Avis : Bloodshot - Page 2

Enfin un film qui vaut le coup d'aller voir , les scènes d'actions sont pour une fois super bien faites et en harmonie avec la thématique du film. Content de voir enfin vin diesel dans un autre type de rôle que fast and furious , on limite enfin les dialogues long et chiant remplacées par des scènes d'action a sensation ! Très bonne logique sur les nanites qui pour une fois dans un film parait vraiment posible dans la realité !Personnages simple mais efficaces , architecture du film excellente , on s'imagine pouvoir refaire la même chose avec des moteur du type cry engine pour les passionne de jeux vidéo .
Pour une fois les jeux d'acteurs ne sont pas lourdes au point d'aller chercher une glace pendant les dialogues et on reste constamment scotche dans le film ! on en prend plus plein les yeux que plein les oreilles et ca fait plaisir !!
Les cascades ne sont pas surjoué même la moto ... enfin réaliste!! pas du type fast and furious ou la moto se décompose et se reconstruit ...ridicule ... je conseille vivement de regarder !!
Marre de voir vin diesel en mode racaille merguez , on exploite vraiment un autre personnalité qui reste simple et efficaces juste la carrure suffit ce qu'il représente bien ! même sont petit sourire narquois change du rebelle que l'on peut voir de lui !
Dans la réalité si on subissait la même chose avec un proche on ne passerait pas 10 ans a expliquer le pk du comment et on agirait directement ce qui et bien représenté dans le film !
Pour une première pour le réalisateur ... CHAPEAU !!

La présence de Vin Diesel et son jeu d'acteur ridicule font chuter drastiquement la qualité des films dans lequel il joue.
Bloodshot a un scénario intéressant et aurait pu être un bon film mais les dialogues sont grotesques et les acteurs secondaires sont pitoyables sauf Guy Pearce en mode automatique.

Aux vues de l'actualité qui règne dans le monde, la production a quand même tenté de sortir son film aux USA, cela lui a valu un véritable échec commercial. Sony a donc décider de le sortir directement en VOD aux États-Unis ainsi qu'en Europe. Les français n'ont donc pas à attendre sa sortie et peuvent directement le visionner à la maison, pour le bonheur des uns et le malheur de beaucoup d’autres...
Il faut savoir que Bloodshot est une adaptation de l’œuvre de Valiant Comics, son développement est en cours depuis de nombreuses années, le casting et le scénario ont été modifiés plusieurs fois.
Beaucoup d'acteurs avaient d’ailleurs été envisagés, parmis lesquels Oscar Isaac, Mark Wahlberg, Nicholas Hoult et même Jared Leto dans le rôle du grand méchant. Au final Sony choisira Vin Diesel et offrira (pas forcément un cadeau) son premier film au réalisateur Dave Wilson.
Du coté de l'histoire, le film commence avec Ray Garrisson (Vin Diesel) entrain de secourir des otages au Kenya, le réalisateur a d’ailleurs bien fait de le préciser en bas de l'écran car cela ressemble plus aux favelas de Rio et non au pays d'Afrique. Après cette mission rondement mené à tour de bras, on retrouve notre héros en compagnie de son épouse pour des vacances bien mérités. Et là... On ne sait pas trop pourquoi, arrive une bande de terroriste (on suppose), qui viennent enlever Ray et sa femme, lui posent des questions sans importance et commettent l’irréparable en tuant sa femme et en lui logeant une balle dans la tête. Ray va par la suite se réveiller bel et bien vivant et découvrir qu'il a été ramener à la vie par RST Corporations, son corps ayant été modifié avec de la nanotechnologie.
S'en suivra une présentation ridicule de nouveaux « cyborgs » ou plutôt des personnes modifiées technologiquement comme Ray. Aucun de ses nouveaux personnages n'a de charisme, tous les acteurs surjouent et cela en devient caricatural. Le personnage de Vin Diesel lui se sent obligé de faire un passage à la salle de musculation pour étrenner son nouveau marcel et montrer ses muscles. A croire que le réalisateur ne connaît pas les qualités d'acteur de Vin Diesel (excellent dans Pitch black et Strays par exemple), il a préféré se référer à la saga Fast and Furious ou encore XXX et miser sur le côté bodybuilder de l'acteur. C'est fort dommage.
La suite de l'histoire est un enchaînement de scène de combats et de fusillades sans queue ni tête, le film se perd en voulant prendre exemple sur Robocop, Universal soldier, Jason Bourne et j'en passe. Cela est totalement raté et nous plutôt l'impression de regarder une série Z.
C'est asser paradoxal mais malgré l’enchaînement des scènes qui rythment le film, on s'ennuie terriblement. L'action ne nous fait pas oublier la tristesse du scénario, Vin Diesel qui essaye de faire une blague ou deux, avec son côté anti-héros pas content. Finalement après 1h50 de calvaire nous sommes sauvés, le générique de fin est arrivé !
En laissant sur la touche le scénario et en misant tout sur les effets spéciaux, les cascades, l'action et surtout le marcel et les gros bras de Vin Diesel, Sony est vraiment passer à côté de son adaptation.
Quand on sait qu'en cas de succès, la production voulait en faire une franchise de 5 films, on espère vraiment que cela va les calmer un peu et qu’ils vont s’arrêter là.

