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Un visiteur
4,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un peu lent dans sa construction, ce deuxième volet de la série des Austin Powers est un spectacle hilarant et désopilant où l'on se surprend à rire devant l'humour graveleux et bête des protagonistes. Un régal.
bon moment pour esprit léger, mais je ne le regarderais pas deux fois. Contrairement au premier : l'histoire est beaucoup moins intéressante. On te pardonne si tu nous reviens avec un troisième opus meilleur Austin. (Vers les premiers amours : Waynes World)
"Je vais l'appeler... Mini-moi !", "Je veux mon bébé, mon bébé, mon bébé, mijoté à la crème !"... c'est le meilleur de la trilogie avec l'introduction de deux personnages cultes, Mini-moi et Gras-Double ! C'est toujorus la même rengaine de blagues potaches et de 1080è degré mais ce film est bête et fier de l'être !
Austin Powers, c'est une bonne grosse connerie bariolée qui met de bonne humeur, qui réussit quelque chose de plus en plus rare en ce moment : à savoir d'être à la fois con, aussi débile que son personnage, mais d'une certaine intelligence. L'un n'empêche pas l'autre, n'en déplaise aux producteurs de bouses qui devraient se faire une culture avant de donner leur feu vert et leur fric au premier branquignol venu. Ce coup-ci, back in the sixties, baby, yeah : ça fait beau au moins une demi-douzaine de fois que je me marre comme un bossu devant ce film y a toujours des points de scénarios qui restent obscurs. On la fait vite : dans les épisodes précédents, Austin a été cryogénisé par le Dr Denfer et celui-ci veut en profiter pour lui voler son « mojo » par l'intermédiaire d'un agent double dégueulasse, l'affreux Gradouble. Un plan totalement stupide et c'est d'ailleurs assumé par les scénaristes qui pondent un n'importe nawak délirant qui semble avoir été écrit au jour le jour. C'est mortel : Austin qui, en catastrophe, on sait pas comment, rattrape le Dr Denfer dans des sixties plus folles que dans un refrain de Jefferson Airplane, puis qui le retrouve dans une île perdue du pacifique avant de se retrouver sur la lune pour contrecarrer son plan diabolique, le Alan Parson's Project ou l'Etoile Noire, « selon le nom qui est disponible ». Austin Powers fait péter mille couleurs à l'écran, pastiche 10 films à la minute sans aucun complexe. Mike Myers cabotine comme un caniche en chaleur avec son sourire édenté à la Jerry Lewis, entre deux numéros musicaux du Dr Denfer et son équipe de bras cassés, Frau et la teigne Minimoi en tête. Putain, que c'est bon : voilà ce que c'est une vraie comédie populaire, qui touche tout le monde, entre deux références aussi bien à Chaplin qu'aux James Bond ou à Star Wars ; rajoutez une reprise de gros rap ricain et un passage complètement fucked-up dans des sixties hippies comme jamais. Ici, pas de grimaces vaseuses d'un Frank Dubosc mauvais comme un cochon dans son « Cinéman », qui tenait bien moins de l'hommage au cinéma que de la trahison ignare de ses références, dont l'aura prétentieuse qui entourait le projet n'a eu d'égal que son échec total. Pas non plus de mièvreries de puceau-adolescent-qui-veut-draguer-la-plus-belle-fille-du-lycée, dans un décor de loft parisien du 16e. Austin Powers assume complètement sa crétinerie jouissive mais ça n'est pas un prétexte pour servir n'importe quoi à son public. Contrairement à la soi-disant énième « comédie populaire » de Boon et Kad Merad, Austin Powers n'a pas juste l'intention de se faire oublier sitôt regardé par la ménagère de moins de 50 ans « pour oublier la morosité ambiante » (la bonne blague), puisqu'il regorge de petites allusions dont il est un vrai défi de toutes les connaître, et de répliques ou scènes cultes. Un peu comme un Shrek, par exemple qui dans une même scène réussit à faire rire aussi bien le gamin de 10 ans que les parents ou la grand-mère. Parfois souvent sous la braguette, Austin n'est cependant jamais bêtement grossier, ne cherchant pas à flatter une beaufitude de collégiens fans de Rush Hour – de toutes façons, les collégiens ne sont clairement pas un public visé puisqu'ils risquent de piger que dalle, mine de rien. Austin Powers est une déclaration d'amour, bien baveuse avec beaucoup de fluo, de paillettes et de fesses, au film d'espionnage des seventies, et je l'accepte à bras ouverts. Groovy Baby !
A mes yeux le volet le plus décevant de la trilogie... Petite baisse de régime pour ce numéro 2 mais quelques gags viennent relever le niveau. Sympathique...
J'ai deja beaucoup moin accroché que le numero 1 mais sa reste bonenfant et on rit de bon coeur.Je ne sait pas comment Jay Roach fait pour trouver d'aussi belle fille pour tourner dans des film pareil!Felicity Bonnebez est vraiment très belle!
Je donne une petite étoile pour le peu d'humour présent ( on dit merci Mike Myers! ) mais voici tout à fait le type de film que je n'aime pas. Les acteurs surjoue, les décors mals finis, des batailles qui n'en finissent pas ... et tout ceci dans un scénario grotesque.