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Santu2b
249 abonnés
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3,0
Publiée le 25 avril 2016
Chez "Austin Powers", voici le meilleur volet de la saga, "L'espion qui m'a tirée". On y retrouve Mike Myers plus survolté que jamais dans une nouvelle aventure considérablement enrichie d'éléments déterminants. C'est aussi durant cet épisode qu'intervient l'un des éléments les plus emblématiques de sa personnalité : son irrésistible mojo, que le docteur Denfer tente de dérober. trouve un ancrage plus profond au sein de la culture des années 1980. Le générique du début façon "Star Wars" annonce la couleur d'un moment déjanté de bout en bout, ponctué de savoureuses parodies.
Parfois il faudrait interdire les suites de films à succès... Que ce film est lourd, vraiment gras (et je ne pense pas particulièrement à "Gras-Double", l'un des héros du film) : la plupart des gags s'étendent en longueur (comment faire 3 minutes avec le même gag ? Regardez "Austin Powers 2" !). C'est le genre d'humour de "Mary à tout prix", si vous avez aimé ce dernier, vous adorerez sûrement "Austin Powers 2". Pour ma part, je n'ai pas aimé - euphémisme !- "Mary à tout prix", j'ai donc très peu ri à "Austin Powers 2" (j'ai quand même ri à certains gags spoiler: comme celui de la tente mais ce gag, comme celui du combat entre Austin Powers et mini-moi sont de parfaits exemples de gags étirés en longueur jusqu'à plus soif... s'ils avaient pu, ils auraient fait durer ces deux gags 30 minutes chacun, mais là ça se serait vu !). J'ai sûrement vieilli mais ce genre d'humour pour ados américains me plait à petite dose mais m'insupporte à forte dose : je préfère l'humour anglo-américain de "Mickey les Yeux Bleus" ou de "Coup de foudre à Notting Hill", belge du film "Les Convoyeurs Attendent", australien de "Me Myself I" ou français de "Ma Petite Entreprise" pour ne citer que les films récents. Pour couronner le tout, les sous-titres de la v.o.s.t. sont en blanc sur fond blanc, donc illisibles !!!
Excellent Film. Aprés un Premier Episode Culte au succés mondial,le Réalisateur Jay Roach remet le couvercle avec cette nouvelle aventure du plus irrévérencieux et séducteur des espions britannique avec un Second Episode encore plus Rythmé et Délirant que son aînée.Grace a une Mise en Scène trés Efficace avec un Coté Kitsch toujours aussi assumée et qui est servi par une BO groovante qui apporte du peps ainsi que la Dynamique au long métrage. Ensuite le Scénario est plus Farfelue que jamais en étant rondement mener a travers un rythme d'enfer qui ne s'affaiblit jamais au cours des 1h30 que dure le film, ajouter a cela une succession de Scènes devenues Cultes avec son Humour toujours aussi Vulgaire mais aussi a prendre a différents degrés et qui regorge de Répliques mordantes qui fusent dans tous les sens ainsi que des Scénes D'Actions plus débridées que jamais sans oublier une multitude de Références Cinématographiques parfaitement distiller et quelques scènes de Zone d'Ombres plus nombreuses et trés bien penser. Enfin le Casting est quand a lui irréprochable dont on retrouve avec joie les protagonistes déchaîner et tordants du précédant volet comme le fameux Austin Powers est qui fidèle a lui même en agent secret obsédé sexuel au physique ingrat et au charme ravageur dont le comédien Mike Myers y est au sommet de son art dans ce rôle emblématique tout comme dans le role des deux antagonistes du film dont l'acteur y excelle avec brio comme le machiavélique et désopilant ennemi juré le Docteur Denfer qui est en trés grande forme pour son grand retour pour un nouveau plan plus démoniaque que jamais qui est accompagnée d'un homme de main au physique repoussant nommée Gras Double dont le comédien assure sans exagération dans la peau de ce troisième personnage,aux cotés de ces protagonistes on retrouve une pléiade de nouveaux arrivants comme la séduisante agente Felicity Bonnebez qui est camper par la ravissante Heather Graham qui vient épaulé notre héros tout en succombant a ses charmes mais également l'arrivé remarquée de Mini-Moi le clone miniaturisé du maléfique Docteur Denfer qui est jouer impeccablement par Verne Troyor qui y apporte de l'hilarité a chacune de ses apparitions sans oublier le retour de quelques anciens protagonistes ainsi que l'apparition savoureuse de quelques Stars connues qui viennent enrichir l'univers d'Austin Powers. En Conclusion, Austin Powers-L'Espion qui M'a Tirée est une excellente Comédie D'Espionnage tout en s'avérant comme une Suite encore mieux que le précédant qui parvient a rester dans la parfaite continuité et qui s’avère a la fois plus Barré,Absurde,Potache et Funky dont les fans du premier film seront ravis par cette nouvelle aventure délirante du plus célèbre des espions du Septième Art dont le Troisième et Dernier opus parvient a achever en fanfare la plus marquante des franchises du cinéma a voir et a revoir sans modération.
