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Votre avis sur La Montagne entre nous ?
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benoitG80
« La Montagne entre nous » accumule mièvrerie et incohérences, en cultivant étonnamment survie et romance à un tel degré que l’on a vite compris que rien n’est crédible et que rien ne tient debout...
On pourrait déjà s’amuser à relever tout ce qui cloche, tout ce qui est invraisemblable, des multiples batteries toujours fonctionnelles (au bout de trois semaines !), aux réactions totalement décalées de nos deux héros, toujours prêts à profiter du moindre instant pour même le photographier (forcément sans problème technique !) et de manière artistique avec la recherche du meilleur angle...
Pour ce qui est des dialogues, ou de la tension dramatique, rien ne permet de ressentir ou de percevoir le véritable état de détresse auquel on est censé s’attendre, puisque le côté fleur bleue prend vite le dessus malgré les conditions climatiques extrêmes de cette montagne inhospitalière où aucun être humain ne pourrait logiquement survivre dans un tel froid !
Si bien que cette romance improbable de Hany Abu-Assad finit plutôt par faire sourire, et nos deux acteurs Kate Winslet et Idris Elba, font d’ailleurs tout pour ne pas être pris au sérieux !
Quant à la fin évidemment archi prévisible, elle est tellement lourde et appuyée, que cela devient le trop plein...
Du mélo venu du froid à la sauce américaine plutôt indigeste, seul le chien parmi des paysages superbes sort son épingle du jeu...
Dommage.
On pourrait déjà s’amuser à relever tout ce qui cloche, tout ce qui est invraisemblable, des multiples batteries toujours fonctionnelles (au bout de trois semaines !), aux réactions totalement décalées de nos deux héros, toujours prêts à profiter du moindre instant pour même le photographier (forcément sans problème technique !) et de manière artistique avec la recherche du meilleur angle...
Pour ce qui est des dialogues, ou de la tension dramatique, rien ne permet de ressentir ou de percevoir le véritable état de détresse auquel on est censé s’attendre, puisque le côté fleur bleue prend vite le dessus malgré les conditions climatiques extrêmes de cette montagne inhospitalière où aucun être humain ne pourrait logiquement survivre dans un tel froid !
Si bien que cette romance improbable de Hany Abu-Assad finit plutôt par faire sourire, et nos deux acteurs Kate Winslet et Idris Elba, font d’ailleurs tout pour ne pas être pris au sérieux !
Quant à la fin évidemment archi prévisible, elle est tellement lourde et appuyée, que cela devient le trop plein...
Du mélo venu du froid à la sauce américaine plutôt indigeste, seul le chien parmi des paysages superbes sort son épingle du jeu...
Dommage.
« Seul au monde » ou « The Revenant » pour les plus évident d’entre eux, les films de survie se limitent à un seul et unique protagoniste. Changement de plan pour « La Montagne entre nous », Hany Abu-Assad propose deux personnages inconnus l’un de l’autre dans une lutte aussi physique que spirituelle.
N’ayant pas vocation à s’étendre, le prémisse expose les brèves présentations dans une mise en contexte de moins de cinq minutes : A la suite d’un vol annulé, Alex Martins est prête à voyager en vol privé pour se rendre à son mariage. Elle embarque hasardeusement à ses côtés Ben Bass, neuro-chirurgien, dont le déplacement relève d’une question médicale.
Au gré de ce départ volontairement précipité, la scène du crash parvient à reprendre le spectateur dans un élan de captivité rapide et choquant. La catastrophe s’emploie à un réalisme spectaculaire où chaque détail est ficelé pour un résultat… Scotchant ! L’atterrissage sonne comme le glas du commencement de la véritable histoire…
Lui est neurochirurgien, elle part se marier. Lui incarne une logique, le terre à terre rationnel et les mathématiques, elle, vit avec le cœur, se bat pour des raisons sentimentales et fait appel à son instinct. C’est sur ces bases primitives que va se développer la connaissance de deux êtres opposés et pourtant complémentaires. Face aux doutes et aux incertitudes d’une survie éventuelle, la suite peu paraître des plus évidentes quant à l’évolution de la nature de leur relation au cours du périple.
