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    Vandal
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    65 critiques spectateurs

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    Cinephille
    Cinephille

    156 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 octobre 2013
    Découvrir le premier long-métrage d'un réalisateur est toujours intéressant. Celui-ci l'est d'autant plus qu'il est très abouti. Le scenario tient la route mais surtout la réalisation est de bon niveau, la photo aussi, très belle dans les séquences nocturnes. Le casting est discret mais impressionnant, tant au niveau des adultes que des jeunes. Plusieurs thèmes sont abordés comme les relations parents/ados, les jeunes "issus de l'immigration", la difficile recherche de qui on est, la place des filles dans les banlieues... C'est toujours fait assez intelligence et sans lourdeur. Seul défaut majeur : la musique lourdingue. Mais si tous les premiers films étaient de cette trempe la vie cinématographique serait belle...
    Flore A.
    Flore A.

    34 abonnés 518 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 octobre 2013
    Un drame social pas spécialement original mais la réalisation très maitrisée crée une véritable tension, soutenue par un bon casting et par de belles scènes de graffes qui font le plus de ce film. Un premier film prometteur.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 octobre 2013
    trés bon film.
    film sur les maux de l'adolescence et trés bien documenté sur l'art du graffit.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2013
    Très belle version de l adolescence, de ses doutes, ses découvertes, ses envies et de ce besoin vital d appartenir a un groupe. Le tout mis en scène avec une grande sensibilité et accompagne par une musique envoûtante qui vous entraîne ds une vraie chorégraphie !
    Mention spéciale a la justesse des acteurs.
    Patrick Braganti
    Patrick Braganti

    92 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 octobre 2013
    Un premier film maitrisé, fougueux et dégraissé signé Hélier Cisterne, qui dresse le portrait d’un adolescent, timide sinon renfermé, tiraillé entre ses univers familiaux, amicaux et amoureux. Envoyé par sa mère à Strasbourg chez son oncle et sa tante, où il reprend son CAP de maçonnerie, Chérif, par l’intermédiaire de son cousin Thomas, découvre le milieu des graffeurs. Un monde extrêmement codifié, agissant la plupart du temps la nuit dans des lieux de friche industrielle ou dont l’accès réputé inaccessible en fait tout le prix, où le cousin de Chérif, en compagnie de quelques potes, signe dans la clandestinité des pseudonymes des fresques colorées et tente aussi de débusquer un certain Vandal, un concurrent solitaire et doué. C’est bien dans ces ambiances nocturnes et anxiogènes traversées de jeunes silhouettes souples et encapuchonnées qu’on trouve le meilleur du film. Au sein des entrepôts désaffectés, à proximité des gares ou juchés sur les toits offrant des vues incomparables sur la capitale alsacienne, les jeunes artistes cavalent et pratiquent dans l’urgence angoissante et dans l’émulation créative leur art revendicatif et rebelle. Pour Chérif, c’est donc aussi le moyen d’intégrer un groupe dont les rites secrets s’accordent à la perfection avec sa personnalité. Le réalisateur suit également son jeune héros dans son école, où règnent d’autres oppositions et se pose le problème d’y trouver sa place, et sur les chantiers où il effectue des stages pratiques.
    Avec l’énergie inépuisable de sa jeunesse, Chérif bouge et affronte aussi bien les retrouvailles avec un père absent que la découverte des premiers sentiments amoureux. Portrait subtil d’un jeune homme en train de grandir et de se confronter à la complexité de la vie et des comportements à adopter face aux circonstances changeantes et imprévues. On pense de temps à autre à Igor, un autre jeune devant faire front, dans La Promesse des frères Dardenne, notamment parce que les deux opus s’ancrent dans une même réalité sociologique. Hélier Cisterne laisse une belle place au spectateur, en pratiquant l’art de l’ellipse. Si rien n’est résolu, puisque rien ne se résout, tout est désormais possible pour ce garçon qui prend conscience. Aux côtés des comédiens adultes confirmés, mais circonscrits aux rôles secondaires (famille et enseignants), les jeunes acteurs, en tête desquels le fragile et attachant Zinedine Benchenine, impriment à l’ensemble une belle ardeur qui l’éloigne des clichés et d’un énième teen-movie, en optant sans la renier ni la galvauder pour une stylisation qui offre quelques séquences fulgurantes et enthousiasmantes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 15 octobre 2013
    Magnifique film !
    L'adolescence, la difficulté d'être parent d'ado, l'art du graph... entre interdit, démesure, conquête de l'espace urbain... Tout m'a parlé et questionné...
    A voir et à revoir.
    Cathedrale
    Cathedrale

