Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
[Dante Desarthe] fait entendre une voix originale au sein d'une production française aseptisée. A découvrir, donc, et peut-être même à adopter en cas d'affinités.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ces péripéties drolatiques entre Europe et Amérique, filmées en vidéo amateur, se caractérisent par un ludisme à toute épreuve. Modeste et pimpant à la fois.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Avec un postulat abracadabrand, Dante Desarthe signe une fausse autofiction drôle et enthousiasmante, où la satire réussit à n'être jamais méchante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Alain Spira
Cette modeste comédie erratique, névrotique et cinéphilique, déborde d'un humour décapant et de trouvailles réjouissantes.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Voir sur le site Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir le site du Point.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Le sujet, évanescent et fluctuant, compte moins que le ton et la liberté du filmage ; la légèreté et le ludisme du cinéaste/personnage, qui traverse le monde Caméscope au poing comme un elfe tintinesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
[L']expérience américaine [de Dante Desarthe] à la rencontre des frères Coen s'impose en antimorceau de bravoure qui, à lui tout seul, mérite le crochet.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Yannick Dahan
(...) une suite de d'improbables mésaventures, avec des allures à la fois de home movie décousu et de comédie loufoque.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Fantaisie inégale mais joyeusement barrée où le meilleur (la satire du milieu du cinéma, l'égotisme médiocre des artistes) côtoie le moins bon (des gags parfois étirés et des délires trop private joke).
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Guillemette Odicino
Avec son héros décalé, Dante Desarthe signe un ego trip foutraque, désinvolte mais avec du ton, un style.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Camille Pollas
Comédie cinéphile, parfois décousue et brouillonne, "Je fais feu de tout bois" séduit légèrement mais ne s'accomplit pas.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si l'humour décalé et les mises en abyme de Dante Desarthe s'avèrent réjouissants, les errances de son scénario et son jeu approximatif d'un personnage aussi désespérément grotesque que sans gêne - et dénué de talent - finissent par lasser.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaroscope
par Marie-noëlle Tranchant
c'est trop long, trop complaisant, et le metteur en scène interprète se prend les pieds dans son propre talent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
Le registre de l'autodérision continue agace, et finit par tourner à vide. Pour autant, ce film aussi fauché que celui qu'il met en scène témoigne d'un amour sincère du cinéma sous toutes ses formes, de la plus prestigieuse à la plus dérisoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Frédéric Foubert
Si le ton cinéphilico-loufoque de cette pochade fauchée (...) est très attachant, on regrette que la blague qui sert d'argument au film (...) ne tienne pas vraiment la distance.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
[Dante Desarthe] fait entendre une voix originale au sein d'une production française aseptisée. A découvrir, donc, et peut-être même à adopter en cas d'affinités.
L'Humanité
Ces péripéties drolatiques entre Europe et Amérique, filmées en vidéo amateur, se caractérisent par un ludisme à toute épreuve. Modeste et pimpant à la fois.
Les Fiches du Cinéma
Avec un postulat abracadabrand, Dante Desarthe signe une fausse autofiction drôle et enthousiasmante, où la satire réussit à n'être jamais méchante.
Paris Match
Cette modeste comédie erratique, névrotique et cinéphilique, déborde d'un humour décapant et de trouvailles réjouissantes.
Studio Ciné Live
Voir sur le site Studio Ciné Live.
Le Point
Voir le site du Point.
Les Inrockuptibles
Le sujet, évanescent et fluctuant, compte moins que le ton et la liberté du filmage ; la légèreté et le ludisme du cinéaste/personnage, qui traverse le monde Caméscope au poing comme un elfe tintinesque.
Libération
[L']expérience américaine [de Dante Desarthe] à la rencontre des frères Coen s'impose en antimorceau de bravoure qui, à lui tout seul, mérite le crochet.
Positif
(...) une suite de d'improbables mésaventures, avec des allures à la fois de home movie décousu et de comédie loufoque.
TéléCinéObs
Fantaisie inégale mais joyeusement barrée où le meilleur (la satire du milieu du cinéma, l'égotisme médiocre des artistes) côtoie le moins bon (des gags parfois étirés et des délires trop private joke).
Télérama
Avec son héros décalé, Dante Desarthe signe un ego trip foutraque, désinvolte mais avec du ton, un style.
Critikat.com
Comédie cinéphile, parfois décousue et brouillonne, "Je fais feu de tout bois" séduit légèrement mais ne s'accomplit pas.
La Croix
Si l'humour décalé et les mises en abyme de Dante Desarthe s'avèrent réjouissants, les errances de son scénario et son jeu approximatif d'un personnage aussi désespérément grotesque que sans gêne - et dénué de talent - finissent par lasser.
Le Figaroscope
c'est trop long, trop complaisant, et le metteur en scène interprète se prend les pieds dans son propre talent.
Le Monde
Le registre de l'autodérision continue agace, et finit par tourner à vide. Pour autant, ce film aussi fauché que celui qu'il met en scène témoigne d'un amour sincère du cinéma sous toutes ses formes, de la plus prestigieuse à la plus dérisoire.
Première
Si le ton cinéphilico-loufoque de cette pochade fauchée (...) est très attachant, on regrette que la blague qui sert d'argument au film (...) ne tienne pas vraiment la distance.