Derniers Avis : La Chute de la Maison Blanche - Page 5

Film assez ambivalent dont le début, où les séquences d'attaques s’enchaînent avec une crédibilité décroissante, laisse perplexe, voire inquiet. Inquiet oui.

Quelques exemples : spoiler: faire prendre la route au Président des E-U avec un verglas monstrueux sans équipement, voir un avion militaire étranger arriver en plein centre de Washington avant d'être pseudo-intercepté, découvrir des camions poubelles version "bat-mobiles", 40 Coréens en bandana prenant la Maison Blanche, autoriser l'entrée d'étrangers dans le bunker présidentiel (chose invraisemblable quand on voit la sécurité à outrance des américains ne serait-ce que pour rentrer dans leur pays…)


Oui, tout cela diffuse une odeur de nanar dans la salle !

Cette première partie passée, le film prend tout son intérêt une fois à l'intérieur de la demeure présidentielle. Atmosphère immersive et angoissante, on se demande comment ils vont se sortir de là. La trame est très classique avec une boucherie constante, l'image un peu usée du méchant "jaune" et du gentil américain, les bonnes vieilles joutes hiérarchiques et les moments de pur patriotisme dont les américains ont le secret.

Finalement, ce" Piège de Cristal" sur fond de conflit géopolitique est plutôt de bonne facture.
Toujours est-il que les fans apprécieront la sempiternelle ORTF épinglée sur le treillis des généraux de l'Etat-Major : c'est la surenchère ^^ !

Le scénario est invraisemblable, l'invasion notamment est grotesque. Gérard Butler n'est pas mauvais mais son personnage pseudo Rambo, qui tue sans limites et sans prendre de balles..

Le renouveau du film d'action à l'ancienne avec cette resucée de "Piège de cristal" qui nous permet d'admirer G. Butler dans le rôle du sauveur de la nation et qui permet aussi à A. Eckhart de nous sortir son plus beau répertoire de grimaces dans un rôle over the top qu'il incarne avec sa délicatesse habituelle. Oui, il faut le dire, le beau Aaron est mauvais comme un cochon dans ce film et confirme certains doutes quant à ses réelles aptitudes d'acteur. Au delà de ça, les effets spéciaux sont incroyablement datés (le budget est confortable certes mais il ne lésine pas sur les moyens avec pas mal d'effets en "dur") et on assiste dans le 1er tiers à un véritable carnage, peu avare en fusillades et en effets pyrotechniques. Bon après, c'est quand même hyper crétin avec certaines décisions effectuées en dépit du bon sens et ne servant qu'à valoriser quelques héros (M. Freeman vient aussi encaisser son chèque) et si on passe un bon moment devant ce pur divertissement au body count affolant, ça reste quand même le bas du panier. A. Fuqua en profite pour s'amuser, trousser des séquences spectaculaires et nous sortir quelques plans intéressants. Bourrin, régressif, ultra-patriotique et parfois un peu cheap mais ça défouraille d'un bout à l'autre du film. D'autres critiques sur

J'ai globalement apprécié le film, mais je trouve certains effets spéciaux sont ratés...Notamment avec les hélicoptères. J'ai aussi trouvé qu'il y'avait eu un effort de fait pour le réalisme du film. J'ai hâte de voir la suite ( La chute de Londres)

Bon film, bon divertissement de beau effet spéciaux mais un scénario que j'ai du mal à prendre au sérieux .

Impossible de ne pas comparer ce film avec son concurrent White House Down sorti la même année ! En effet, il s'agit de la même histoire, avec l'attaque de la maison Blanche, un président bad ass, un héros en quête de rédemption ou d'affirmation de soi et des explosions partout. Mais les ressemblances s’arrêtent la ! Cette chute de la maison blanche est bien en dessous de son rival réalisé par le maitre Rolland Emerich, car ici on se prend trop au sérieux et on oublie l'humour qui fait parfois du bien dans ce trop plein d'actions. Surtout l'histoire est rocambolesque, on comprends peu les intérêts des méchants coréens, les dialogues sont très mauvais et les effets spéciaux particulièrement laids... Si vous devez faire un choix, choisissez sans aucun doute l'autre film !