Très bon divertissement, rythmé, à rebondissement, avec de superbes acteurs, bien que pas très connus pour la plupart je pense, si ce n'est Vin Diesel.
Mention spéciale à Eiza Gonzalez, véritable atout charme du film. 3.5/5

Nul, ridicule, pitoyable, Vin Diesel n'a aucun charisme pour ce genre de film, le scénario et la réalisation sont affligeants.

Une compilation pas du tout douteuse, pour un résultat fort d'expériences visuelles retranscritent avec sérénité. Un premier film percutant et visuellement à la pointe, avec la philosophie graphique d'un Jeeg Robot, l'abattage d'un Lucy et les qualités visuelles d'un Ghost In The Shell. Percutant, malgré le peu de surprise suscité par l'histoire. Les alliances sont intéressantes et Guy Pearce toujours persuasif.

Bloodshot est un bon film d'action sur un super héros venant de DC comics que je ne connaissais pas du tout. Les scènes d'action sont bien fichues,le scénario est assez basique mais bien convenu et le casting bien choisi. On comprend très bien pourquoi ce film vient des producteurs de "Fast & Furious" c'est dans la même lignée,sans les voitures de sport mais plus de la i-technologie. Le film passe bien,j'ai pas eu le temps de m'ennuyer. Ce film fait son taf,nous divertir et nous donner beaucoup d'action. Un deuxième volet? Pourquoi pas...

Ps: Je suis tombé sous le charme de l'actrice Eiza Gonzalez (KT) elle est sublime.

Alors je ne dirai pas que c'est le film de l'année, mais j'ai passé un bon moment en regardant ce film. Etant fan de SF et de Vin Diesel, je ne dis pas qu'il a fait que des bons films mais celui-ci mérite une suite, ça nous changerait un peu de sa franchise de "Fast and Furious". Le film est bien ficelé avec parfois des touches d'humour laissant présager une suite qui j'espère sera tourner.

Sans surprise un film de super-héro dans la lignée des blockbuster du genre. Conseillé pour les enfants de 8 ans et plus, les gens qui veulent tuer le temps, les amoureux de Vin Diesel et ceux qui veulent une migraine.

Petit budget petit film les quelques scènes d'action ne sauvent pas le film Vin Diesel apparaît fatigué et pas crédible car pas en forme physiquement le film est sorti en Vod et je pense que c'est mérité en résumé un film ennuyeux

Un chef d'oeuvre digne de Diesel enfermé dans la caricature de ce genre de personnage. Rien à retenir de ce genre de divertissement sans intérêt avec un scénario déjà vu et stupide, un jeu d'acteur d'une grande profondeur et de beaux dialogues.A fuir.

