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    Le Clan des Siciliens
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    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 182 abonnés 4 175 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 avril 2024
    “Le clan des Siciliens” sorti sur les écrans le 5 décembre 1969 est typiquement l’une des grosses productions françaises de la période allant des années 1960 à 1980. Avec à sa tête un metteur en scène chevronné en la personne d’Henri Verneuil habitué au genre policier, ayant déjà dirigé Jean Gabin, Lino Ventura et Alain Delon qui eux-mêmes se connaissent, les deux plus jeunes vouant une admiration sans borne au patriarche du cinéma français qu’était Jean Gabin Alexis Moncorgé alors âgé de 65 ans. C’est le jeune producteur Jacques-Eric Strauss qui a eu la bonne idée d’acheter les droits du roman éponyme d’Auguste Le Breton paru en 1967.
    N’arrivant pas à convaincre Alain Poiré et la Gaumont de financer le projet, il le propose à Darryl Zanuck le patron de la 20th Century Fox via sa filiale Fox Europa. Le "mogul" donne son accord et permet ainsi à Strauss d’avoir Alain Delon inscrit à son casting, celui-ci étant à l’époque sous contrat avec Zanuck suite à son court séjour à Hollywood. Henri Verneuil choisi pour diriger ce trio de poids, travaille avec José Giovanni sur le scénario afin d’étoffer le rôle du commissaire dévolu à Ventura. On l’aura compris, “Le clan des Siciliens” est d’emblée un film de professionnels qui s’apprécient, reposant sur un sujet à fort potentiel commercial.
    Alain Delon qui joue Roger Sartet, un gangster incarcéré suite à un braquage de bijouterie s’étant soldé par la mort de deux policiers, organise son évasion en faisant appel au clan Malenese dirigé d’une main de fer par Vittorio Malenese (Jean Gabin), un parrain sans concession sur les traditions et les principes. L’idée de monter le cambriolage spoiler: d’une célèbre collection de bijoux exposée à la Galerie Borghèse à Rome avant de faire le tour du monde des capitales va faire entrer un corps étranger incontrôlable
    au sein du clan où se trouve la très sensuelle Jeanne (interprétée par Irina Demick, imposé à Verneuil par Zanuck dont elle est alors la maîtresse), femme de l’un des fils du patriarche.
    Le ver est dans le fruit qui va sans coup férir mener à la désintégration fatale après un coup magistralement mené. Le choc des cultures et des générations est assez habilement utilisé tout au long du film pour montrer que le monde des truands d’avant et après guerre bascule doucement vers une zone trouble où les règles seront bien difficiles à établir et encore plus à faire respecter. Gabin, Delon et Ventura, chacun dans son registre favori, sont impeccables avec en sus un Jean Gabin qui sur le tard nous montre qu’il peut aussi “jacter le rital” comme il l’aurait si bien dit lui-même. La mécanique narrative parfaitement huilée réserve son lot de moments forts spoiler: comme l’évasion rocambolesque de Sartet, l’atterrissage d’un Boeing sur une autoroute en construction ou encore l’exécution sommaire de Sartet dans une décharge.

    De le belle ouvrage réalisée par un Henri Verneuil fervent admirateur de l’efficacité hollywoodienne avec un Alain Delon sans doute ici au summum de sa beauté. Le tout magnifiquement mis en musique par le grand Ennio Morricone qui a su trouver le motif mélodique parfaitement adapté à cette tragédie grecque quasiment programmée. Inutile de préciser que le succès a été au rendez-vous. L’un des plus importants de la carrière de Jean Gabin et de celles de ses deux complices.
    this is my movies
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    702 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juin 2017
    Le film passe l'épreuve du temps essentiellement parce qu'il propose une affiche de toute beauté, avec trois des plus grands acteurs français de l'époque. La réalisation d'H. Verneuil est comme d'habitude un peu scolaire tandis que le scénario de J. Giovani ne fait pas vraiment la part belle aux bons mots. Reste que l'intrigue porposée est assez prenante, avec une bonne description du milieu et un vrai amour pour la représentation de gangsters débrouillards pour échapper aux autorités. Du coup, le personnage de Ventura apparaît comme effacé, absent des débats presque tandis que nos trois monstres sacrés ne seront jamais réunis à l'écran. Reste que le coeur du film, l'audacieux braquage dans l'avion, reste un fameux moment, surtout qu'autour, Verneuil et Giovani organisent une vraie montée en tension. C'est donc du solide travail d'artisan, appliqué et populaire, bien mené et qui propose une spoiler: résolution radicale
    . Du bon spectacle à l'ancienne, un peu décevant pour ma part. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
    dougray
    dougray