Le Dr Evil remonte le temps jusqu'en 1969, vole le "mojo" d'Austin Powers, source de son pouvoir viril, et prépare une sinistre conspiration. Le célèbre agent britannique doit alors pourchasser son ennemi juré. Si le premier opus oscillait entre parodie décalée des films d'espionnage, et humour potache, cette suite s'enfonce dans la seconde catégorie, jusqu'à même devenir régulièrement scatologique. Le scénario est un joyeux bazar, se contentant d'aligner des sketchs souvent douteux plutôt que de déployer une vraie intrigue. Quant à Michael Myers, sympathique dans le premier film, il a tendance à en faire des tonnes, notamment en écossais obèse et crasseux. Au final, on ne retiendra que quelques gags amusants, qui ne suffisent pas à faire de "The Spy who shagged me" une bonne comédie.
Toujours aussi délirant et drôle. La séquence d’ouverture et le générique sont déjà à eux seuls des pépites d’humour et d’absurde. Cela a l'air facile et potache mais Il faut du talent pour arriver à cette justesse de ton. Mike Myers est toujours aussi génial et Heather Graham apporte son dynamisme, son pep’s et son charme et est parfaite dans cet univers seventies. Un grand kif de feel good rien que pour le plaisir.
Il y a un très bon niveau de gags, de bonnes idées de mise en scène, c'est le meilleur épisode de la saga. Mike Myers en fait des caisses mais ça convient bien pour le film et ses différents rôles joués sont remarquables. C'est plein de références.
Alors autant j'ai adhéré à Wayne's world, autant cet épisode d'Austin Powers ne m'a pas convaincu, mais alors pas du tout. Pourtant, le pitch de départ est original, retourner dans le passé pour voler le "mojo" du célèbre espion. Mais même si on s'attend à de l'humour lourdaud, ce n'est à peine plus d'un rictus qui m'a été arraché. Où est passé ton humour Mike ??
C’est encore plus décapant et bien pensé que le 1er volet, notamment grâce à l’arrivée de deux personnages hors catégorie : Mini-moi et Gras-double (et une facette de plus pour Mike Myers). De plus, après la sublime Elizabeth Hurley, voici une nouvelle Austin Powers girl (ça change à chaque volume, histoire d'alimenter sa ressemblance avec James Bond), j'ai nommé la tout aussi sublime Heather Graham. Un nain qui copule avec un laser géant, un Austin qui boit du "café" spécial au goût noisette etc... bienvenue dans ce délire niquédélique baby, où les bonnes trouvailles seront de la partie (les scènes de l'ombre chinoise ou du pénis sur le radar resteront mythiques). Ça y est, on commence à apprécier le personnage, dans cette suite nettement plus appréciable que le film de 1997.
