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    Massacre à la tronçonneuse
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    3,4
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    513 critiques spectateurs

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    Franck Allegre9
    Franck Allegre9

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2021
    Très bon film, les décors de la maison sont effrayant, le costume de leatherface est splendide. Ce film n'est pas gore contrairement à ce que l'on peut penser. Tobe Hopper laisse parler notre imagination dans certaines scène spoiler: notamment dans la scène où leatherface attache une des survivante à un crochet. A aucun moment nous ne voyons du sang.
    Dans ce film nous ressentons la chaleur du Texas, le soleil nous ébloui ce qui rend les scène de nuit dextrement sombre et inquiétante. La scène finale est mythique, spoiler: où l'on voit leatherface danser avec sa tronçonneuse le tout avec un couché de soleil qui nous ébloui.
    Excellent film je recommande.
    Maxime Duriau
    Maxime Duriau

    1 abonné 45 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 novembre 2022
    La première fois, je m'attendais à un vieux nanar. j'ai pris une belle baffe. Au bout d'une heure, j'étais tellement tendax que je commençais à vouloir que ça se termine. Je me suis demandé comment ça pouvait tenir encore plus de 20 minutes sans répéter les courses poursuites dans les fourrés. C'était avant de voir la scène du repas... Aujourd'hui, c'est devenu mon film d'horreurs préféré de très très loin. À voir dans le noir, sur grand écran (ou de près sur une tablette) et surtout avec une bonne qualité de son (idéalement au casque). Éprouvant.
    Alex A
    Alex A

    62 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 décembre 2020
    Que c'était long pour un film d'1h20 !! Les scènes sont inutilement longues, les personnages sont agaçants et la dernière demi-heure est particulièrement éprouvante pour les oreilles tant les hurlements sont présents et souvent inutiles. J'ai trouvé les méchant ridicules. Pas vraiment effrayant, c'est surtout gore.
    Adrien steffen
    Adrien steffen