Avec ce positionnement très allégorique, Hany Abu-Assad parvient à finement associer un récit d’aventure et d’action à la plume d’un auteur. Imaginé grossièrement « Le Territoire des Loups » mélangé avec « Juste la fin du Monde » de Xavier Dolan… Improbable non ? Et pourtant réussi !
Une scène d’action initie cette ambitieuse réflexion avec l’attaque d’un puma affamé. Phénomène d’auto-défense d’une Kate Winslet en état de faiblesse, le prédateur se retrouve dans l’assiette sous une forme abstraite de survie inversée.
Autre exemple d’un subtil cliché, la course d’un lapin qui parvient à s’échapper des griffes d’un chien. L’interprétation peut paraître anodine et pourtant, la séquence suivante traduit la métaphore à travers le passé amoureux de Ben et la disparition de sa femme.
Ces petites péripéties se font rares mais n’entachent pas pour autant le degré d’intensité du métrage. Les instants d’actions raisonnent d’une violence inouïe brisant cette attente et ce combat perpétuel, sans savoir si l’issue sera la vie ou la mort.
Au cœur des montagnes enneigées, des forêts étendues et des lacs à perte de vue, « Into the wild » ou « Les forêts de Sibérie » n’ont qu’à bien se tenir ! Cette domination de clichés somptueux découlent sur un dénouement qui se veut écologique. Alors que les deux héros sont ensevelis dans une nature abondante et dominante, l’éclosion du final confronte le propos à celui de la destruction environnementale.
Vont-ils survivre ? Quoi qu’il en soit, le titre est une jolie mise en abîme représentative d’une relation compliquée où « La Montagne entre nous » peut être perçue comme une séparation ou à l’inverse, un point d’union…
Bilan : Que dire de plus ? Clichés époustouflants, une catastrophe avec des intensités d’actions, la plume d’un film d’auteur… « La Montagne entre nous » frise une douce perfection réfléchie.
Plus de critiques et de cinéma sur Cinephilion.net !
N’ayant pas vocation à s’étendre, le prémisse expose les brèves présentations dans une mise en contexte de moins de cinq minutes : A la suite d’un vol annulé, Alex Martins est prête à voyager en vol privé pour se rendre à son mariage. Elle embarque hasardeusement à ses côtés Ben Bass, neuro-chirurgien, dont le déplacement relève d’une question médicale.
Au gré de ce départ volontairement précipité, la scène du crash parvient à reprendre le spectateur dans un élan de captivité rapide et choquant. La catastrophe s’emploie à un réalisme spectaculaire où chaque détail est ficelé pour un résultat… Scotchant ! L’atterrissage sonne comme le glas du commencement de la véritable histoire…
Lui est neurochirurgien, elle part se marier. Lui incarne une logique, le terre à terre rationnel et les mathématiques, elle, vit avec le cœur, se bat pour des raisons sentimentales et fait appel à son instinct. C’est sur ces bases primitives que va se développer la connaissance de deux êtres opposés et pourtant complémentaires. Face aux doutes et aux incertitudes d’une survie éventuelle, la suite peu paraître des plus évidentes quant à l’évolution de la nature de leur relation au cours du périple.
Avec ce positionnement très allégorique, Hany Abu-Assad parvient à finement associer un récit d’aventure et d’action à la plume d’un auteur. Imaginé grossièrement « Le Territoire des Loups » mélangé avec « Juste la fin du Monde » de Xavier Dolan… Improbable non ? Et pourtant réussi !
Une scène d’action initie cette ambitieuse réflexion avec l’attaque d’un puma affamé. Phénomène d’auto-défense d’une Kate Winslet en état de faiblesse, le prédateur se retrouve dans l’assiette sous une forme abstraite de survie inversée.
Autre exemple d’un subtil cliché, la course d’un lapin qui parvient à s’échapper des griffes d’un chien. L’interprétation peut paraître anodine et pourtant, la séquence suivante traduit la métaphore à travers le passé amoureux de Ben et la disparition de sa femme.
Ces petites péripéties se font rares mais n’entachent pas pour autant le degré d’intensité du métrage. Les instants d’actions raisonnent d’une violence inouïe brisant cette attente et ce combat perpétuel, sans savoir si l’issue sera la vie ou la mort.
