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    Le Clan des Siciliens
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    Philippe V50
    Philippe V50

    12 abonnés 122 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2020
    deuxième film du tandem Delon Gabin. Henri Verneuil a la réalisation. J.Giovanni au scénario. Morricone pour la musique. Qui dit mieux? Un classique du film de gangsters.
    Charlotte28
    Charlotte28

    130 abonnés 2 046 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Malgré un trio d'acteurs stimulant et une musique excellente, le film ne saurait convaincre totalement avec son scénario un peu faiblard à cause de ses nombreuses facilités. Un rendez-vous frustrant.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    111 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 août 2019
    Sorti en 1969, ce polar à la française moderne et ambitieux est porté par un trio d’acteurs mythique (Alain Delon, Jean Gabin, Lino Ventura), une musique culte signée Ennio Morricone et une mise en scène solide d’Henri Verneuil. Cette superproduction de grande qualité qui se concentre fortement sur l’activité des gangsters au dépend de l’enquête policière nous dresse non sans malice le portrait de flics constamment dépassés par les événements. Ici, du début à la fin, ce sont les truands qui imposent le tempo. Un excellent divertissement.
    Tietie007
    Tietie007

    3 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 août 2019
    Un trio culte du cinéma français avec une histoire de braquage inspirée. Musique superbe d'Ennio Morricone.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 mai 2019
    Un polar mené de main de maître. Une atmosphère tendue de bout en bout servie par la musique sublime d'Ennio Morricone et une distribution exceptionnelle où les trois géants que sont Delon, Gabin, Ventura sont au sommet de leur art.
    Rodrigue B
    Rodrigue B

    20 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2019
    Le classique français par excellence qui sublimera les codes du polar des années 60-70 ! Le succès fut tellement colossal que le film fut traduit en plusieurs langues et bénéficiera d'une carrière internationale populaire ! La réunion de trois grands noms : avoir Gabin, Delon et Ventura dans un même film avait déjà de quoi séduire ! Ajouter Verneuil à la réalisation, José Giovanni au scénario et Morricone à la musique, vous obtiendrez ce cocktail explosif !
    Le film est devenu culte et se regarde, malgré les années, avec autant de plaisir ! Delon avait déjà pu rencontrer (en ayant un peu forcé la chance) le « parrain » du cinéma quelques années plus tôt avec l'excellent « Mélodie en sous-sol », ici ils se connaissent, se respectent et sont repartis dans une nouvelle aventure sachant par avance que le succès les attendra à l'arrivée ! Ils crèveront littéralement l'écran ! Lino Ventura, bien que représentant l'autre camp... l'obstacle (la police) se montrera également en parfait répondant créant ainsi une harmonie entre eux trois. En effet, un profond respect pour ses proies anime également ce flic acharné, il désire mettre la main dessus et même obtenir le maximum en terme de condamnation : la guillotine ! Mais en cette chasse, il respecte ses adversaires !
    Un grand suspens accompagnera l'oeuvre, suspens orchestré par Morricone ! On se souviendra toujours de la poursuite Ventura-Delon quand ce dernier se paie une prostituée et se fait dénoncer par le gérant de l'hôtel ! Le thème musical est accéléré et complexifié pour donner un punch fou à la séquence !
    On se souviendra également de cette scène clé où Delon tue cette anguille la tapant contre un rocher, ce qui excitera la Sicilienne et nous amènera au dénouement que l'on connaît : le mythique duel « Gabin - Delon » !
    Ces scènes cultes, celles qu'on retient plus que les autres, sont celles sublimées par une musique inspirée d'un des plus grand compositeur !
    Un spectacle inépuisable qui ne nous ennuie jamais, qu'on peut voir et revoir sans aucun sentiment de lassitude !
    samuel h
    samuel h

