est un fascinant rébus qui ne recule pas devant la trivialité et oppose son labyrinthe de sens à la satisfaction immédiate du spectateur.
Le cinéaste procède en poète plutôt qu'en clinicien. En moraliste sans illusions, mais étonnamment compatissant. Un moraliste qui sait que le désir est amoral et qu'il ne va jamais sans amertume.
Grandes lignes et petits détails de la nouvelle sont scrupuleusement repris, transposés avec une ingéniosité qui n'évite pas toujours l'arbitraire ou l'invraisemblance, mais ces "défauts" sont récupérés avec bonheur (...)
(...) Eyes Wide Shut, film-testament admirable (Kubrick ne cesse de dialoguer avec ses précédents films) clôt dans l'intimité d'un couple désespérément ordinaire, un voyage de cinéma monumental et profondément visionnaire.
C'est (...) le film le plus humain, à la fois le plus léger et le plus grave, le plus amusant et le plus inquiétant de Kubrick, celui où il ne pratique aucune surenchère vis-à-vis d'un genre particulier (...)
Magistral et décevant, « Eyes Wide Shut », au fond, résume l'homme (ou l'ombre d'homme ?) qu'était devenu Stanley K. : contradictoire, égocentrique et enfantin, génial et déconnecté, il savait la magie du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
(...) le cinéaste ne cherche plus à se mettre dans la posture du psychiatre ou du médecin venu au chevet de la civilisation (...). Pour la première fois, il renonce à imaginer une solution au problème dont il s'est emparé.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Stanley Kubrick utilise le voyeurisme pour nous entraîner dans l'histoire. Cela marche plutôt bien, même si l'intimité du couple est très peu montrée et beaucoup suggérée par des dialogues explicites.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Tombant enfin le masque du cynisme, Kubrick laisse entrevoir sa détresse à l'idée de partir sans avoir su apporter de réponses aux questions métaphysiques qui sous-tendent toute son oeuvre.
Même si l'on peut (...) considéré que, comme tous les films de Kubrick, Eyes Wide Shut s'appréciera avec le temps (...), il n'en reste pas moins que la première vision nous déstabilise, comme si l'âme du film avait disparu à la mort du maître…
La critique complète est disponible sur le site Planetcinema.com
Pour tous ses brillants oripeaux et ses trois longues heures, Eyes Wide Shut est finalement l'œuvre d'un Mabuse voulant réintégrer la vie. Le courant ne passe plus, et on ne peut trouver de touchant que le désir qu'il en a eu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Eyes Wide Shut se voit les yeux grands ouverts d'incrédulité et de déception (...). Ceux qui attendaient sereinement le film, rien que le film, et non l'Atlantide enfin révélée, risquent bien de se figer dans un profond scepticisme.
Cahiers du Cinéma
(...) ce qui distingue ce film de tous les autres de son auteur, c'est que son constat est doux et mélancolique. Pour la première fois, la gravité de Kubrick nous touche intimement.
L'Evénement
Comme tous les films majeurs du cinéaste, Eyes Wide Shut est une fable en guise d'avertissement. Un mince vernis de civilisation recouvre toujours chez Kubrick des pulsions qui n'ont pas changé depuis la nuit des temps.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Et quand bien même le film serait-il le plus mauvais de Kubrick (on peut toujours en causer), il se situerait déjà à des années-lumière de ce que l'on peut voir chaque semaine.
L'Obs
Tout est mise en scène. Celle de Kubrick combine superbement style classique et pointes de baroque, qui, par les contrastes qu'elles suscitent, permettent à l'humanisme, fondement de la pensée du cinéaste, de s'exprimer et de s'épanouir.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Pour son dernier film, le démiurge nous donne une oeuvre parfaite sur le thème qui l'a toujours taraudé : de quoi sommes-nous faits ?