Au cœur des montagnes enneigées, des forêts étendues et des lacs à perte de vue, « Into the wild » ou « Les forêts de Sibérie » n’ont qu’à bien se tenir ! Cette domination de clichés somptueux découlent sur un dénouement qui se veut écologique. Alors que les deux héros sont ensevelis dans une nature abondante et dominante, l’éclosion du final confronte le propos à celui de la destruction environnementale.
Vont-ils survivre ? Quoi qu’il en soit, le titre est une jolie mise en abîme représentative d’une relation compliquée où « La Montagne entre nous » peut être perçue comme une séparation ou à l’inverse, un point d’union…
Bilan : Que dire de plus ? Clichés époustouflants, une catastrophe avec des intensités d’actions, la plume d’un film d’auteur… « La Montagne entre nous » frise une douce perfection réfléchie.
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Beau film, Idris est grand et touchant, rose est toujours aussi belle et combative et belles émotions inhabituelles au cinéma . A voir et revoir
La première partie du film est intéressante avec l'aspect survie en milieu hostile. Après, le film s'enlise dans le gnangnan et le cul cul avec des situations peu crédibles et des dialogues affligeants de platitude. La dernière partie en est même longue et ennuyante. Que mangent-t'ils ? Comment font-il pour survivre avec une poignée d'amandes et deux boites de soupe ?....D'amour et de glace fraîche bien sur...Comment fait Kate Winslet pour garder des cheveux aussi propres ? C'est surement parce qu'elle le vaut bien...Comment fait un labrador pour garder une forme olympique ? Bref, on y croit pas une seconde. Au final, c'est un film à éviter.
" MMmhh ... plutôt décevant par le choix scénaristique du film "La montagne entre nous " qui ne semble pas vraiment réussir à ancrer dans les thèmes de survie, de l'aventure et la nature ... Mmmh ... Le film "La montagne entre nous" suit le parcours des deux étrangers livrés eux-mêmes après le crash de leur avion en pleine montagne. Ces deux voyageurs doivent compter l'un sur l'autre pour faire face aux conditions extrêmes. Ils tentent alors de s'en sortir tous ensemble à travers de plusieurs kilomètres de nature hostile. Certes, ce résumé m'a l'air intéressant, qu'on se demande comment s'en sortir sans des matériels adaptés à aux hautes montagnes, dans ces pareilles conditions ? Comment se nourrir ? Comment se protéger du froid et des coups de soleil ? On Imagine ce film dans la même lignée que des films : "Les survivants" de Franck Marshall, "Seuls au monde " de Robert Zemericks et du livre "Robinson Crusoé" de Daniel Defoe ... Eh bien non ... La première moitié du film montre bien les angoisses des deux voyageurs qui doivent s'organiser pour se protéger et survivre, qui s'interrogent ce qu'ils vont faire : rester à attendre d'être secourus ou bien partir ... Pas mal mais après, ce film bascule dans la romance, une histoire d'amour entre ces deux personnages. On peut bien sûr montrer les scènes où ces deux voyageurs commencent à s'attacher et à éprouver de l'attirance l'un à l'autre ... Pourquoi pas mais là, malheureusement, cette romance va complètement mettre le thème de survie dans l'ombre pendant tout le reste du film ! En plus, l'intrigue est peu crédible avec pas mal d'incohérences, par exemple, des habits toujours intacts, pas de perte de poids, ni de signes d'épuisement, du manque de propreté au bout d'un mois ! MMhhh ! Dommage que le thème de la survie dans des hautes montagnes, ne soit pas recherché ! Pfff ! La fin du film est franchement pour moi, la cerise du "n'importe quoi" sur le gâteau enneigé ! Trop niaise ! Trop hollywoodien ! Ohhh, pff ! Dommage ! Je suis sorti de la salle du cinéma plutôt déçu ... Ne vous faites pas avoir par la bande annonce qui montre tout, que c'est un film d'aventures !"