    3 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 mars 2019
    Magnifique rencontre entre 3 monstres sacrés. Une incroyable direction d'acteurs de Henri Verneuil. La musique de Ennio Morricone est passée à la postérité. Mon dialogué préféré :
    (scène où Sartet et le clan Manalese étudient le plan pour cambrioler le musée)
    "- Nous on veut tuer personne.
    - C'est pas une chose que tu peux savoir à l'avance.
    - Eh ben nous on veut le savoir, et c'est pour ça qu'on en parle.
    - Dans le domaine du moindre risque, je ne vois que le bilboquet ou le cerceau."
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 202 abonnés 5 229 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mars 2019
    Formidable film où l’ambiance est au diapason avec l’action qui se constitue lentement avec discernement et patience.
    C’est un trio exceptionnel que nous avons là.
    Tout est réussi jusqu’à la fin tragique où l’honneur passe avant la réussite.
    Magistral
    rocky6
    rocky6

    31 abonnés 1 739 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Henri Verneuil nous offre un excellent film policier servi par un casting 5 étoiles. Gabin est formidable en chef de clan. Ventura est un policier comme on les aime et Delon est charismatique en tueur assez froid. Le scénario est riche et maintient un bon suspense. Une oeuvre qui ne vieilli pas. A voir et revoir sans modération.
    Tony L'Ambassadeur
    Tony L'Ambassadeur

    36 abonnés 566 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2018
    Les premières notes du générique retentissent et on identifie très clairement la pâte du célèbre compositeur Enio Morricone. L’histoire est lancée en grande pompe. Derrières leurs lunettes de soleil branchées, les trois monstres sacrés du cinéma s’échangent les répliques de l’un des grands classiques du cinéma français. Il est difficile de juger, presque 50 après, ce polar aux airs de western contemporain pour la simple et bonne raison que le monde dans lequel évolue l’histoire captivante n’est plus le même, ne serait-ce qu’au niveau des mesures de sécurité dans les aéroports qui se sont grandement intensifiées. Pour cela l’histoire perd un peu de sa crédibilité ou nous relance en mémoire « Ah oui c’était comme cela en 69! ». Il n’en reste pas moins une occasion, de belle qualité, de se délecter de regrettés Jean Gabin et Lino Ventura.
    Stephenballade
    Stephenballade