    85 abonnés 171 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 octobre 2013
    Les poches saturées de bombes colorées, le visage mangé par une capuche, Chérif colle au train de son cousin - le meneur ; les deux ombres enjambent sans regret le rebord de fenêtre pour se laisser adroitement tomber dans la gueule des Ténèbres. La nuit, doucement les renifle, les lèche puis les avale; commence alors la palpitante quête du spot parfait. Apposer sa griffe sur un pan de mur visible par tous compte plus que la qualité du graff elle-même ; estomaqués qu'un mec, seul, étale son blase avec autant d'aisance et de maitrise sous leur nez et sur leur territoire, les Ork fulminent et partent en guerre.. La caméra d'Hélier Cisterne épouse les formes de ses personnages, les révélant à la manière de leur art : instinctifs, imprévisibles et surtout libres. La gueule contre le sol, en haut d'une tour ou sur la bouche d'une fille, Chérif tente tant bien que mal de s'adapter, courbant l'échine de temps à autre pour mieux se redresser, la rage aux poings, debout sur la chape de béton qui couvre son propre tombeau gorgé de culpabilité : un poids énorme qu'il piétine furieusement, les yeux rivés sur un fantôme : Vandal.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 octobre 2013
    ce film est captivant. J'ai adoré les scènes de nuits, la musique. on peut faire un parallèle avec le cercle des poètes disparus de péter weir ou les ados s'échappaient la nuit pour créer ou lire des poèmes. Là, dans vandal, ils fuient la nuit le monde des adultes en réalisant leurs graffitis. un très bon film que je vous conseille.
    Fbienne D
    Fbienne D

    16 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2013
    Après avoir tenté (en vain) de visiter la Tour 13, immeuble dédié au Street Art, j'ai vu ce film qui rend un très bel hommage aux taggueurs. Les scènes de tags sont superbes, magnifiquement rythmées, presque jeunes artistes sont les nouveaux zorros de nos temps modernes. On comprend qu'ils fascinent un gamin en recherche d'identité et de références. J'ai été surprise de trouver Ramzy en train de jouer tout en délicatesse un père déboussolé. Le fils de Charles Berling a déjà un charisme extraordinaire. Sûr qu'il est parti pour une belle carrière.
    Thierry M
    Thierry M

    160 abonnés 2 435 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 octobre 2013
    Histoire qui manque un peu de crédibilité. Sinon c'est sympa de voir des jeunes comédiens entouré par des comédiens confirmés.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 octobre 2013
    Sous forme de portrait intimiste, le film nous emmène en immersion dans le quotidien trouble et touchant d'un jeune homme qui ne sait pas encore qui il est vraiment. Il semble n'avoir envie de ne s'accrocher à rien, si ce ne sont quelques rares personnes. Le dur passage de l'adolescence en fait. Sous on apparence confiante, la fragilité et la sensibilité du personnages auront raison de lui, et viendra le cueillir le monde de la bombe, sans qu'il ne puisse rien y faire ; il s'impose à lui. Petit à petit, le graffiti va devenir son échappatoire, jusqu'à intégrer un "crew", à s'engager et prendre des risques. A ce titre, le monde du graffiti est ici très bien mis en image ; les bruits, le dessins (L'artiste Lokiss à du reste réalisé un superbe travail) ; bref l'ambiance générale de cet univers, tout concorde pour que le spectateur sache qu'il est dans le vrai. Au final, au delà de la dimension "hors-la-loi" de l'activité, on retiendra que derrière chaque graffiti, chaque blast, se cache une personne, une histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 octobre 2013
    J'ai vu Vandal hier soir et je trouve que c'est un très beau film à voir rapidement ! Ce n’est pas film sur le graffiti, c’est un film dont le fil directeur est en rapport avec ce thème. Mais c’est surtout un film sur la jeunesse et sur la difficulté à trouver sa voie, surtout quand on n’est pas un « héritier ». C’est un film très contemporain qui témoigne sur notre époque, sur la famille qui se recompose en permanence, sur le monde du travail, sur les origines de sa famille quand elles sont étrangères… sur l’école et sur celles et ceux qui ne choisissent pas leur discipline et se retrouvent souvent dans des lycées professionnels. Un film qui aborde des thèmes « sérieux » mais avec légèreté et dont on prend beaucoup de plaisir à le voir… L'écriture est nerveuse, caméra à l'épaule, scènes de nuit magnifiques. On pense à Pialat bien sûr, notamment les réunions de famille qui sont d'une grande justesse. Un film à voir dès cette semaine !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 octobre 2013
    Mon petit cousin joue dedans c est lui vandal et j'ai super hâte de le voir et très contenté de vos critiques
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 décembre 2013
    Un film qui navigue entre le jour et la nuit, le réel et la légende... Et qui se déploie parfaitement dans l'ambiance profonde des salles obscures. A voir !
    Sylvain P
    Sylvain P

    336 abonnés 1 356 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 octobre 2013
    Un groupe de jeunes graffeurs sans talents veut s'attaquer à un graffeur de génie... jusqu'au drame. Ce qui aurait pu être un film sur le doute et la culpabilité, un Paranoïd Park à la française, ne choisit pas cette piste. Il ne choisit pas non plus de traiter de la jeune relation amoureuse, ni des relations parents-enfants. Un si petit film aurait du choisir un angle et s'y tenir. Néanmoins, la fraîcheur des comédiens, et la mise en scène (et en musique) énergique permettent de s'immerger dans ce monde inconnu avec bonheur.
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