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    Steven Merlier
    Steven Merlier

    37 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 décembre 2015
    Plus fort que les bombes ou back home après la censure post 13 novembre que subit le cinéma ! En avp avec la présence surprise de isabelle Huppert une grande actrice française ^^

    Film sur la régénération d une famille après le suicide de la mère qui étais photographe de guerre

    Le film peint les relations de ceux qui restent qui sont abandonnés par ce geste un film fort mais qui de par sa sanction en trois partie se perd et nous perd

    En reste un film qui touche qui fait pleurer pour ma part des réflexions sur la vie l adolescence le manque la vie après la perte d un être cher !

    Des acteurs super de belles musique de très belle séquence mais assez inégales par moment

    http://avis-cine.over-blog. com/
    Yves G.
    Yves G.

    1 460 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 décembre 2015
    Le dernier film de Joachim Trier - sans lien de parenté avec Lars - a été présenté à Cannes sous le titre "Louder than bombs". Ses distributeurs français l'ont rebaptisé après le 13-novembre. Car il n'a rien à voir avec le terrorisme ou la guerre. Quoique ...
    Isabelle Huppert y joue le rôle .... d'une morte. Photographe de guerre, elle s'est suicidée. Son mari (Gabriel Byrne) élève seul deux garçons. L'aîné (Jesse Eisenberg), aujourd'hui adulte et jeune père de famille, sait la vérité, le cadet (Devin Druid), en pleine crise d'adolescence l'ignore.
    Joachim Trier, le réalisateur prometteur de "Oslo, 31 août", a voulu "raconter une histoire à plusieurs voix sur une famille dont chacun des membres vit une même expérience à sa manière". Le cadet est traumatisé par la mort de sa mère qu'il ne comprend pas. l'aîné peine à entrer dans l'âge adulte. Le père cherche la façon la plus douce de révéler la vérité à son fils. Même la mère défunte est convoquée par des flash-backs pour élucider les raison de son acte.
    Le film se construit comme une mosaïque faite de petits fragments éparpillés. Dans cet appareillage, c'est bizarrement Isabelle Huppert qui est la plus décalée. Parce qu'elle est morte ? parce qu'elle est Française ? Le film n'aurait pas perdu en cohérence sans elle. Elle aurait pu être gommée. Au centre. mais absente. Comme Kevin Costner dans Les copains d'abord de Lawrence Kasdan (1983) : il jouait le rôle d'un copain suicidé à l'enterrement duquel tous ses copains se réunissaient. Il n'apparaissait pas à l'écran - sinon, dans la première scène, dans son cercueil à ses obsèques. Mais tout le film gravitait autour de lui. Joachim Trier aurait dû utiliser le même procédé. Il aurait paradoxalement donné plus de présence à isabelle Huppert
    Fabien S.
    Fabien S.

    546 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2018
    Un très beau film de Joachim Trier. Isabelle Huppert, Jesse Eisenberg , Gabriel Byrne incarnent de très beaux rôles dramatiques.
    rogerwaters
    rogerwaters

    141 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juin 2018
    Après le bijou qu’était Oslo, 31 août, il était difficile pour Joachim Trier de faire aussi bien, voire mieux. De fait, Back Home a souffert de la comparaison à sa sortie et c’est plutôt dommage car si le métrage est bien évidemment inférieur, il n’en contient pas moins des trésors de sensibilité qui en font une œuvre attachante. On aime notamment cette étude d’une cellule familiale atomisée par l’absence soudaine d’une mère de famille qui était pourtant déjà absentéiste de par sa profession. On apprécie la sensibilité avec laquelle l’auteur traite du deuil, mais aussi du sentiment éprouvé par cette femme qui ne se sent à sa place nulle part, y compris dans son foyer. Tout ceci est filmé avec une douceur incroyable, ce qui n’empêche nullement les tourments intérieurs de s’exprimer. Certes, le montage n’est pas exempt de maladresses, mais il parvient tout de même à maintenir l’intérêt du spectateur jusqu’au bout. Tout ceci est soutenu par des acteurs formidables. Une petite musique ravissante qui chante le mal de vivre avec une douceur infinie.
    Toto INF
    Toto INF

    36 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2016
    Une histoire sympa, mais qui frôle le gros drame.