Bien loin de l'époque Pitch Black où Vin Diesel était encore crédible dans son rôle de bad boy attachant, on le retrouve encore une fois dans le rôle du super-héros en soit de vengeance. Cependant cette fois on se laisse prendre au jeu car le film s'y prête bien et nous lance dans une atmosphère particulière et intelligemment créée. Des abus il y en a mais tout autant que dans les derniers Fast And Furious qui ne sont pourtant pas des films de science-fiction.

Le film est vraiment super, j’ai passé un excellent moment. Vin diesel incarne parfaitement le rôle comme d’habitude il ne déçoit jamais. Je vous le conseille vivement !

Ce film qui était initialement prévu pour une sortie en salles en France a dû, vue la situation sanitaire, se résoudre à une sortie en vod. C’est dommage car, sur un scénario assez simple – « Total Recall » est déjà passé par là -, la réalisation et les effets spéciaux sont en tous points réussis et Vin Diesel ne vieillit pas ! Ce pop-corn movie est une bonne récréation en ces temps de confinement...

Dans sa première partie, Bloodshot prolonge la réflexion entamée par le RoboCop de Paul Verhoeven notamment, soit l’écartèlement de l’homme-machine entre d’une part la technologie qui le maintient en vie et augmente ses performances motrices et physiques, d’autre part ce fond irrépressible d’humanité qui le raccorde à ce qu’il était auparavant, un être humain doté de sentiments et engagé dans une histoire. La bonne idée du scénario est de recourir au souvenir comme à une matière première, un domaine à exploiter afin de garantir l’engagement total du soldat dans les missions qu’il effectue : les hommes à abattre sont ainsi des variations autour d’un psychopathe, variations engendrées informatiquement et susceptibles de varier autant de fois qu’il le faudra. La blessure intérieure, qui ne peut être pansée pour de bon, est utilisée à des fins lucratives, elle relève d’une entreprise plus large de perfectionnement technologique où l’on perd un bras pour « en recevoir un meilleur ». Ce que met en scène le film, derrière ses bastons, c’est cette course à la performance qui obsède aujourd’hui nos sociétés contemporaines. Aussi, les premiers exploits du soldat transformé s’apparentent à une attaque bestiale, assez proche des films d’horreur : le tunnel est recouvert de farine aux allures de neige et de brouillard, les faisceaux de lumière rouge contrastent avec le bleu de l’éclairage de secours ; nous sommes dans The Thing, et le monstre est là, il tue sans état d’âme. Dans sa première partie donc, Bloodshot compose un personnage victime de la guerre puis devenu tueur à gages livré à domicile, antihéros brutal et mécanique aux antipodes de ce que laissait présager le long métrage. Mais ne parlons pas trop vite. Car la suite évacue son propos pour restaurer cette tendance qui gangrène aujourd’hui le cinéma d’action, la marvelisation de son antihéros qui, après s’être révolté, lutte contre les méchants et redevient un héros gentil. Le support d’origine est un comic book, certes. Mais fallait-il à ce point reproduire les codes de l’écurie Disney, au point de former une ligue de combattants avec le geek blagueur, la belle nana et le gros bras ? Le système technologique grâce auquel le personnage principal est revenu à la vie apparaissait d’abord comme une maladie qui rongeait son âme en le poussant à commettre des crimes malgré lui ; il devient une attraction à la Terminator, où seule comptent l’icône, la belle image. En outre, le traitement réservé à la compagne du héros (l’une des deux seules femmes du long métrage) la place dans une situation détestable, fait d’elle un objet de marchandage puis de désillusion amoureuse : elle ne dispose d’aucune profondeur, d’aucun rôle sinon celui de la femme versatile qui change de compagnon comme de pyjama, et qui n’exprime visiblement aucun remords. Bloodshot a donc une bonne idée de départ qu’il troque contre de l’action régressive et charcutée par le montage, contre le recyclage frénétique des tics de mise en scène chers à ce type de productions – ralentis, séquences cartes postales, fétichisation du héros de guerre –, contre un éloge paradoxal de la force technologique à force de se complaire dans des combats frénétiques qui n’ont pour autre fonction que de divertir, de faire spectacle.