    21 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 janvier 2021
    Il m'a fallu huit ans pour mettre la main dessus. Ce film d'horreur est d'une puissance qu'il a créé son mythe. Des personnes faisaient des fausses alertes à la bombe pour ne pas que les gens aient le voir en salle de cinéma. Cinq ans d'interdiction en France et d'autres interdictions encore dans d'autres pays. Je l'avais enfin trouvé sous forme de dvd. ( je parle d'une époque pas si lointaine où le YouTube et le portable avec Google n'était pas accessible comme aujourd'hui ). Mon premier film dvd !. Avant de continuer, je lance un avertissement car ce film. Même s'il a plus de quarante ans, a gardé toute sa force. Le sentiment de mal à l'aise, de dégoût et de terreur va vous éprandre sur ce film malsain. L'impression de regarder quelque chose de mauvais et dérangeant. Premier film de Tobe Hooper. Les bruitages fait maison et l'ambition de choquer son spectateur avec un réalisme et un sadisme jamais vu à son époque, 1974. Chaque réalisateur a inventé ses monstres. John Carpenter ; Michael Myers. Wes Craven ; Freddy Krueger. George A. Romero ; Les morts vivants. Et Tobe Hooper ; Face de cuir ; Leatherface. Avec sa famille !. C'est qui a encore la famille, avec les repas tous ensemble autour de la table. Tous des anciens employés d'un abattoir. Dans la campagne profonde du Texas, d'où ça donne même pas l'envie de s'y aventurer sous un soleil de plomb. C'est dans cette atmosphère poisseuse que le mythe est né. Encore plus traumatisant, car l'on parle de fait réel. Tobe Hooper s'est inspiré d'un des premiers tueurs en série qui se nommait Ed Gein. Il déterrait des morts, pour faire des sculptures, du mobilier et des robes. Avant de commetre des meurtres. Alfred Hitchcook était le premier à s'inspiré d'Ed Gein. Ça donné Psychose. Ce fut ensuite Tobe Hooper, pour les décors et le masque de peau. Jonathan Demme s'en ai inspiré aussi. Donnant ; le silence des agneaux. Ce film est donc, uniquement pour les amateurs de films d'horreur et de l'étrange. Mais ne vous attendez pas, pourtant avec le titre, à voir des hectolitres de sang ou du gore. Il vous prend par les trippes, réveille l'instinct animal qui est en chacun de nous. La manière que c'est filmé, le rythme et la caméra qui s'attarde sur des plans inhabituel est pour mieux nous déstabilisé. Les cris et le bruit de la tronçonneuse remplaçant la musique. Une violence gratuite et immorale. Il y a pas mal d'humour, mais à la première vision, peut-être que vous n'en apercevez pas, tant vous serez épouvanté par ce chef-d'œuvre mémorable. Tobe Hooper nous a donné le meilleur. Ce film a été moult fois imité, mais jamais égalé. Encore aujourd'hui, cela reste mon film préféré. Pour les amateurs de films d'horreur : mettez le volume le plus fort possible.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 546 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 décembre 2020
    Massacre à la tronçonneuse peut être sera réinterprété par les critiques et les théoriciens pendant des décennies. Il a été tourné en l'été 1973 au lendemain de la guerre du Vietnam et du massacre des Jeux olympiques de Munich au plus fort du scandale du Watergate et de l'enquête judiciaire sur les fusillades dans l'État du Kent. C'était une époque de détournements d'avions, d'oppression et de malhonnêteté du gouvernement, de conflits raciaux de terrorisme et de révolution. Miroir d'une période sombre de l'histoire américaine il reste l'une des meilleures évocations de l'époque. En effet un groupe de jeunes individus retournant dans la maison nostalgique de leur enfance se retrouve face à la cruauté crue et irrationnelle du monde moderne. La bande sonore est exceptionnelle et mérite d'être mieux reconnue. Elle témoigne de l'expérimentation et de la prise de risque de l'époque où toute mélodie est détruite sous une ambiance sonore industrielle de cliquetis métalliques, d'éraflures et de cris évoquant l'atmosphère de l'abattoir local. Malgré l'absence totale de gore ou de violence physique extrême Massacre à la tronçonneuse continue d'horrifier et tient en échec les innombrables clones des années suivantes. Que ce soit par accident ou à dessein ce film est un classique...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 novembre 2020
    Film très horrifique bien que ce soit un vieux film d'horreur
    Si vous avez peur de l'épouvante et de l'horreur, je pense que ce film n'est pas fait pour vous
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 août 2020
    mon film d'horreur/slasher préférés, une ambiance glauque et effrayante pendant tout le film. Leatherface est certainement le slasher le plus flippant, bien plus que jason voorhees et autres croque mitaines.
    cinéman
    cinéman

    41 abonnés 806 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 août 2020
    Un classique du cinéma d'horreur de 1974 qui convainc assez par l'ambiance angoissante et le jeu des comédiens. Même si le gore est plus suggéré que montré, voire des psychopathes courir avec une tronçonneuse après des innocents reste toujours impressionnant. Court, sobre et plutôt efficace.
    Romaric44
    Romaric44

    18 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juillet 2020
    Mais pourquoi culte?!
    Ce film n'a rien d'exceptionnel à mes yeux, j'ai été très déçu.
    Je pensai avoir peur ce n'a pas été le cas, en revanche, l'envie de vomir est réelle.
    Les acteurs ne sont pas bons et il n'y a aucun scénario.
    J'ai du passer à côté.
    Thomas B
    Thomas B

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 juillet 2020
    Film qui propose plusieurs choses intéressantes mais qui souffre de plusieurs éléments qui viennent "gâcher l'expérience".