    238 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 janvier 2012
    Un classique du film de gangsters français au casting éblouissant (Jean Gabin parfait dans son rôle de parrain, Alain Delon dans son rôle de gangster qu’il affectionne tant et Lino Ventura en flic tenace), à la musique légendaire mais à la mise en scène peut être un peu plan-plan (et qui en tout cas a vieilli). Reste un incontournable au final prenant.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 220 abonnés 7 513 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2009
    Henri Verneuil (Peur sur la ville - 1975) réalise ici un polar de très bonne facture, devenu au fil du temps, un classique, grâce à sa brochette d’acteurs (Jean Gabin, Lino Ventura, Alain Delon), « trois monstres sacrés du cinéma Français », évoluant au sein d’un film de gangsters passionnant et qui commence sur les chapeaux de roue avec la brillante évasion orchestrée par le chef du clan des Siciliens. S’ensuit ensuite un audacieux hold-up avec le détournement d’un DC-8 !
    Si le film captive plus qu’il n’en faut, on n’oubliera pas de saluer la très belle B.O signée Ennio Morricone.
    Stephenballade
    Stephenballade

    396 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 avril 2018
    Ah mes amis, qu’est-ce que ça fait du bien de se replonger dans les vieux films ! D’une part parce que la nostalgie du temps passé ne tarde pas à se faire sentir au vu des véhicules d’antan et quand on découvre combien il était encore facile de se garer à Paris, d’autre part parce qu’en ce temps-là le cinéma français savait faire des films, et enfin parce que c’est la seule et unique fois où Jean Gabin, Alain Delon et Lino Ventura sont réunis dans le même film. Trois monstres sacrés du cinéma hexagonal pour les trois rôles les plus importants de ce film. Inutile de faire durer davantage le suspense, le titre nous dirige sans détour vers un polar comme Henri Verneuil savait les faire, classé aujourd’hui comme un classique incontournable. Les trois acteurs occupent sans surprise les rôles qui leur ont été attribués. Si je dis « sans surprise », c’est en raison de leur profil de comédien. Ainsi on retrouve Jean Gabin dont l’immense charisme est au service d’un patriarche, à la tête d’une famille qui ne vit que pour la famille et à travers la famille, dont les origines siciliennes servent le cliché de la mafia. Attention, ça ne veut pas dire pour autant que tous les siciliens sont des mafieux ou des membres de la pègre, loin de là et fort heureusement. Mais (hasard !), Gabin occupe ce rôle-là. A ses côtés, nous avons Alain Delon dont tous les traits de la jeunesse viennent servir son personnage, un criminel notoire qui (hasard !) est en tôle. Et enfin, la ténacité de Lino Ventura vient alimenter les talents nécessaires au poste de commissaire, dont les méthodes se révèleront peu conventionnelles. Mais bizarrement, les trois têtes d’affiche ne seront jamais réunies sur un même plan de caméra. Nous avons seulement deux confrontations directes, la première entre Delon et Ventura, et déjà on sent qu’il se passe quelque chose de spécial. Du côté de Sartet (Alain Delon), on sent le défi, l’arrogance. Du côté du commissaire Le Goff (Lino Ventura), on ressent tout le mépris qu’il a pour ce jeune criminel. On n’a même pas besoin de voir son visage ! Le voir simplement de dos suffit à faire ressortir toute son incroyable présence, attentif comme jamais et désireux de voir enfin le point final mettre un terme à une enquête qu’on devine difficile et mouvementée. Le casting, complété par Irina Demick (laquelle, en la personne de Jeanne, amène du charme et un peu de glamour dans ce monde on ne peut plus sérieux), André Pousse (Malik) et Amedeo Nicosia (Tony), est certes prestigieux, mais nous savons tous qu’un casting, aussi renommé soit-il, ne suffit pas à faire un bon film. Reposant sur le roman éponyme d’Auguste Le Breton, le scénario a été rédigé avec une rare maestria. Il mène de front plusieurs intrigues, lesquelles sont toutes habilement entremêlées : une implacable chasse à l’homme, et un affrontement entre un jeune loup et un vieux parrain qui n’a de cesse de monter en intensité par l’irrémédiable hostilité grandissante entre les deux hommes. Henri Verneuil, qui a participé à l’écriture du scénario, parachève le boulot avec une réalisation impeccable, superbe de tension et de suspense. Très tôt, il fait parler toute sa maîtrise