    En définitive, on veut vraiment savoir ce qui arrive aux personnages, grâce à un casting qui sait leur donner vie. On est témoins d'existences bien compliquées pour comme souvent, pas grand choses, d'autant que les rebondissements de ces dernières sont très clichés. L'amour est un sujet sensible dans ce film et pour ses personnages : l'amour maternel, l'amour charnel, et j'en passe.
    Pour autant, arriver au bout du long métrage est en soit une petite épreuve. Pas un cauchemar non plus, mais pas un rêve pour autant.
    Un rare point positif est la relation entre les deux frères qui est très touchante, mais aussi entre leur père et eux, qui est très réconfortante en un sens.

    Un film qui mériterait d'être analyser pleinement en détail, tant de nombreuses idées peuvent représenter plusieurs concepts, mais à la fin, on en a pas spécialement envie, et c'est peut-être le plus gros défaut du film.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    688 abonnés 3 011 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 janvier 2021
    Louder Than Bombs est un film d’images, un film sur les images – comprenons, les photographies que prend Isabelle –, un film sur l’image que l’on se fait de quelqu’un et que l’on substitue à la réalité. Le long métrage de Joachim Trier est obsédé par l’idée de place : ses personnages souffrent d’une position qui les met dans un entre-deux invivable et toxique, ils affrontent un quotidien plus lourd et plus bruyant que les bombes qui envoyèrent la mère à l’hôpital, comme le programme d’entrée de jeu le titre original. Jonah louvoie entre un nouveau foyer dont l’émergence dans sa vie fut aussi subite que déstabilisante et la pulvérisation de l’unité familiale initiale, Gene est écartelé entre les promesses d’un retour et les infidélités à répétition. C’est alors à Conrad que revient l’opportunité de conjurer cette malédiction par le biais de l’expression et de la littérature, son texte imprimé et déposé sur le paillasson de celle qu’il aime devenant le conservatoire d’un rapport douloureux au monde et à soi, l’occasion d’une concrétisation nocturne de ses fantasmes adolescents sous la forme évanescente d’un rêve, ce qui donne lieu à la plus belle séquence du film. En dépit de longueurs, d’une esthétisation parfois rutilante de l’image et d’un dolorisme trop appuyé, Louder Than Bombs propose une réflexion pertinente sur la notion de « chez soi », Isabelle n’étant chez elle qu’ailleurs, au travail, étrangère à une maison qui ne lui accorde aucune place, aucune nécessité ; il tire de l’incommunicabilité entre les êtres un désarroi source de vertige et de perte de repères, pouvant aller jusqu’à l’engloutissement individuel. Le choix d’un casting international insiste sur cette incompréhension qui unit des singularités, aussi opaques que mystérieuses.
    Loïck G.
    Loïck G.

    336 abonnés 1 670 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2015
    Autour du souvenir d’une mère, d’une épouse disparue lors d’un accident de voiture, une famille se recompose en reprenant les étapes d’un passé qui offre des visions bien différentes pour les uns et les autres. Des ressentis que le réalisateur alimente intelligemment en chahutant la chronologie des événements, mais sans jamais lui intimer une autre raison d’être que celle qui préside à ces retrouvailles familiales. Elles ne sont pas aisées. Le père ne communique plus avec son fils cadet qui d’ailleurs semble vivre sur une autre planète. Entre les deux, un frère dont la récente paternité le bouscule totalement. Les comédiens, de Gabriel Byrne à Jesse Eisenberg donnent la juste réplique aux émotions suscitées par ces fragments inconsistants qui resurgissent de la mémoire, du passé, des souvenirs.
    Pour en savoir plus
    Cine vu
    Cine vu

    141 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2015
    le couple, la mort, les vivants

    Réalisation Joachim Trier 2015

    Joachim Trier est décidément un réalisateur très intéressant,mieux même! Captivant.

    Après l’étonnant et prenant « Oslo 31 août » tiré du roman de Drieu la Rochelle « le feu follet » dont L.Malle avait déjà tiré un film avec M.Ronet, le cinéaste norvégien nous livre là « Back Home ».
    Il y a une intensité peu commune dans la façon de raconter, de filmer, chez Joachim Trier.

    Le film s’ouvre sur une naissance: un plan simple et beau d’une main d’un nouveau-né qui accroche un doigt adulte. Jonah (Jesse Eisenberg) devient père. Dans les couloirs du même hôpital, il croise Erin (une Ex.) qui elle, est là, pour la bientôt mort de sa mère. L’histoire commence donc comme cela, vie et mort mêlées, forcément puisqu’il en va ainsi.
    Alors entre elles le couple. La vie du couple, la construction du couple, l’état du couple; les états du couple. L’observation du couple sous-tend le film tout du long et sans jamais faire discours.

