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LE JOUR SE LEVE. Encore un jeune réalisateur qui se lance dans le grand bain, avec mise en scéne et reference au point, mais très faible au niveau de l'écriture.
Comment faire un film sans l'ombre d'une parcelle d'idée de scénario ?
Première étape on prends "deux gentils" et beaucoup et beaucoup et beaucoup de "méchants" (qui meurent tous évidemment !)
Seconde étape on flingue dans tous les sens en se courant après en voiture, à pied, à l'article de la mort... même broyé en deux par une autre voiture, on court encore.
Troisième étape, on mets plein de sang pour noyer le spectateur et surtout éviter qu'il se mette trop à réfléchir sur le pourquoi du comment.
Quatrième étape, on place une petite musique techno commerciale et épouvantable pour "rythmer" le tout.
Pour plus de pathos, on rajoute une vague histoire d'amitié virile ! Sans oublier la femme nue (fort jolie d'ailleurs !) qui passe dans une scène où sa seule utilité est de faire admirer sa courbe de reins sans apporter la moindre plus valus ou le moindre rapport avec l'embryon d'histoire.
Bref, tous les stéréotypes sont réunis ici pour réaliser une belle daube... et de ce point de vu, c'est même du grand art !
Première étape on prends "deux gentils" et beaucoup et beaucoup et beaucoup de "méchants" (qui meurent tous évidemment !)
Seconde étape on flingue dans tous les sens en se courant après en voiture, à pied, à l'article de la mort... même broyé en deux par une autre voiture, on court encore.
Troisième étape, on mets plein de sang pour noyer le spectateur et surtout éviter qu'il se mette trop à réfléchir sur le pourquoi du comment.
Quatrième étape, on place une petite musique techno commerciale et épouvantable pour "rythmer" le tout.
Pour plus de pathos, on rajoute une vague histoire d'amitié virile ! Sans oublier la femme nue (fort jolie d'ailleurs !) qui passe dans une scène où sa seule utilité est de faire admirer sa courbe de reins sans apporter la moindre plus valus ou le moindre rapport avec l'embryon d'histoire.
Bref, tous les stéréotypes sont réunis ici pour réaliser une belle daube... et de ce point de vu, c'est même du grand art !
Roub E.
Un film vraiment bancal et plutôt faible quand on en fait le bilan. Tout d abord à cause d un scénario et de personnage trop simplistes manquant d étoffe. Les dialogues ne sont pas toujours crédibles et j ai trouvé que le rôle n allait pas du tout à Jacques Gamblin qui du coup sonne carrément faux. En revanche il faut signaler quelques plans franchement bien foutus et une bonne mise en scène mais le reste est franchement trop faible.
Il y avait longtemps que je n'avais pas regardé un film aussi peu consistant, aussi plat, aussi prévisible.
c'est mal joué, les dialogues sont nul.
Vraiment un film à éviter.
c'est mal joué, les dialogues sont nul.
Vraiment un film à éviter.
film qui ne m'a pas embarqué pourtant avec un casting de luxe
ce film est assez plat entre mélange de film de voyous, et psychologique
le thème de l'amitié est le fil conducteur de ce film
dommage
ce film est assez plat entre mélange de film de voyous, et psychologique
le thème de l'amitié est le fil conducteur de ce film
dommage
Un thriller au scénario classique mais prenant et bien maîtrisé, certains plans sont vraiment géniaux, la fusillade quand il va voir le turque est très bien foutu, niveau bande son ça envoi pas mal non plus et le casting est vraiment pas mauvais mais niveau scénar ça casse pas trois pattes à un canard.
