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Ciné2909
72 abonnés
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3,0
Publiée le 16 décembre 2013
Nothing else matters & Enter the sandman, ce sont certainement les 2 seuls titres que je dois connaitre sur l’immense répertoire de ce groupe culte formé depuis 1981. Metallica Through the never c’est avant tout un concert, une prestation donnée dans le cadre de ce film mais en plus de ça vient s’insérer une petite histoire menée par Dane DeHaan. Bon, je n’ai pas trop compris l’intérêt de ceci si ce n’est d’offrir quelques belles images d’illustrations mais en même temps ça coupe un peu la dynamique de l’évènement. Bien entendu, les fans de la première heure se jetteront pour admirer James Hetfield et ses compères.
Il faut connaitre la vie de Metallica pour apprécier pleinement ce film... et quand j'ai compris pour le sac... l'image final m'a donné des frissons et j'ai replongé en 1986! Aucun film m'a transmis autant d'émotions en filmant un sac de voyage mdr J'ai adoré, j'y suis même retourné une deuxieme fois
La Géode, le 30 novembre 2013. En résumé, son excellent mais... TROP TROP TROP FORT !!!! Une 3D par moment saisissante de réalisme mais, diable !!, comment expliquer que l'on passe d'une scène en 3D à une scène qui ne soit pas en 3d (dans la meme chanson !!) obligeant le spectateur à enlever les lunettes puis à les remettre puisque avec les lunettes on se retrouve à avoir une image multipliée par 3 ???? Et comment expliquer le flou à certains moments ??? C'est à n'y rien comprendre....
Dommage, j'était parti avec une réelle envie de découvrir le groupe, je me contenterai du DVD pour préserver mon capital auditif et mes yeux qui, tous deux, n'ont rien compris à cet imbroglio technique qui a gâché le plaisir de voir un très très très bon groupe !!!!
Résultat des courses : sorti de la salle au bout de 20 min, avec les oreilles fatiguées, l'impression d’étouffer et les yeux perdus... DOMMAGE !!!!!
Un bon concert filmé que j'ai eu la chance de voir au cinéma, graphiquement hyper réussi spoiler: avec seulement 18 millions de dollars de budget. . Personnellement, je m'attendais a quelque chose de foireux à cause des derniers albums de Metallica, la plupart ayant été des foirage complets.
Si le film brille par son scénario, le jeu d'acteur de Dane DeHaan et sa bande originale (toutes mes chansons favorites du groupe étaient dedans, si on oublie celles du Black Album et de RELoad), le film manque énormément de dialogues, seules les 10 premières minutes en possédant.
Ce qu’il faut savoir en allant voir ce film, c’est que ce n’est pas un film. Personnellement je n’y suis pas allée pour l’histoire, je voulais juste voir un concert de Metallica au cinéma, avec un bon son et avec en plus une bonne 3D, l’histoire brodée autour du concert, je m’en foutais un peu, même si j’apprécie Dane DeHaan. Et d’un côté heureusement, car la partie film est inexistante, quelques scènes sans queue ni tête sont éparpillées tout au long du concert, des scènes qui deviennent de plus en plus fantasmées comme un trip (c’est justement le nom du roadie) sous acide. L’objet mystérieux que le roadie doit aller chercher, c’est comme la mallette de Marcellus Wallace, un McGuffin quoi, chacun est libre de s’imaginer ce qu’il veut : la pochette de leur prochain album, de l’inspiration, les cendres de Cliff, … Bref “Metallica : Through the Never” c’est avant tout un concert, énorme, qui retrace les 30 ans d’existence du groupe à travers leurs meilleurs titres. C’est un peu Metallica qui rend hommage à Metallica.
Un concert très bien filmé, avec de gros moyens et qui rend justice à la puissance de jeu et au charisme du groupe sur scène. Ce live (raccourci de 45 minutes) est malheureusement parsemé d’une histoire totalement bidon pour vendre le projet comme un film et pouvoir l’exploiter au cinéma. Le tout en 3D et en Imax pour maximiser les profits… Pour celles et ceux qui n’aiment pas Metallica, vous pouvez diviser la note par deux. Mais vous pouvez aussi surtout aller voir un autre film du coup.
Depuis quelques temps, on assiste à une recrudescence de films-concerts en 3D, voire même IMAX. Cependant, il se trouve que le film Metallica : Through the Never est un peu plus qu’une simple représentation filmée.
Réalisé par Nimrod Antal, responsable des médiocres Blindés et Predators, le film Through the Never, qui sort le jour du 27e anniversaire de la mort d’un ancien membre du groupe, essaie d’aller plus loin que le simple concert filmé et tisse une histoire à travers ce concert, rythmée par les titres que Metallica joue pendant le show. N’étant pas un immense fan de Metallica, je ne peux me prononcer sur leur prestation scénique, si ce n’est que le charisme transpire des pores de James Hetfield et que la caméra de Nimrod Antal épouse tout à fait le faste du décor et des effets de scène. En revanche, les parties fictionnelles sont un peu plus de mon ressort. Si le scénario est franchement moyen et ne va pas assez loin dans le délire apocalyptique de la première demi-heure, la qualité visuelle et les inventions constantes ne peuvent être occultées par ce petit défaut. Constamment énergique et culotté, Through the Never en devient même passionnant, car sa proposition de cinéma est si unique qu’on lui pardonnerait même ses baisses de rythme et son dénouement franchement facile avant un final moins original. Dane deHaan est excellent en roadie dévoué.
Néophyte ou inconditionnel de Metallica, Through the Never est un film indispensable car unique à défaut d’être totalement réussi. Et puis, Metallica en concert, c’est quand même quelque chose.