    Il y a celui du nouveau jeune père, dont il s’est extrait momentanément, sous prétexte d’expo-hommage à sa photographe de mère, décédée depuis plus de deux ans.

    Le couple que cette mère (Isabelle Huppert) photographe de guerre, forme avec son prof de mari (très bon Gabriel Byrne) où elle multiplie les départs professionnels et lointains; trouvant ensuite compliqué de rattraper leur quotidien (très joli rapport à deux voix-off, du difficile retour des journalistes dans la vie ordinaire). Et puis bientôt le cadet, encore à l’âge difficile, aura les aspirations…il sera mis en garde par l’aîné, juste après que celui-ci ait menti… à sa compagne.

    Tout dans ce film est admirablement ciselé. Une intensité très forte émane du film à presque chaque plan puisque Trier prend le temps de filmer (sans aller jusqu’à la nausée de Kechiche). Et donc une fois encore le cinéma nous parle de nous (sans aller jusqu’à la complaisance de Maïwen) et c’est juste.

    Une fois encore le cinéma dans ce qu’il a de meilleur nous rappelle qu’il faut prendre soin de nos proches, prendre soin de nos enfants, même quand ils sont durs à parler et que les pères ne sont pas des sur-hommes.

    Un film qui rend plus fort parce qu’il montre nos faiblesses.

    EB
    virnoni
    virnoni

    98 abonnés 578 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 décembre 2015
    Film intéressant sur le deuil qui adopte tour à tour différents points de vue et vision de la mort et de la vie. Chacun des personnages se passent comme le "témoin" de leur sensations et vécu. Ce n'est que vers la fin que nous comprenons l'ensemble et que tous les personnages ne ressentent pas forcément ce qu'ils laissent à montrer aux autres. Ainsi, le plus jeune n'est pas le plus "touché", il souffre certes mais vit aussi son adolescence. L'aîné en ressort lui plus en dépression au final. Le père tient tout ça comme il peut également. Leur trio est assez beau et les dialogues fins. Isabelle Huppert est tjs majestueuse mais son rôle fait trop échos à celui tenu récemment avec plus d'intensité par Binoche, en reporter de guerre qui ne peut pas se passer de son métier, à en faire souffrir sa famille. Ici, plus radicale encore, elle choisit la mort. J'ai bcp aimé que chacun des personnages ait sa propre vision de cette mère. C'est par flash back, et ce, jusqu'au bout, que l'on comprend la réalité. Et c'est au final par l'intermédiaire du plus jeune qu'elle apparaît au spectateur.
    Reste de gros défauts qui alourdissent le propos. Bcp de scènes dans un ordre aléatoire (même si pensé et précis bien sur) mais qui donnent au final le bourdon et du mal à suivre parfois. Les interprètes sont superbes, Gabriel Byrne en tête, tjs formidable de retenu. Jesse Eisenberg m'a surprise et pour une fois, n'est pas une "tête à claques" avec un rôle pas si linaire que cela. Le jeune acteur du fils cadet est surprenant aussi et parvient à apporter une vision qui s'avère mature au final.
    Dans ce film, il y a trop d'effets aussi ce qui finit pas agacer parfois et provoquer l'effet inverse : agacer au lieu de créer une émotion, voire empathie. Quelque peu gênant pour un tel sujet. Exemple du gros plan de Huppert qui s'éternise et ne sert pas à grand chose. C'est esthétiquement magnifique bien sur mais on a parfois l'impression d'assister à une démonstration de talent, d'idées. Est-ce que cela apporte véritablement à l'intrigue, reléguée peut-être alors au second plan. Susciter de l'émotion ne passe pas toujours par de l'esbroufe visuelle.
    Beau film, qui traite du deuil de manière intelligente et fine, mais peu mieux faire.
    Septième Sens
    Septième Sens

    84 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 décembre 2015
    Les personnages auraient pu être des clichés. Un ado bizarre et dépressif. Un père qui, suite à la mort de sa femme, couche avec la prof de son fils. Un trentenaire qui n’assume pas sa toute nouvelle figure paternelle. Mais, pris les uns après les autres, ils se révèlent devant la caméra du norvégien avec grâce et gravité. D’une douceur infinie, le récit se contemple comme on plongerait notre regard dans l’âme de nos proches. Back Home est un film purement intimiste où les sentiments des uns se mêlent à la faiblesse des autres. Où la tendresse d’un père ne suffit pas à apaiser les douleurs d’un enfant.