Une critique de sortie de film. Je vais sur Allociné et découvre le lynchage de ce film sans vraiment le comprendre. Cette réalisation est le premier long métrage d'Edgar Marie. Et pour une première ce n'est pas aussi mal que nombre d'entre vous semblent le décrire. Ce n'est peut-être pas le film de l'année mais il y a de nombreuses bonnes idées. Pour n'en citer que quelques unes : l'usage subtil mais efficace d'un effet vertigo, l'usage de la musique pour signaler la fin funeste d'un des personnages, le ralenti qui symbolise le moment crucial qui va décider de l'avenir des personnages principaux. Pour moi ce film a de bonnes idées et malgré un scénario déjà vu, l'approche du réalisateur est intéressante. Pour moi, dans la première partie du film, c'est mis en scène pour montrer que Milan ne réalise pas à quel point sa situation est grave et continue a penser pouvoir s'en sortir puis, après la phrase pour moi la plus importante du film : "c'est dur. C'est dur de parler sans faire de vannes." Le rythme du film change et l'histoire prends une direction précise aidée par la réalisation et la musique. Pour moi, ce film n'est pas spécialement original, certes mais c'est aussi loin d'être un mauvais film. Je vous conseille de vous faire votre propre avis plutôt que de le lyncher parce que d'autres ne l'ont pas aimé.
On est loin du meilleur polar de l'année c'est sûr. Toujours les mêmes clichés de la délinquance nocturne sans rien apporter au genre. Toutefois interprété de manière juste par Marchal, le film ne brille que pour lui, car il le porte à bout bras, et pour une bande son moderne et à propos.
Film mise en scène avec virtuosité, malgrés qq grosse ficelles, la bande son fait merveille et aide beaucoup à l'action, cela fonctionne si on se laisse emporter par ce film noir, si on aime pas O Marchal, je peux rien pour vous... Encouragement pour Edgar Marie
Premier film d'Edgar Marie, déjà responsable de plusieurs travaux de 2ème unité techinque, notamment sur MR73 d'Olivier Marchal, Le Jour Attendra ressemble malheureusement plutôt à un téléfilm de luxe qu'à un long métrage.
Le scénario assez simpliste n'est pas transcendé par les deux acteurs principaux, qui sont généralement assez bons. Pas ici. Marchal cabotine, Gamblin surjoue.
De nombreuses fausses mauvaises idées, des partis pris délicats et des interventions techniques maladroites (cette caméra portée à l'épaule est par moments très pénible) sont certainement les raisons principales du peu de succès de cette première réalisation.
En espérant qu'un nouveau travail pour Edgar Marie voit le jour prochainement pour donner tord à cette critique.
Le scénario assez simpliste n'est pas transcendé par les deux acteurs principaux, qui sont généralement assez bons. Pas ici. Marchal cabotine, Gamblin surjoue.
De nombreuses fausses mauvaises idées, des partis pris délicats et des interventions techniques maladroites (cette caméra portée à l'épaule est par moments très pénible) sont certainement les raisons principales du peu de succès de cette première réalisation.
En espérant qu'un nouveau travail pour Edgar Marie voit le jour prochainement pour donner tord à cette critique.
Un putain de chef d'oeuvre les toons !!! Ne surtout pas passer à côté ! Fan de Marchal, jetez vous dessus sans hésiter, les autres aussi tant ce film est énorme! ENORME ! Le scénario change des classiques polar noirs de Marchal. Le monde de la nuit Parisienne, ses boites, ses clubs, est très bien rendu. Un film très graphique avec une bande originale juste magistrale ! J'ai suivi Marchal dans tout ses films et là franchement il m'a bluffé ! Attention je ne dis pas que je n’appréciait pas ses réalisations avant , c'est tout le contraire !!! Mais là il s'est transcendé! Son rôle de milan, le patron de boite, juste énorme, les autres acteurs, dont celui qui joue Victor le meilleur ami de Milan: Énorme ! Des têtes échappés de Mafiosa et des autres films de Marchal, que du bon ! Çà c'est du pur cinéma comme seul les polars français de Marchal peuvent l'être! Il a franchi un cap ! Bref, réalisateur, acteurs, visuel et son, que du bon. Jetez vous dessus ! Achetez les D.V.D , Blue-Ray, pour donner du taf à ces gens là, qui font le vrai, le bon cinéma français !