Deux grands acteurs britanniques au service d’un roman Harlequin, indigne d’une production de ce genre. Lorsqu’on vend un film de passion mais aussi de survie, on doit pouvoir ressentir a minima une empathie pour les personnages, voire craindre pour leur survie avec une goutte de sueur qui perle au front... Kate Winslet et Idris Elba ont beau être charismatiques, rien n’y fait, on ne ressent ni souffrance, ni amour, ni peine, ni douleur… Restent de superbes paysages enneigés et un chien qui, lui, est particulièrement expressif.
que la montagne est belle, que le chien est sympathique. le crash bien réalisé, le studio a fait des merveilles, mais être rescapé sans presque une égratignure !!!!!! tombé dans un lac gelé sans trop de conséquence!!!!!! les 2 comédiens sont intéressants, la fin est prévisible depuis le début, ça manque un peu de consistance, mas que la montagne est belle.
Quelle horreur ! Comment peut-on faire un film aussi peu vraisemblable ? Comment peut-on concevoir des dialogues aussi mièvres ? Comment écrire une histoire aussi prévisible ? Et que dire des dernières vingt minutes qui sont pires que tout ? Dans cette montagne de médiocrité, on saluera quand même la performance de Kate Winslet qui arrive à être bonne dans ce marasme (j'ai trouvé Idris Elba correct) et les (trop rares) jolis paysages. Un film qui pourrait être un bon nanar au sens premier du terme, s'il s'assumait en tant que tel ! En tout cas, si ça vous dit un petit trek en haute montagne,
spoiler:
commencez par un petit crash, puis ouvrez-vous la jambe, ce n'est pas très grave. Marchez dans la neige qui ne s'enfonce pas du tout, si vous tombez près d'une falaise remontez comme si de rien n'était, vous ne souffrirez pas du froid vous pourrez même dormir torse nu avec un bon poêle, en cas d'attaque de bête sauvage sortez votre pistolet pour fusée de détresse...
De la neige, de belles montagnes, une rencontre inattendue et une jolie histoire d'amour. Moi c'est tout ce que j'aime au ciné ! C'est très beau.
Une histoire gnangnan et très invraisemblable ou la femme américaine etale grossièrement tout ses clichés on doit se faire confiance mais elle fouillé dans les affaires de son compagnon d infortune des qu il a le dos tourné surtout pour savoir si ses rapports avec sa femme sont bons ou mauvais et si elle peut s envoyer en l air avec lui sans risque affectif
Elle décide de tout avec son monstrueux égoïsme et repete sans fin pour absoudre ses inconvenant es avec un insupportable et recurent I am sorry....
Lui est noir et pas très malin -chirurgien on y croit pas et fait tout ce qu elle dit et manque d imagination il n'arrive même pas à donner un nom au labrador qui caracole dans la neige sans rien manger et triomphe d un puma!!
Elle décide de tout avec son monstrueux égoïsme et repete sans fin pour absoudre ses inconvenant es avec un insupportable et recurent I am sorry....
Lui est noir et pas très malin -chirurgien on y croit pas et fait tout ce qu elle dit et manque d imagination il n'arrive même pas à donner un nom au labrador qui caracole dans la neige sans rien manger et triomphe d un puma!!
belle image joli film bon couple même si l'histoire est ultra prévisible j'ai passé un super moment bien dépaysant
Kate Winslet et Idris Elba survivent à un crash aérien et doivent cohabiter pour tenter de survivre au milieu des montagnes. Ce récit est tout simplement navrant. Il ne se passe quasiment rien durant le film. Les dialogues sont insipides, sans aucune consistance. Bref, c'est très mauvais et très ennuyeux et la fin est tellement prévisible que ça en devient affligeant. A éviter!
très bon scénario, très bon film, bien rythmé, avec des paysages magnifiques. ce film est porté par seulement deux acteurs, C'est une belle prouesse cinématographique. La conclusion est semi attendue mais néanmoins, plaisante. Tout finit bien.
ce film est une romance dans le cadre de la survie qui est rempli d invraisemblances . les beaux paysages et de bons interprètes ne suffisent pas pour sauver le film de clichés et d'une fin attendue.
Grosse déception ! Je me faisais une joie de revoir Kate Winslet que j'aime beaucoup. Mais là,je me dis :que fait elle dans cette galère ! Le film est interminable, les dialogues d'une grande pauvreté. Seul point positif, la beauté des paysages.
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