    Tout d'abord le film à plutôt mal vieillit et on le ressent dans certaines scènes. spoiler: Par exemple lors de la découverte de la maison et plus particulièrement lorsqu'une des filles du groupe pénètre dans une pièce remplit d'ossements, d'animaux ou autres éléments semblant provenir de cadavre d'humain et d'animaux, je n'ai absolument rien éprouvé. Il est difficile de dire que la reconstruction des ossements humains est mal faite car il faut aussi remettre le film dans son époque et ne pas penser aux moyens dont disposes les décorateurs aujourd'hui, mais on sent bien que rien de tout ça n'est réel et donc difficile d’éprouver quoi que ce soit.


    Un autre problème qui m'a perturbé durant le visionnage c'est le traitement du son. Je ne sais pas si sur les dernières version remasterisé il y a eu des corrections apportées, mais sur la copie que j'ai visionné le son est vite saturé, les cris/hurlements sont très vites inaudibles et très très très stridents. La remarque est identique pour la musique (qui dans ce genre de film joue un rôle prépondérant).

    Dernier point négatif, le jeu d'acteur. Je penses en particuliers aux 5 jeunes, le jeu d'acteur n'est pas très bon. Je pense que ce qui m'a le plus dérangé, c'est cette espèce de "sur -jeu" constant de certains personnage qui parfois fait basculer le film dans un côté plus ridicule et comédie, comme une parodie du genre.

    Cependant il y a également des éléments positifs dans ce film. Pour commencer l'ambiance du film, dès les premières minutes on sent une ambiance pesante/oppressante qui s'intensifie au fur et à mesure. De plus le film est assez long à s'installer et si au premier abord je trouvais ça ennuyeux, au final je comprends mieux les longueurs du début pour installer ce climat. spoiler: Au final, passé la première demi-heure tout se décante très vite et le rythme change complètement, ce qui est très appréciable et qui permet de mieux digérer les longueurs du début (je ne pense pas que j'aurai supporté le film s'il était resté sur un rythme identique du début à la fin). De plus je me suis retrouvé surpris par le scénario (je sais que le film est inspiré d'une histoire vraie mais de ce que j'ai pu lire, le scénario du film ne reflète en aucun cas une histoire qui s'est réellement déroulée), je m'attendais à voir les membres du groupes de jeunes survivre plus longtemps mais au final un fois le premier meurtre commis tout s'enchaîne très vite. Enfin découvrir que derrière ce massacre ne se cache pas un homme mais une organisation familiale était aussi assez surprenant.


    Enfin la réalisation est plutôt appréciable, on retrouve des plans magnifiques (dont le plan final qui est devenu iconique), et des jeux de lumières intéressants ( spoiler: je pense particulièrement au moment où le père ramène la fille à la maison où se déroule le massacre, il y a des plans jouant avec son visage et la lumière des phares que j'ai trouvé très intéressant
    ).

    Au final on pourrait croire que je n'ai pas beaucoup aimé le film au vu de ce que j'ai pu écrire au-dessus, mais je pense que pour prendre en compte un film ou une oeuvre en général il faut la recontextualiser dans son époque. Et en faisant ça, je comprends parfaitement le côté culte et révolutionnaire que ce film à pu avoir à sortie et ça en reste un film d'horreur mythique et à voir au moins une fois.
    Excentrique_Package \__(🔘〰️🔘)__/
    Excentrique_Package \__(🔘〰️🔘)__/