Je l'ai légèrement moins apprécié que le premier en raison du personnage "Gras-double" qui m'a répugné. Cependant, le film reste dans la lignée du premier et parvient à se renouveler. Du fait de retourner dans les années 60, on retrouve spoiler: Mustapha, interprêté par Will Ferrell
Un peu moins bon que le 1er opus , mais cela reste du bon cinéma de divertissement. On s'amuse beaucoup , les gags fusent, c'est gai, les acteurs s'éclatent , c'est louffoque à souhait. De l'humour British, comme on l'aime.
Il est vrai qu'il y a du budget, des idées de décors et de mise en scène. Hélas, le film est plombé par l'insupportable cabotinage de Michael Myers. Encore plus mauvais que le premier opus, c'est dire !
Décidément, mon changement de vue sur le film Austin Powers se confirme avec sa suite. Je n'avais pas beaucoup apprécié le 1er film et j'avais trouvé sa suite meilleure. 7 années plus tard, avec un peu plus de maturité et de culture ciné, j'ai saisi ce à côté de quoi j'étais passé dans le premier film. Et je l'ai bien apprécié.
Dans la foulée, j'ai donc décidé de me refaire "Austin Powers : L'Espion qui m'a tirée" et cette fois-ci, même si j'ai apprécié cette comédie, je ne l'ai pas considérée comme meilleure que le 1er opus.
Attention, il n'est pas très éloigné en qualité du précédent, il est simplement un cran en dessous.
Ce film a toutefois intégré de vraies bonnes idées. Je pense à Mini-moi, par exemple, qui ajoute à la fois un aspect comique et un aspect dramatique puisqu'il exacerbe la distance sentimentale entre le Dr Denfer et son fils Scott. C'est finement joué de réussir à jongler sur ces deux aspects a priori contradictoires grâce à l'introduction d'un seul et même personnage.
Ce qui est moins fin mais aussi efficace, c'est le personnage de Gras-Double. Un des personnages les plus dégoutants que j'ai pu voir au cinéma et qu'il serait inconcevable de nos jours d'inventer, sous peine de voir quelques associations tomber sur les studios et l'équipe du film. C'est donc un plaisir un peu transgressif de voir ce personnage repoussant et ce qu'en fait Mike Myers.
Mike Myers qui donne d'ailleurs encore énormément de sa personne en incarnant les 3 rôles.
Pour en finir avec les bons points, on peut citer aussi le jeu fabuleux avec les perspectives. C'est bien pensé, c'est bien réalisé et c'est assez drôle. La scène de la tente est d'ailleurs la meilleure de la saga à ce jeu là.
Seul regret : je me suis moins attaché au personnage d'Heather Graham qu'à celui d'Elizabeth Hurley. Ce n'est pas la faute de l'actrice qui incarne très bien son personnage de femme sûre d'elle et un brin séductrice mais plutôt de l'écriture de ce personnage, assez lisse au final.
Deux ans après une première aventure, Austin Powers revient avec un scénario plus étoffé, tant en matière de gags que d’intrigue. Evidemment, cette comédie farfelue n’amusera que les spectateurs déjà convaincus par l’esprit décalé du héros interprété par Mike Myers. L’acteur se livre à une nouvelle prestation épatante dans trois rôles, dont celui du démoniaque Dr Denfert qui souffre d’un problème de paternité rendu hilarant par le face à face entre le jeune Tom et de l’effrayant Mini-moi. Même si, en dehors du titre, les détournements de James Bond ne sont plus d’actualité, les blagues potaches, jeux de mots et autres quiproquos qui avaient rendus le précédent film populaire sont complétés par un surplus de gags visuels et de clins d’œil à la culture pop pour rendre plus drôle encore cette histoire qui inverse le cours des évènements en renvoyant le héros dans les années soixante, permettant d’explorer la mentalité libertine de cette époque à travers le rôle de la croustillante Heather Graham. Avec sa bande originale toujours aussi groovy, L’espion qui m’a tiré est un divertissement parfaitement efficace.