en la matière avec la longue séquence de l’antique panier à salade (« antique » parce que j’écris cette note aujourd’hui, soit près de cinquante après la sortie du film). Non seulement il a su installer le suspense et la tension qui y est liée, mais en plus il sait les faire durer. On regrettera presque que les dialogues n’ont été créés par la plume inimitable de Michel Audiard. Qu’importe, "Le clan des siciliens" se veut sérieux, et assurément il l’est. Même s’il n’y a rien à redire dessus, les répliques sont bonnes et certaines fusent pour sortir du lot, la plus notable d’entre elles n’étant pas une réplique mais… une baffe monumentale ! ☺ Bref mieux vaut réfléchir à deux fois avant de s’adonner à « la photo d’art »… "Le clan des siciliens" aurait pu se contenter d’être purement et simplement un polar, comme Verneuil l’avait fait avec le mémorable "Mélodie en sous-sol". Provoquée par le twist final amené par le gamin, une petite touche de dramaturgie vient parachever l’intrigue. Cela permet de mettre le mot « Fin » sur la traque, sur l’hostilité que se témoignent Vittorio Malanese et Roger Sartet, et sur les jeux dangereux auxquels se livre Sartet. Rien n’a été laissé au hasard, et aucune question ne reste en suspens dans l’esprit du spectateur. Au contraire, celui-ci aura la sensation d’avoir vu un excellent film. Il faut dire que la Fox a donné les moyens à Verneuil, du fait qu’elle avait pour but de distribuer le film aux Etats-Unis. Le cinéaste a mis à profit le budget alloué en allant filmer les avions au plus près sur le tarmac. Il en résulte des séquences impressionnantes. Après, les effets visuels sont ce qu’ils sont aujourd’hui, mais pour l’époque, ils étaient au top ! Cependant, il y a des inexactitudes concernant la compagnie aérienne : non seulement elle n’utilisait pas de DC-8 mais principalement des DC-4, mais en plus, n’étant pas autorisée à opérer hors des Etats-Unis, elle a cessé son activité en 1950 en se faisant acheter par la Pan American ! Quelques autres inexactitudes parsèment le film, comme le développement du négatif sous lumière rouge alors qu’il doit se faire dans le noir complet, ou comme la scène un peu forte de café lors du découpage de la tôle d’acier dont le bruit est supposé être en réalité strident, sans même parler du dégagement d’odeur d’acier surchauffé. Pas de quoi enlever toute la qualité du film qui vous fera passer efficacement deux heures de votre temps, même si ces petits bémols m’empêchent de donner la note maximale. Il n’empêche qu’on termine ce film sur une bonne note, assez paradoxale si on y réfléchit bien : Malanese a beau n’être rien d’autre qu’un malfrat spoiler: (quoiqu’avec un côté noble par rapport au point d’honneur qu’il met à ne tuer personne)
    , on éprouve de la peine pour lui. Plusieurs raisons probables expliquent certainement ce sentiment : son âge, cette force tranquille qui le caractérise, et puis… on l'aime, notre Gabin national !
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    358 abonnés 1 793 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2020
    J’ai trouvé ce film policier très bon. On voit clairement la différence avec les productions d’aujourd’hui. Il y a une ambiance bien particulière. Plus de 50 ans après, cela ce regard avec nostalgie. J’aime cette atmosphère de ces années-là. On remarque aussi que le rythme n’est pas pareil. Ici, beaucoup va être misés sur le casting et le charisme des protagonistes. Pour la première, et unique fois, seront réuni trois mastodontes du cinéma français en la personne de Jean Gabin, Lino Ventura et Alain Delon. Les voir évoluer ensemble est mémorable. Alain Delon était le plus jeune, et le seul toujours en vie parmi les trois. Malgré tout, il ne se laisse pas faire et s’impose sans problème. En plus de leur « grande gueule », ils ont les dialogues qui vont avec. J’adore les échanges entre eux. Il y a un art de l’élocution. Entre leur présence devant la caméra, et leur échange, cela m’a suffi à passer un très bon moment. Il y a aussi un travail sur l’intrigue. Le scénario est fluide, et surtout prenant. Malgré tout, il y a des passages un peu plus lents, où on aimerait mettre un coup d’accélération. Pour augmenter le charme, il y a une bande originale signée Ennio Morricone. Ce prodige de la musique, qui nous a quittés le 6 juillet 2020 à l’âge de 90 ans, vient bercer nos oreilles d’une mélodie remarquable.
    pietro bucca
    pietro bucca