    4 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 juin 2020
    incroyable se film est le premier slasher de l histoire et pourtant il fait encore peur la famille de canibal est vrm parfaite quelles rebondissements inattendues les acteurs jouent tres bien mais l actrice principal a une personnalité trop simple et pas assez développée massacre à la tronçonneuse reste un des plus gros classiques de l horeur c est donc pour sa que je le met 5 sur 5
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    687 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2020
    Que Massacre à la Tronçonneuse constitue une date dans le cinéma d’épouvante va de soi, mais ce statut ne doit pas masquer la virtuosité du geste de Tobe Hooper qui continue de fasciner, de susciter l’effroi, de provoquer un malaise constant et diffus, d’iconiser le mal sans recourir aux codes esthétiques conventionnels qui gangrènent aujourd’hui les modes de représentation du tueur fou dans les films. Car le long métrage de Hooper est avant tout un grand et sanglant film sur la famille et sa bizarrerie congénitale, cette étrangeté qui définit la relation entre Sally et son frère en fauteuil roulant et qui se retrouve, à peine amplifiée, reconduite par les membres de la fratrie infernale. Au commencement est la haine de soi et des autres : les cinq amis prennent la route pour éprouver leur liberté, donnant l’impression de fuir quelque chose, la société, leur milieu d’origine, eux-mêmes ; ils forment un corps qui sillonne des espaces abandonnés et reculés, dont la liberté de mouvement détonne avec le mode de vie des habitants et avec le rapport au monde de Franklin, cloué dans un fauteuil. Ce dernier est marginalisé, exclu de sa bande d’amis en raison de sa mobilité réduite : il faut le tirer, le pousser, l’aider, l’attendre ; la plupart du temps, il est seul et ne peut pas vraiment compter sur sa sœur, absente et amoureuse. Hooper peint ainsi la violence d’une relation qui laisse comprendre un passé douloureux, qui donne à voir l’impuissance d’un frère à assumer son rôle de frère, boulet attaché à la cheville de sa sœur. Ce détachement affectif, les attaques du tueur vont l’expliciter et l’exacerber puisque sa tronçonneuse détache un à un les membres de ce corps uni, raccorde l’être humain à sa solitude profonde, faisant des personnages des victimes en puissance, des Franklin. Massacre à la Tronçonneuse orchestre alors un partage d’impuissance, les protagonistes étant aussi démunis les uns que les autres devant le mal et la folie qui ébranle le confort de leur petite société a priori libertaire. Hooper fait voler en éclats la fausse liberté, celle que l’on déclame à grand renfort de principes et de chansons, pour mettre en scène la liberté totale, brutale et sauvage : l’homme retrouve sa place dans la chaîne alimentaire, l’homme est un loup pour l’homme. Œuvre politique coup-de-poing, Massacre à la Tronçonneuse s’interroge également sur la notion de propriété privée, essentielle dans un État de droit américain : en effet, le tueur ne sévit que parce que le seuil de sa maison a été franchi, il n’empiète pas sur le territoire d’autrui mais défend son chez-soi avec l’arme dont il dispose – et quelle arme ! La portée idéologique du geste artistique de Hooper est aussitôt complexe et originale. Enfin, le film constitue une réussite visuelle et sonore, la menace étant constamment présente à l’écran par le biais du bruit de la tronçonneuse dont l’intensité indique sa proximité ou non. Constamment sur le qui-vive, prêt à sursauter, le spectateur se délecte d’une mise en scène magistrale qui réussit à livrer des plans inspirés mais rugueux, dont la composition esthétique n’empiète jamais sur la force brute d’un climat et d’un sol. Un chef-d’œuvre.
    Juju Rasta
    Juju Rasta

    5 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 juin 2020
    Ça a très mal vieillit...divertissant mais bon ça fait pas du tout peur et les acteurs sont très moyens
    Niels
    Niels