Austin Powers, c'est une bonne grosse connerie bariolée qui met de bonne humeur, qui réussit quelque chose de plus en plus rare en ce moment : à savoir d'être à la fois con, aussi débile que son personnage, mais d'une certaine intelligence. L'un n'empêche pas l'autre, n'en déplaise aux producteurs de bouses qui devraient se faire une culture avant de donner leur feu vert et leur fric au premier branquignol venu. Ce coup-ci, back in the sixties, baby, yeah : ça fait beau au moins une demi-douzaine de fois que je me marre comme un bossu devant ce film y a toujours des points de scénarios qui restent obscurs. On la fait vite : dans les épisodes précédents, Austin a été cryogénisé par le Dr Denfer et celui-ci veut en profiter pour lui voler son « mojo » par l'intermédiaire d'un agent double dégueulasse, l'affreux Gradouble. Un plan totalement stupide et c'est d'ailleurs assumé par les scénaristes qui pondent un n'importe nawak délirant qui semble avoir été écrit au jour le jour. C'est mortel : Austin qui, en catastrophe, on sait pas comment, rattrape le Dr Denfer dans des sixties plus folles que dans un refrain de Jefferson Airplane, puis qui le retrouve dans une île perdue du pacifique avant de se retrouver sur la lune pour contrecarrer son plan diabolique, le Alan Parson's Project ou l'Etoile Noire, « selon le nom qui est disponible ». Austin Powers fait péter mille couleurs à l'écran, pastiche 10 films à la minute sans aucun complexe. Mike Myers cabotine comme un caniche en chaleur avec son sourire édenté à la Jerry Lewis, entre deux numéros musicaux du Dr Denfer et son équipe de bras cassés, Frau et la teigne Minimoi en tête. Putain, que c'est bon : voilà ce que c'est une vraie comédie populaire, qui touche tout le monde, entre deux références aussi bien à Chaplin qu'aux James Bond ou à Star Wars ; rajoutez une reprise de gros rap ricain et un passage complètement fucked-up dans des sixties hippies comme jamais. Ici, pas de grimaces vaseuses d'un Frank Dubosc mauvais comme un cochon dans son « Cinéman », qui tenait bien moins de l'hommage au cinéma que de la trahison ignare de ses références, dont l'aura prétentieuse qui entourait le projet n'a eu d'égal que son échec total. Pas non plus de mièvreries de puceau-adolescent-qui-veut-draguer-la-plus-belle-fille-du-lycée, dans un décor de loft parisien du 16e. Austin Powers assume complètement sa crétinerie jouissive mais ça n'est pas un prétexte pour servir n'importe quoi à son public. Contrairement à la soi-disant énième « comédie populaire » de Boon et Kad Merad, Austin Powers n'a pas juste l'intention de se faire oublier sitôt regardé par la ménagère de moins de 50 ans « pour oublier la morosité ambiante » (la bonne blague), puisqu'il regorge de petites allusions dont il est un vrai défi de toutes les connaître, et de répliques ou scènes cultes. Un peu comme un Shrek, par exemple qui dans une même scène réussit à faire rire aussi bien le gamin de 10 ans que les parents ou la grand-mère. Parfois souvent sous la braguette, Austin n'est cependant jamais bêtement grossier, ne cherchant pas à flatter une beaufitude de collégiens fans de Rush Hour – de toutes façons, les collégiens ne sont clairement pas un public visé puisqu'ils risquent de piger que dalle, mine de rien. Austin Powers est une déclaration d'amour, bien baveuse avec beaucoup de fluo, de paillettes et de fesses, au film d'espionnage des seventies, et je l'accepte à bras ouverts. Groovy Baby !
On retrouve le parodique espion dégénéré 2 ans après le premier volet, et ça commence par un récapitulatif version Star Wars et une réplique qui donne le ton : "Tu fumes après l'amour, toi ?" "Je ne sais pas, je n'ai jamais regardé"... ça s'annonce bien ! Le ton est le même que dans le premier épisode, mais avec la surprise en moins. C'est donc toujours aussi lourdingue et mais assez drôle par moments. Il y a de bonnes idées qui ont fait du chemin depuis : Mini-moi notamment ou encore le moment où la fusée du Dr D'enfer décolle...Bref, c'est pas un grand film mais ça détend un peu.