Les Inrockuptibles
(...) Eyes Wide Shut, l'oeuvre kubrickienne la plus humaine et d'apparence la plus simple, se révèle être un film plus obsédé par l'angoisse que par le sexe.
Les Inrockuptibles
(...) Eyes Wide Shut est un fascinant rébus qui ne recule pas devant la trivialité et oppose son labyrinthe de sens à la satisfaction immédiate du spectateur.
Positif
Le cinéaste procède en poète plutôt qu'en clinicien. En moraliste sans illusions, mais étonnamment compatissant. Un moraliste qui sait que le désir est amoral et qu'il ne va jamais sans amertume.
Positif
Grandes lignes et petits détails de la nouvelle sont scrupuleusement repris, transposés avec une ingéniosité qui n'évite pas toujours l'arbitraire ou l'invraisemblance, mais ces "défauts" sont récupérés avec bonheur (...)
Starfix
(...) Eyes Wide Shut, film-testament admirable (Kubrick ne cesse de dialoguer avec ses précédents films) clôt dans l'intimité d'un couple désespérément ordinaire, un voyage de cinéma monumental et profondément visionnaire.
Cahiers du Cinéma
C'est (...) le film le plus humain, à la fois le plus léger et le plus grave, le plus amusant et le plus inquiétant de Kubrick, celui où il ne pratique aucune surenchère vis-à-vis d'un genre particulier (...)
Chronic'art.com
Eyes Wide Shut est de ces rares films qui réalise la communion entre le sort du personnage et celui du spectateur.
Cinopsis.com
(...) ce n'est certes pas le plus grand film de Kubrick, mais comme d'habitude, c'est en le revoyant que vous en prendrez toute l'ampleur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Magistral et décevant, « Eyes Wide Shut », au fond, résume l'homme (ou l'ombre d'homme ?) qu'était devenu Stanley K. : contradictoire, égocentrique et enfantin, génial et déconnecté, il savait la magie du cinéma.
Le Monde
(...) le cinéaste ne cherche plus à se mettre dans la posture du psychiatre ou du médecin venu au chevet de la civilisation (...). Pour la première fois, il renonce à imaginer une solution au problème dont il s'est emparé.
Le Parisien
Stanley Kubrick utilise le voyeurisme pour nous entraîner dans l'histoire. Cela marche plutôt bien, même si l'intimité du couple est très peu montrée et beaucoup suggérée par des dialogues explicites.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Lenouveaucinema.com
Tombant enfin le masque du cynisme, Kubrick laisse entrevoir sa détresse à l'idée de partir sans avoir su apporter de réponses aux questions métaphysiques qui sous-tendent toute son oeuvre.
Télérama
On sait déjà que l'ultime film de Stanley Kubrick, paradoxal, intemporel, comme certains rêves, va laisser une trace durable. Laissons-le mûrir…
Les Echos
Le film dure 2h30. Il est signé Kubrick. Il faut le voir. Mais on est triste de ne pas l'aimer davantage.
Libération
(...) une magnifique machine narrative totalement à sec, qui dévore du néant et s'enivre de vide.
Planetcinema.com
Même si l'on peut (...) considéré que, comme tous les films de Kubrick, Eyes Wide Shut s'appréciera avec le temps (...), il n'en reste pas moins que la première vision nous déstabilise, comme si l'âme du film avait disparu à la mort du maître…
Première
Même si la partition est faible, même si les interprètes sont maladroits, le maestro mène le bal d'une baguette impeccable.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Libération
Pour tous ses brillants oripeaux et ses trois longues heures, Eyes Wide Shut est finalement l'œuvre d'un Mabuse voulant réintégrer la vie. Le courant ne passe plus, et on ne peut trouver de touchant que le désir qu'il en a eu.
Starfix
Eyes Wide Shut se voit les yeux grands ouverts d'incrédulité et de déception (...). Ceux qui attendaient sereinement le film, rien que le film, et non l'Atlantide enfin révélée, risquent bien de se figer dans un profond scepticisme.