    405 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2018
    Ah mes amis, qu’est-ce que ça fait du bien de se replonger dans les vieux films ! D’une part parce que la nostalgie du temps passé ne tarde pas à se faire sentir au vu des véhicules d’antan et quand on découvre combien il était encore facile de se garer à Paris, d’autre part parce qu’en ce temps-là le cinéma français savait faire des films, et enfin parce que c’est la seule et unique fois où Jean Gabin, Alain Delon et Lino Ventura sont réunis dans le même film. Trois monstres sacrés du cinéma hexagonal pour les trois rôles les plus importants de ce film. Inutile de faire durer davantage le suspense, le titre nous dirige sans détour vers un polar comme Henri Verneuil savait les faire, classé aujourd’hui comme un classique incontournable. Les trois acteurs occupent sans surprise les rôles qui leur ont été attribués. Si je dis « sans surprise », c’est en raison de leur profil de comédien. Ainsi on retrouve Jean Gabin dont l’immense charisme est au service d’un patriarche, à la tête d’une famille qui ne vit que pour la famille et à travers la famille, dont les origines siciliennes servent le cliché de la mafia. Attention, ça ne veut pas dire pour autant que tous les siciliens sont des mafieux ou des membres de la pègre, loin de là et fort heureusement. Mais (hasard !), Gabin occupe ce rôle-là. A ses côtés, nous avons Alain Delon dont tous les traits de la jeunesse viennent servir son personnage, un criminel notoire qui (hasard !) est en tôle. Et enfin, la ténacité de Lino Ventura vient alimenter les talents nécessaires au poste de commissaire, dont les méthodes se révèleront peu conventionnelles. Mais bizarrement, les trois têtes d’affiche ne seront jamais réunies sur un même plan de caméra. Nous avons seulement deux confrontations directes, la première entre Delon et Ventura, et déjà on sent qu’il se passe quelque chose de spécial. Du côté de Sartet (Alain Delon), on sent le défi, l’arrogance. Du côté du commissaire Le Goff (Lino Ventura), on ressent tout le mépris qu’il a pour ce jeune criminel. On n’a même pas besoin de voir son visage ! Le voir simplement de dos suffit à faire ressortir toute son incroyable présence, attentif comme jamais et désireux de voir enfin le point final mettre un terme à une enquête qu’on devine difficile et mouvementée. Le casting, complété par Irina Demick (laquelle, en la personne de Jeanne, amène du charme et un peu de glamour dans ce monde on ne peut plus sérieux), André Pousse (Malik) et Amedeo Nicosia (Tony), est certes prestigieux, mais nous savons tous qu’un casting, aussi renommé soit-il, ne suffit pas à faire un bon film. Reposant sur le roman éponyme d’Auguste Le Breton, le scénario a été rédigé avec une rare maestria. Il mène de front plusieurs intrigues, lesquelles sont toutes habilement entremêlées : une implacable chasse à l’homme, et un affrontement entre un jeune loup et un vieux parrain qui n’a de cesse de monter en intensité par l’irrémédiable hostilité grandissante entre les deux hommes. Henri Verneuil, qui a participé à l’écriture du scénario, parachève le boulot avec une réalisation impeccable, superbe de tension et de suspense. Très tôt, il fait parler toute sa maîtrise en la matière avec la longue séquence de l’antique panier à salade (« antique » parce que j’écris cette note aujourd’hui, soit près de cinquante après la sortie du film). Non seulement il a su installer le suspense et la tension qui y est liée, mais en plus il sait les faire durer. On regrettera presque que les dialogues n’ont été créés par la plume inimitable de Michel Audiard. Qu’importe, "Le clan des siciliens" se veut sérieux, et assurément il l’est. Même s’il n’y a rien à redire dessus, les répliques sont bonnes et certaines fusent pour sortir du lot, la plus notable d’entre elles n’étant pas une réplique mais… une baffe monumentale ! ☺ Bref mieux vaut réfléchir à deux fois avant de s’adonner à « la photo d’art »… "Le clan des siciliens" aurait pu se contenter d’être purement et simplement un polar, comme Verneuil l’avait fait avec le mémorable "Mélodie en sous-sol". Provoquée par le twist final amené par le gamin, une petite touche de dramaturgie vient parachever l’intrigue. Cela permet de mettre le mot « Fin » sur la traque, sur l’hostilité que se témoignent Vittorio Malanese et Roger Sartet, et sur les jeux dangereux auxquels se livre Sartet. Rien n’a été laissé au hasard, et aucune question ne reste en suspens dans l’esprit du spectateur. Au contraire, celui-ci aura la sensation d’avoir vu un excellent film. Il faut dire que la Fox a donné les moyens à Verneuil, du fait qu’elle avait pour but de distribuer le film aux Etats-Unis. Le cinéaste a mis à profit le budget alloué en allant filmer les avions au plus près sur le tarmac. Il en résulte des séquences impressionnantes. Après, les effets visuels sont ce qu’ils sont aujourd’hui, mais pour l’époque, ils étaient au top ! Cependant, il y a des inexactitudes concernant la compagnie aérienne : non seulement elle n’utilisait pas de DC-8 mais principalement des DC-4, mais en plus, n’étant pas autorisée à opérer hors des Etats-Unis, elle a cessé son activité en 1950 en se faisant acheter par la Pan American ! Quelques autres inexactitudes parsèment le film, comme le développement du négatif sous lumière rouge alors qu’il doit se faire dans le noir complet, ou comme la scène un peu forte de café lors du découpage de la tôle d’acier dont le bruit est supposé être en réalité strident, sans même parler du dégagement d’odeur d’acier surchauffé. Pas de quoi enlever toute la qualité du film qui vous fera passer efficacement deux heures de votre temps, même si ces petits bémols m’empêchent de donner la note maximale. Il n’empêche qu’on termine ce film sur une bonne note, assez paradoxale si on y réfléchit bien : Malanese a beau n’être rien d’autre qu’un malfrat spoiler: (quoiqu’avec un côté noble par rapport au point d’honneur qu’il met à ne tuer personne)
    , on éprouve de la peine pour lui. Plusieurs raisons probables expliquent certainement ce sentiment : son âge, cette force tranquille qui le caractérise, et puis… on l'aime, notre Gabin national !
    BFM9
    BFM9