    67 abonnés 1 229 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 décembre 2012
    Un trés bon film francais a l'ancienne,bien de chez nous....Le seul gros point negatif qu'on peut vraiment lui trouver c'est sa surdiffusion.
    Incertitudes
    Incertitudes

    205 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 décembre 2008
    Le Clan des Siciliens est adapté du roman d'Auguste Le Breton. José Giovanni aux dialogues, Verneuil au scénario et à la réalisation. Et surtout, le trio de choc du cinéma français de l'époque : Gabin, Ventura et Delon. L'affiche, qui les voit pointer chacun un pistolet face aux spectateurs, est mythique. Rien que pour ces trois monstres sacrés qui aujourd'hui nous manquent terriblement, le film se doit d'être vu. Gabin est le chef de la famille Manalese, Delon est le truand Roger Sartet, un jeune chien fou qui va proposer au patriarche sitôt son évasion orchestrée un casse audacieux. Voler une collection de bijoux. Scène qui est d'anthologie puisque l'avion détourné par les bandits s'est véritablement posé sur une autoroute en construction. Lino Ventura, qui peut paraître un petit peu en retrait, est le flic obstiné Le Goff. En effet, il n'aura de cesse de traquer Sartet, celui-ci s'arrangeant à chaque fois pour lui filer entre les doigts notamment lors de la séquence de l'hôtel. Chaque personnage a son thème musical et à cette occasion, il est impossible de ne pas parler de la bande-son extraordinaire composée par le grand Ennio Morricone. Certains la trouve trop répétitive. Moi, je pense qu'à chaque fois, elle fout le frisson. Sorti en 1969, le film attira plus de 4,8 millions de spectateurs et inspira tout une série de réalisateurs asiatiques comme Johnnie To ou John Woo. Même si parfois Gabin fait sourire en mafieux, l'atmosphère inimitable et un trio d'acteurs inoubliables font de ce film un polar de choix.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un polar de bonne facture qui doit son énorme succès populaire à son casting en or. Pour le reste, ce n’est pas très original mais assez plaisant à regarder.
    Max Rss
    Max Rss