J'apprécie beaucoup Olivier Marchal que je tiens, à son meilleur, pour le successeur de Melville dans le polar noir. J'aime bien Jacques Gamblin également et, pour couronnerle tout, je suis un fan de Braquo, dont Edgar Marie a réalisé et écrit certains épisodes. Tout annonçait donc un bon moment.
Eh bien non. Ce énième polar ne fait qu'enfiler laborieusement les scènes de genre: intro hollywoodienne dans le désert mexicain, fusillades tarantinesques, Paris-la-nuit...Le tout sans vraie cohérence. Un décalque de Braquo-Engenages-Mafiosa en beaucoup moins bien. La psychologie des 2 personnages principaux n'est qu'effleurée, les personnages féminins réduits à la figuration masochiste et surtout, le méchant -capital dans l'histoire- particulièrement raté. Carlo Brandt, en 2 phrases et 3 scènes, était bien plus inquiétant dans R.I.F. Ne parlons pas de Francis Renaud, plus comique qu'inquiétant dans son rôle de tueur. Il y avait moyen de faire bien mieux avec ce casting.
Eh bien non. Ce énième polar ne fait qu'enfiler laborieusement les scènes de genre: intro hollywoodienne dans le désert mexicain, fusillades tarantinesques, Paris-la-nuit...Le tout sans vraie cohérence. Un décalque de Braquo-Engenages-Mafiosa en beaucoup moins bien. La psychologie des 2 personnages principaux n'est qu'effleurée, les personnages féminins réduits à la figuration masochiste et surtout, le méchant -capital dans l'histoire- particulièrement raté. Carlo Brandt, en 2 phrases et 3 scènes, était bien plus inquiétant dans R.I.F. Ne parlons pas de Francis Renaud, plus comique qu'inquiétant dans son rôle de tueur. Il y avait moyen de faire bien mieux avec ce casting.
Un polar qui vise sans vergogne le ciné de l'autre côté de l'Atlantique. Soyons franc, si le film est un peu trop ambitieux, il n'est pas complètement raté non plus. Si il est parfois plat, il arrive à être prenant par instants. Le scénar sous forme de fuite en avant supporte mal les quelques coups de mous en cours de métrage mais j'ai largement vu pire dans le genre. Les dialogues arrivent à être sympas et la musique assez inattendue dans le genre apporte un plus. Le duo Gamblin/Marchal fonctionne à merveille, c'est un plaisir. Au final il ne manque pas grand chose à ce film pour être une réussite.
Le jour attendra est un film que Olivier Marchal aurait pu réaliser comme Diamant 13. Mêmes clichés (les personnages qui boivent comme des trous et fument comme des pompiers), musique omniprésente (là, c'est essentiellement de la musique de boîte de nuit), personnages à la frontière du bien et du mal. Pas la peine d'aller chercher bien loin le réalisateur. Il s'agit d'Edgar Marie, scénariste sur la série de Olivier Marchel "Braquo" et Les Lyonnais. Un autre film de...Olivier Marchal. Le film a été un échec. Dans un sens, c'est dommage pour le duo d'acteur que l'on voit sur l'affiche. Gamblin, c'est un mec que j'ai bien aimé chez Lelouch et Lioret. Et Marchal, il a ce charisme, cette gueule d'acteur que Melville se serait plu à filmer. Et tant pis si le film est un peu bruyant à force d'enchaîner les scènes dans les dancings, et si le scénario part un peu dans tous les sens et dans la violence gratuite. Je situe quand même Le Jour attendra inférieur aux différents films policiers sur le monde de la nuit auxquels on a eu droit ces dernières années comme Une nuit de Philippe Lefebvre et Nuit blanche de Frédéric Jardin.
un bon film, avec une bonne histoire. peut-etre un peu trop de plans fixes sur des regards trop expressifs pour etre naturels ;) mais sinon bon film, bien réalisé et un très bon casting.
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