Pour les fans du groupe, ce show 3D est une expérience filmique intéressante pour toutes les parties scéniques. La 3D apporte pour une fois un plus pour renouveler l'expérience du concert. Les clips apocalyptiques en contrepoint du concert laissent en revanche plus perplexe.
Très difficile de noter ce film : est-ce vraiment un film d'ailleurs ?! J'ai plus eu l'impression d'un gigantesque clip autour d'un faux concert live hallucinant ! Si vous n'aimez pas Metallica, passez votre chemin ! Les 9/10 du film, c'est pour leur musique. Les courts intermèdes non musicaux ont un scénario très restreint dont le but est juste de coller au concert du groupe : tel un clip ! Si par contre, vous aimez Metallica, ce concert de folie en 3 D vaut le coup !
ce film concert est excellent. bete qu'il ne reste pas longtemps dans les salles car je retournerais le voi. la version V.O.S.T rien a dire mais quand il passera en V.F je pense pas que j'iraos le voir pour entendre la voix du groupe en français.
Etant fan des 4 Horsemen depuis l'adolescence, je me devais d'aller voir ce "film". Le scénario que nous laissait imaginer le synopsis me laissait très dubitatif, et je n'en attendais pas grand-chose, mais bon, après tout pourquoi pas me suis-je dit avant d'entrer dans la salle, perplexe. En sortant, et bien je l'étais tout autant. Vous aurez compris que c'est avant tout un concert, superbement bien filmé, une qualité sonore décoiffante, les papas rockers envoient un sacré pâté et enchaînent les tubes, particulièrement ceux bénéficiant lors de la tournée Death Magnetic d'effets visuels attractifs (chaise electrique pour Ride The Lightning, statue pour And Justice For All, etc). On se serait néanmoins passé de la réédition de la Destruction Scene de Cunning Stunts. Le reste du film, la partie "scénarisée" si je puis dire, ressemble au final plus à un clip qu'autre chose, car on ne comprend absolument pas ce que Metallica veut faire passer comme message. Je suis allé voir ce film en m'attendant à avoir un scénario minable : au lieu de ça, j'ai eu un scénario sans aucune finalité ni explication. Dommage, car je ne pense pas qu'une petite piste ou deux à propos des émeutes et du sac leur aurait coûté grand-chose. Clin d'œil à The Wall ? Si oui, epic fail ! Du coup, attendez vous à un concert de Metallica excellent mais très raccourci. Sinon, passez votre chemin, réécoutez leurs vieux albums en attendant un éventuel nouvel opus !
Un concert filmé de Metallica en 3D, ça ne se refuse pas quand on est fan des premières heures. Car il s'agit bien d'un concert filmé, et non pas d'une « comédie musicale métal ». L'histoire en filigrane ne présente en effet aucun intérêt, dépourvue de consistance et de cohérence. Les grands classiques de Metallica sont là. Et ils ont encore une sacrée énergie ces papys du métal!
Pour vous Metallica est essentiellement synonyme de « gros son », d’un univers gothique épuré tendance Trash Metal et de quelques ballades universelles (Ah ! Nothing Else Matters ) ? Le visionnage de l’ovni de Metallica Through the Never de Nimród Antal devrait élargir vos horizons. Ce concert filmé en 3D est une vraie bonne surprise.
Tout d’abord, il y a le show en lui-même qui suit le groupe sur une scène géante d’où jaillissent des tonnes d’accessoires et d’effets pyrotechniques (à la limite du kitch par moments, même s’ils font tous référence aux différents albums du groupe). Grâce à la 3D, l’immersion est totale. Et être à côté de Kirk Hammet quand il fait ses solos de guitare magiques, c’est impressionnant. Car pour ceux qui l’ignoreraient encore, les membres de Metallica sont tous des musiciens virtuoses. Le réalisateur du remake de Predator pose sa caméra toujours au bon endroit, sans jamais nous donner le tournis.
Au-delà de la performance scénique, que certains pourraient trouver redondante, le film est entrecoupé de scènes de pure fiction. On y suit le jeune roadie, Trip, chargé d’aller récupérer un sac au contenu mystérieux et qui va se retrouver malgré lui pris dans des émeutes. Coécrit par les membres du groupe et le réalisateur, cette partie fictionnelle plonge soudainement le spectateur dans une ambiance urbaine apocalyptique. Le résultat, graphique et dérangeant, dépasse largement les frontières du simple clip grandeur nature. Dans ce rôle quasi-mutique, Dane Dehane (The Place Behind the Pines et bientôt dans Kill Your Darlings) impressionne et confirme son attachement pour les rôles de marginaux.
Tous ces éléments font de Metallica Through the Never un objet cinématographique à part entière. Rêve, réalité ou cauchemar ? Peu importe ! Il ne s’agit pas de tout comprendre mais simplement de ressentir. Au final, Lars Ulrich, James Hetfield et Kirk Hammett prouvent, du haut de leur cinquante ans, qu’ils n’ont rien perdu de leur rage d’antan, ni de leur cohésion avec la jeunesse.
Un petit reproche tout de même. Afin de mieux rendre compte du caractère subversif du groupe, il aurait été de bon ton de traduire les paroles. Oui je sais c’est une demande de profane, mais de profane cinéphile.
Voilà un live vraiment excellent. Mais pourquoi ce navet comme enrobage, ce film n'a ni queue ni tête, heureusement que la musique sauve le tout. Si vous aimez Metallica, foncez, si vous n'aimez pas, passez votre chemin, y'a rien d'autre à voir.
Explosif, voilà le terme qui me semble le mieux convenir. La partie concert est absolument fantastique pendant que la petite histoire parallèle, si elle manque de sens, apporte aussi sa part de spectacle.