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Note moyenne
3,0
23 titres de presse
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CNews
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Gala
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Le Parisien
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Metro
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Public
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TF1 News
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Télé 2 semaines
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Télé 7 Jours
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Voici
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Filmsactu
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Le Monde
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Paris Match
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VSD
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aVoir-aLire.com
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Critikat.com
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Ecran Large
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La Voix du Nord
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Le Dauphiné Libéré
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Libération
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Ouest France
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Première
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Télérama
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Metro
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
CNews
Avec cet épisode de clôture, la franchise défend parfaitement sa place de leader.
Gala
Ce quatrième volet, intitulé La révolte 2e partie clôt brillamment une histoire forte qui nous a tenu en haleine pendant quatre ans. Action, émotion, la recette idéale pour un bon film emmené par une Jennifer Lawrence charismatique.
Le Parisien
Un final spectaculaire et au message politique fort : la résistance à la dictature.
Metro
[POUR] (...) ce 4e opus n’est peut-être rien de plus qu’un divertissement soigné, porté par Jennifer Lawrence, une jeune actrice aux reins solides. Mais il ne prend pas les ados pour des truffes. Et ça, c’est déjà beaucoup.
Public
Entre une attaque de mutants dans les égouts de Panem et les tourments intérieurs d'une Katniss de plus en plus maltraitée, ce dernier opus très sombre, ne vous fera pas de cadeau.
TF1 News
Final épique et sous tension, plus sombre et plus adulte que les précédents, "Hunger Games : La Révolte - Partie 2" referme la saga à merveille. (...) Deux reproches toutefois : la 3D, pas franchement indispensable. Et la fin, un peu trop longue.
Télé 2 semaines
Sombre et prenante, cette conclusion réserve son lot de scènes d’action impressionnantes, comme cette longue séquence souterraine où Katniss et son groupe de rebelles, qui tentent de se diriger vers le palais de Snow, sont attaqués par de terribles mutants avant de subir le feu ennemi.
Télé 7 Jours
Si seulement la production n'avait pas, pour des raisons commerciales, divisé le tome 3 en deux films ! Mais quand l'action embrase l'écran, le souffle de l'épopée est indéniable. Et ce blockbuster, fidèle à son message, n'est pas dépourvu de neurones.
Voici
Divertissement XXL, spectaculaire, la saga menée par la charismatique Jennifer Lawrence se termine dans le sang, les flammes et les larmes. (...) Flamboyant.
Filmsactu
Cet épisode prend, haut la main, la deuxième place sur le podium de la saga, derrière l'Embrasement, sorti en 2013.
Le Monde
Autant que ses prédécesseurs sinon plus, ce dernier opus est un numéro d'équilibriste entre grand spectacle hollywoodien et refus de dissoudre le sens de la parabole dans des structures cinématographiques.
Paris Match
On s’ennuie par moments, mais on s’émerveille toujours de voir une Jennifer Lawrence épique, Jeanne d’Arc des temps modernes qui mène son peuple à la victoire.
VSD
Hunger Games n’a finalement jamais su s’affranchir de son étiquette de fable politique à destination des jeunes. Un comble, quand on revendique l’amour de la liberté à longueur de plans.
aVoir-aLire.com
Les rebelles prennent les armes dans un dénouement baroudeur à peine gâché par le sentimentalisme marchand qui aurait pu avoir raison de toutes les grandes émotions belliqueuses de cet épisode enfin digne d’un blockbuster.
Critikat.com
Encore une fois, le résultat n’est pas été à la hauteur d’une saga qui aurait mérité mieux. Mais face à la contradiction entre son sujet et les conditions de sa production, pouvait-il en être autrement ?
Ecran Large
Une évolution linéaire, des enjeux sous-exploités et une tendance déconcertante à se reposer sur ses vieilles ficelles.
La Voix du Nord
Suite et fin de cette saga guerrière jonchée de cadavres et calquée sur des kilos de jeux vidéo carburant à l’ultraviolence.
Le Dauphiné Libéré
Fin de la saga, où les épisodes spectaculaires et le finale sentimental vont ravir les fans. Pour les autres, c’est moins sûr.
Libération
La franchise se clôt sur un ultime volet sans surprise, sur fond d’insurrection.
Ouest France
Ce quatrième épisode s'étire en longueur.
Première
A part cette fameuse scène d'action au milieu du métrage et une partition dingue de James Newton Howard - son meilleur taf sur les quatre films, et qui mérite, elle, les qualificatifs d'épique, flamboyante, explosive -, le film avance trop mollement vers sa conclusion.
Télérama
Tant d'héroïsme et de prouesses visuelles débouchent, hélas, sur une conclusion plutôt mièvre, où les traumatismes et les blessures se soignent sur fond de nature radieuse, façon pub pour Ricoré. Le trompe-l'oeil de trop.
Metro
[CONTRE] Bref c'est lourd, bancal et bâclé, loin des promesses des deux premiers épisodes. Dommage.