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 décembre 2017
    Porté par 3 des plus grands acteurs français du XXe siècle se défiant avec une intensité géniale, ce film captive le spectateur du début à la fin notamment grâce au thème devenu célèbre d'Ennio Morriconne. Malgré quelques faiblesse de scénario à certains instants (comme la scène du détournement peu intrigante, à l'intensité raté) et sans être flamboyant, le Clan des Siciliens reste très agréable à regarder et se classe parmi les classiques du cinéma français.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 634 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2017
    Le titre donne bien la tonalité du film : « Le parrain » à la française sorti trois ans avant le chef d’œuvre de Coppola. Verneuil parvient à réunir trois grosses pointures françaises de l’époque : Gabin / Ventura / Delon et c’est un des premiers intérêts du film. Après Verneuil n’est pas reconnu pour être un réalisateur hors pair ; la réalisation académique, linéaire et convenu sonne « cinéma de papa », mais est très adapté au film commercial et populaire qu’il ne se cache pas de faire. L’efficacité du film, Verneuil la trouve essentiellement dans le rythme qu’il parvient à insuffler durant les 1h55 du film… exceptée la séquence un peu longuette de l’avion. Verneuil ici avec sa kyrielle de détails et son montage simpliste apparait comme un anti Melville plus complexe dans ses choix artistiques. Au-delà du casting du film et quelques belles séquences du jeu du chat et de la souris entre Delon et Ventura (la belle scène où Delon passe à côté de Ventura allongé à l’arrière de la voiture dans les ateliers de Manalese), il faut voir aussi ce film pour les beaux dialogues enlevés de José Giovanni et le lancinant thème musical d’Ennio Moriconne. Et pour terminer, j’ai un regret quant au dénouement de l’intrigue me laissant perplexe. Comment le vieux Manalese ayant échappé depuis des décennies à la police en faisant preuve de retenue et d’intelligence peut tout mettre en l’air à cause d’une histoire de fesses de sa belle-fille. Peut-être les mœurs siciliennes m’échappent.
    Divertissement de très bonne facture
    Mon blog: tout-un-cinema.blogspot.fr
    Donatien92600
    Donatien92600

    5 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juillet 2017
    L'association de ces trois monstres sacrés du cinéma français pouvait difficilement donner un mauvais film alors quand le scénario suit... Chacun est excellent dans un rôle qui lui convient parfaitement : Delon en "chien fou", Gabin en "parrain" et Ventura en flic bourru.
    landofshit0
    landofshit0

    279 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2017
    Dans ce film c'est trois des comédiens les plus connut du grand public qui tiennent l'affiche. L'histoire est simple c'est celle d'un braquage. Le polar tient la route,malgré une direction d'acteur quelque peu poussive,ben oui on est pas toujours dans la subtilité de ce coté là. Ça faisait un bon bout de temps que je n'avais pas vu ce film et là ça m'a immédiatement sauté aux yeux,Verneuille aurait gagné en crédibilité en étant plus sobre dans sa direction d'acteurs,car là on est parfois dans la court d'école,avec des enfants qui jouent aux gendarmes et aux voleurs et qui en font des caisses quand ils meurent,là c'est pareil. Pas simple de croire aussi à Jean Gabin en patriarche sicilien,car même s'il parle italien il garde toujours son accent français,et puis il à une tête qui respire bien plus la France que l’Italie,il sent plus le saucisson pinard que les spaghettis,contrairement à Ventura.

    La musique de Morricone est géniale elle figure dans les meilleurs du compositeur. Par son utilisation un peu partout elle est même certainement plus connue que le film lui même. Et elle mérite amplement d’être découverte,car les morceaux sont riches musicalement.
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