    Le montage aurait également pu être fâcheux. Chaque pièce est pourtant à sa place et nous livre des moments du quotidien fascinants. Non pas que ces derniers soient extraordinaires. Ils traduisent avec poésie et parfois même un peu d’humour des instants que l’on ne retient pas toujours, et qui sont pourtant essentiels. Construite en flash-back et flash-forward, la troisième œuvre de Trier brouille la chronologie des événements, afin de surligner avec justesse le deuil et son impossible notion du temps. Chaque geste est à scruter. Chaque mouvement de lèvres à étudier. Car les corps trahissent des réactions que les mots ne peuvent dévoiler.

    Face à la perte d’une mère, les repères sont bouleversés, nos comportements, changés à jamais. Le cinéaste accentue cette notion dans sa narration par une présence féminine minimisée. Ces hommes, enfermés dans leurs propres vécus, ne savent comment se comporter avec leurs conquêtes. Accompagnés par la musique sombre et discrète du fidèle Ola Fløttum (déjà présent pour Oslo, 31 août), ces protagonistes errent et se cherchent dans un climat mélancolique, certes. Mais nécessaire pour se reconstruire.
    papalou
    papalou

    15 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2015
    Avant tout laissez vous entraîner dans l'atmosphère de ce récit de deuil et de découverte de l'autre....aussi plonger vous dans les photos d'Alexandra Boulât dont les photos du film sont prises ....
    Film très fort et dont le fantôme de la photographe hante chaque image...
    Les acteurs incarnent la famille qui doit continu a faire son chemin avec un être manquant définitivement....même si elle était souvent absente pour ces missions sur le terrains...
    C'est d'ailleurs tout le fond du récit. Comment avoir une place dans une famille au quotidien alors que sa passion pousse à être ailleurs...
    Sensible, doux et passionnant!
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    287 abonnés 3 114 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2017
    Film sensible et profond sur le thème du deuil !!! J'ai beaucoup aimé suivre les divers personnages et voir la façon très différente qu'ils ont de gérer la perte de cette femme !! Le personnage de l'ado torturé est celui que j'ai préféré voir évoluer et certaines scènes sont savoureuses et émouvantes !! Le scénario est subtil et intelligent et malgré quelques longueurs qui auraient pu être évitées j'ai passé un agréable moment !!
    Anton75
    Anton75

    25 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 janvier 2016
    Quelques vrais moments de grâce dans ce second film du réalisateur norvégien du très remarqué (et remarquable) "Oslo 31 août". Quelques antiennes plus attendues (le poète est forcément maudit, il faut souffrir pour écrire, le paria est au fond un gentil garçon, qui mérite d'être connu...). Mais la souffrance qui affleure rend les personnages touchants, et leurs fêlures émouvantes. Sans doute pas "un des plus grands films de l'année" (Télérama, évidemment repris sur l'affiche), mais un deuxième opus très réussi.
    Archibald T.
    Archibald T.

    19 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2015
    Un film attendu après le magnifique Oslo.

    Back Home dévoile l'impossibilité de communiquer entre les membres d'une famille dont la mère est décédée. Les images sont douces et apaisantes donnant un sentiment contemplatif.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2016
    Family life

    Les épaules de Joachim Trier devaient être bien alourdies de pression quand il a tourné son nouveau film, Back Home (anciennement baptisé Louder than Bombs, le film a perdu son titre, suite aux attentats parisiens de Novembre, à peine quelques semaines avant la sortie du film). Son précédent film, Oslo 31 Août a eu un succès considérable tant auprès du public que dans les colonnes des magazines spécialisés. Ce film mélancolique exprime avec beaucoup de poésie mais aussi de maîtrise le sentiment du protagoniste de ne pas être à sa place, nulle part ni à aucun moment. Sans atteindre le paroxysme vécu par Anders, le héros de Oslo, 31 Août, ce mal être a sans doute été ressenti par nombre de spectateurs très empathiques par rapport au personnage, et par rapport au film.

    Une grosse pression donc pour ce jeune cinéaste dont le présent long-métrage n’est que son troisième. Dès la première très belle image, une main d’adulte qui tient et joue avec celle d’un nouveau-né, le parti pris esthétique est annoncé, de magnifiques gros plans, des jeux subtils sur la profondeur de champ, beaucoup de scènes de rêves permettant les plans les plus imaginatifs tels cette image d’Isabelle (Isabelle Huppert) flottant dans un désert.
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