    8 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2020
    Massacre à la tronçonneuse, c'est quoi? Voilà une grande question. Qu'est ce qui rend ce film si indispensable, si terrifiant, si culte?
    En fait, beaucoup de gens ne connaissent pas ce film et font l'erreur de l'imaginer comme une daube abominable de son époque. Sauf que, quand on parle d'un film d'horreur sorti en 1974 en 2020, cela veut dire que l'on a affaire à un vrai monstre. Il est en effet un précurseur de son époque et a instauré plusieurs des règles courantes des film d'épouvante. Il a introduit dans le monde du cinéma la véritable première "Final Girl", que l'on retrouvera dans Halloween, Freddy etc...
    Ce film nous présente également un tueur malade et qui ne semble avoir d'humain que son enveloppe de peau, armé d'un marteau d'abattoir. Et c'est là que tout le monde se plante. Car le tueur , Leatherface, n'utilise que trois fois sa tronçonneuse et ne tue qu'une seule personne sur les trois victimes. Alors pourquoi donner ce nom à ce film? Pour la simple et bonne raison que cela donnerait un aspect plus repoussant au film. c'est là que plusieurs d'entre nous ont été déçu car l'on s'attendait à un usage fréquent de cette arme, ce qui n'est pas le cas. De plus, l'absence totale d'hémoglobine m'a surprit, tant le résultat reste poignant.
    La simple mention de "Massacre à la tronçonneuse" voudrait effrayer tout le monde et à cause de cela, le film fut interdit dans de nombreux pays alors qu'en réalité, ce film est l'une des œuvres horrifiques les moins gores que je n'ai jamais vu.
    Sur le point de vue de la mise en scène et des interprétations, je pense qu'il n'y a rien à remettre en cause. Les décors sont tous réels ( le budget était tellement petit que le réalisateur fut obligé d'employer de vrai restes d'animaux ), le photographie granuleuse et jaunâtre donne un aspect encore plus répugnant et les acteurs arrive parfaitement à retranscrire l'horreur de la situation. Il faut saluer leur interprétation ne serait-ce que pour avoir réussit à finir un tournage chaotique et épuisant. Voilà pourquoi on parle encore de Massacre à la tronçonneuse en 2020.
    Mais ce film, malgré sa "controverse" et son statue de film "culte", n'est clairement pas un chef-d'œuvre. Il n'est pas bien dirigé sur le point de vue de la narration ainsi que sur son histoire. Sur 1h30 de film, il n'y a que le dernier tiers qui répond aux attentes des spectateurs. Pendant une heure entière, le réalisateur a tenté de développer les personnages étrangers à la famille Saywer. Cela n'était pas une bonne idée : l'intrigue reste bancale, on n'y croit pas trop, on n'arrive pas à se mettre à la place des victimes et n'arrive pas à ressentir leur peur et leur douleur. A cause de cela et d'un scénario visiblement peu affiné, les personnages ne sont pas parvenus à se développer après une heure entière passée à ne rien faire et cela est très désagréable. De plus, n'accorder que une demi-heure aux saywer était une erreur terrible, ce qui m'a fait rester sur la faim après le générique de fin. Le film n'est pas si impressionnant de ce point de vue. Cela est dommage car malgré ce scénario assez ennuyant, les acteurs ont fournit un travail très propre et, avec les décors, sauve le film d'un échec total.
    Si vous voulez voir un film gore et infernal, ne regardez pas Massacre à la tronçonneuse, regardez Saw à la place. En tout cas, ce film n'est clairement pas abominable. Seul les saywer le sont mais on ne les voit que trop peu de temps pour en être captivé. Et c'est pour cela que Leatherface, malgré sa carrure impressionnante et ses armes lourdes, ne dispose pas d'une popularité aussi grande que celles de Michael Myers, Jason et autres tueurs. Tout simplement parce qu'il n'a pas été assez exploité.
    Est-il si terrifiant? Non.
    Est-il si indispensable? Pour les cinéphiles, oui.
    Est-il culte? Objectivement, non. Certe il mérite d'être attablé parmi les plus grand du genre mais il n'est pas assez bien imaginé et écrit pour bénéficier du statut de "Culte". Beaucoup de propagande a été faite au sujet de cette œuvre et ce fut une erreur. De ce fait, ce film chaotique est passé de comédie d'horreur kitch interdit dans de nombreux pays au statut de chef-d'œuvre. Cela est faux, il ne faut pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué. Si il est resté dans les mémoires durant des décennies, c'est tout simplement grâce à la polémique qu'a fait son nom ainsi qu'à la Final Girl mythique de ce film, seul véritable personnage intéressant du film, sans compter Leatherface.
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 février 2020
    Hooper filme comme l'horreur comme un documentaire, la douleur comme tortionnaire et l'effroi tel un maestro.
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