    198 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 janvier 2014
    « Le Clan des Siciliens », c’est avant tout un casting prestigieux. C’est la rencontre entre trois acteurs, trois pointures, trois monstres sacrés du cinéma français: Jean Gabin, Lino Ventura et Alain Delon. « Le Clan des Siciliens », c’est aussi un classique incontournable de notre cinéma, une référence du polar un film qui ne vieilli pas d’un poil malgré 44 ans au compteur. Et pour terminer, « Le Clan des Siciliens », c’est un film culte. Encore un film qui montre que le cinoche français de l’époque avait une sacrée gueule. Six ans après avoir réalisé une « Mélodie en sous-sol » des plus abouties, Henri Verneuil reprend une trame similaire, puisque dans ce « Clan des Siciliens » il s’agit également d’un casse, mais cette fois ci pas de biftons de banque, mais de bijoux (qui au passage valent un gros paquet de pèze). Le début est très prenant, ensuite, l’histoire patine un peu mais continue de garder un déroulement cohérent. Tout s’accélère de nouveau à partir de l’embarquement dans l’avion. On parle d’avion? On parle donc de la scène spoiler: du détournement
    qui même si elle n’est pas un modèle de crédibilité reste un exemple en matière d’efficacité. On croirait voir une séquence Melvillienne. Côté casting, il y a pas photo, celui qui fait la meilleure impression c’est Lino Ventura. Jean Gabin, pour le coup (et c’est surprenant) livre une prestation assez fade. Au même titre qu’Alain Delon qui est tout de même un sacré cran en dessous des deux premiers nommés. Même si ce film ne tient pas toutes ses promesses, il remplit tout de même assez bien son contrat. C’est suffisant.
    cylon86
    cylon86

    2 515 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 mai 2009
    La rencontre entre trois monstres sacrés du cinéma français justifie à elle seule la vision du film. Mais comme d'excellents acteurs ne suffisent pas pour faire un bon film, Henri Verneuil se dote d'un scénario bien ficelé même si sa construction est assez classique. La mise en scène est sobre et la musique d'Ennio Morricone est vraiment superbe.
    ElAurens
    ElAurens

    79 abonnés 585 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2010
    Un très bon film policier français, emmené par un trio d’exception et la musique de Morricone.
    boies
    boies

    10 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 août 2013
    C'est pour moi un grand classic du cinema francais,les acteures gabin,delon,ventura marche tres tres bien.
    Santu2b
    Santu2b

    250 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 décembre 2013
    Un ratage absolu et absolument incroyable à mes yeux tant j'apprécie et admire d'ordinaire le génie populaire d'un Henri Verneuil. Ici l'équation initiale des "Clans des Siciliens" avait de quoi drainer un petit chef-d'oeuvre à l'arrivée. Tout d'abord trois pointures absolus de l'époque pour la première fois réunies à l'écran : Jean Gabin, Lino Ventura et Alain Delon. Une musique intéressante (même si ce n'est pas sa partition la plus mémorable) du maître Morricone. Et le tout donc couronné par un cinéaste ayant déjà fait maintes fois ses preuves dans le domaine. Or, cet étalage de belles promesse ne trouvera au final qu'un vulgaire pétard mouillée. Hormis la fort prometteuse scène d'ouverture, le reste se complait en parlottes interminables, si bien que l'on s'ennuie très vite à mesure de ce (très) long essai. Les trois acteurs vedette sont de surcroit incroyablement froids et fades, très loin de l'exercice de charisme attendu. Préferez donc revoir les classiques "Mélodie en sous-sol" ou encore "Peur sur la ville" plutôt que ce film qui n'a donc malheureusement pas le même prestige que son casting.
    Glumdops
    Glumdops

    12 abonnés 195 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 septembre 2012
    C'est LE classique parmi les classiques, LE film culte parmi les films culte. Que dire? Ce film se revoit toujours avec plaisir, même si bien sur, il a vieilli. Le charme désuet des polars français comme on n'en fera plus jamais. Les monstres sacrés devant la caméra, Henri Verneuil derrière!!! Fabuleux...
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