Pour en avoir entendu parler, je m’attendais à du lourd, du très lourd. Et il faut admettre que ça envoie du bois. Lors de l’entame calme et tranquille, enfin pas si tranquille de ça, on s’attend à ce que la tempête ne tarde pas à venir. Bon, d’accord, la tempête de neige fait déjà rage autour de Camp David, la résidence secondaire des présidents américains. Mais comment ça va arriver ? Est-ce cette tempête qui va jouer un sale tour, ou des personnes mal intentionnées qui vont profiter des mauvaises conditions climatiques ? Ou tout simplement, ne va-t-il rien se passer ? D’entrée, on est pris dans l’intrigue qui prend une tournure dramatique. Efficace pour implanter le contexte qui deviendra par la suite explosif, avec un sentiment de déjà-vu sous son air "Die hard" bis. On sent vraiment l’influence de la saga et de son héros John McClane : particulièrement viril (mis à part le court charme apporté par la délicieuse beauté de Ashley Judd en Première Dame), le rythme est soutenu, parsemé de quelques temps morts permettant au spectateur de reprendre son souffle, et nous retrouvons aussi quelques belles banderilles verbales si chères à McClane. Sauf que nous n’avons pas affaire au plus célèbre lieutenant de la police new-yorkaise. Malgré son millésime 2013, "La chute de la Maison Blanche" fleure bon les films d’action comme seuls les américains savaient les faire à la fin des années 80 / début 90. Cette ressemblance est telle que l’ensemble est relativement prévisible dans sa trame générale. Les seules surprises résident dans l’invasion de la Maison Blanche, filmée en temps réel, ce qui a dû requérir des moyens logistiques énormes. C’est réussi, c’est immersif, et on en prend plein les yeux… et les oreilles, surtout si vous optez pour la version Blu-ray, que je vous recommande. C’est bien filmé et les effets spéciaux sont très convaincants. Mais les scénaristes et Antoine Fuqua n’ont pas su éviter les écueils que sont les incohérences. spoiler: Comment cet avion non identifié a pu arriver aux portes de Washington sans donner la moindre alerte ? De plus, j’imagine mal que les codes d’accès utilisés par le héros ne soient pas régulièrement changés, surtout vis-à-vis de l’agent qui a été viré 18 mois plus tôt.
Les clichés n’ont eux non plus pas été évité spoiler: s, avec ce grand méchant aux yeux bridés, et cet invincible agent plus fort que tout le monde. Cependant, le patriotisme a été laissé plus ou moins laissé de côté (j’ai bien dit plus ou moins, hein) au profit des enjeux politiques et géopolitiques, pas très nouveaux eux non plus
. Malgré cette relative prévisibilité, malgré ces incohérences, et malgré ces clichés, ce long métrage qui ne révolutionne pas vraiment le genre se suit plus qu’agréablement. Et on arrive au bout des 2 heures sans même s’en rendre compte, la musique de Trevor Morris accompagnant bien chaque moment du film. Gerard Butler rend une bonne copie, Aaron Eckhart également, Morgan Freeman est très crédible en semblant un peu perdu (son personnage a de quoi l’être), mais ma préférence se tourne vers Rick Yune, très charismatique en terroriste sûr de lui et que rien ni personne bien ne peut l'empêcher d'exécuter son plan, bien décidé à aller jusqu’au bout. Il est même glaçant dans ses prises de décisions et de leur mise en œuvre. "La chute de la Maison Blanche" est donc un film d’action dans toute sa splendeur, typiquement américain de par ses clichés et sa propagande. Peu importe la redondance des thèmes, c’est un bon moment de spectacle à passer. Et bravo à Antoine Fuqua d’avoir su élever le niveau pour ne pas faire de ce scénario un quasi-inévitable nanar.

Film d'action assez classique mais dotée d'une certaine violence qui rend l'ensemble plus haletant. Loin d'égaler un die hard avec Monsieur Willis, la CDLMB est un spectacle distrayant dans le fait de voir la maison blanche attaquée.
Mais n'attendez rien du scénario, sans véritable surprise du début à la fait.
On regarde, on apprécie..... on oublie.

Un très bon Gérard Butler qui n'arrive pas vraiment à sauver un film certes regardable, mais aux effets spéciaux plutôt ratés et à l'histoire franchement pas fûtée.

De l'action du début à la fin. Le président des états unis et son garde du corps contre une armée de terroristes sur-armés. Et à la fin contre Goliath, c'est toujours David qui gagne.

Hormis des scènes d'actions franchement fun par moment et une première demi heure bien vénère ,le film commet l'erreur d'imiter die hard dans sa deuxième partie, ça reste quand même un bis d'action des 80s plutôt drôle.

Une visite diplomatique va plonger les Etats-Unis dans le cauchemar absolu! C'est un èternel bon sujet (une prise d'otage, des terroristes, un homme seul contre tous...), mais il faut quand même filmer ça sans trop de poncifs! Ce n'est pas toujours le cas mais Antoine Fuqua connaît son mètier sur le bout des doigts. "Olympus Has Fallen" parle des services secrets, de ces hèros invisibles qui protègent le prèsident amèricain et la nation toute entière! Certes, Aaron Eckhart est un mauvais prèsident et n'a pas les qualitès d'un J.F.K contemporain mais Gerard Butler assure un max' en ancien garde du corps! Sympathique effort pour tourner un film d'action à l'amèricaine où il n'y a pas lieu de rèflèchir! Certains diront que c'est gros comme une maison ; la tentative de faire du « Die Hard » à la Maison Blanche n'en est pas moins super efficace et sans fioritures! Les scènes d'action dèmènagent et les rebondissements ne manquent pas! Entre les fusillades et les explosions, le spectateur n'a pas vraiment le temps de reprendre son souffle! Ce qui est plutôt bon signe pour un film d'action...

Ce film m'a plus faire rire qu'il ne m'a captivé. Il n'y a pas grand chose à en dire, le manque d'inspiration est flagrant.

Scénario assez improbable mais je me suis sincèrement régalée. Ce film m'a rappelé les bons films d action des années 90, avec encore plus d'actions ! ! Conseil pour ceux qui n'aiment pas : arrêtez de tout intellectualiser !

Se laisse regarder sans plus, il n'y a là rien de très original et des sensations de déjà vu avec notemment le héros en mauvaise passe au début et qui cherche à se recheter