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NoPopCorn
30 abonnés
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3,5
Publiée le 4 février 2014
Le pouvoir de l'imagination prend ici tout son sens ! Avec la Seconde Guerre Mondiale, on a pu découvrir comme les idées peuvent avoir du pouvoir sur les individus, les événements, et surtout comme l'intention de ses idées (positives ou négatives) peuvent êtres impactantes ! Mais au travers de ce récit attendrissant, c'est surtout l'idée que, quelques soient les événements, dans la vie, il ne faut jamais laisser tomber et toujours aller de l'avant. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
Liesel est une petite fille analphabète, recueillie par un couple d’Allemands sans enfants pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle se rapproche vite de son père adoptif qui lui apprend à lire et se lie d’amitié avec son voisin Rudy ainsi que Max, jeune homme juif que sa nouvelle famille cache des nazis. Peu à peu, elle trouve dans cette nouvelle vie, un bonheur qu’elle ne connaissait pas. Même la rue où elle habite a pour nom, Paradis. Et si on met de côté, les Nazis qui patrouillent en ville, les chants hitlériens appris à l’école, une triste scène d’autodafé ou les croix gammées qui bordent les murs, on s’y croirait presque… Mais sous ses aspects édulcorés, La Voleuse de livres n’en est pas moins un film bouleversant. Après tout, l’histoire de Liesel et de ses proches nous est narrée par la Mort elle-même et celle-ci plane sur la tête des héros tout au long du film. Avec cette adaptation du best-seller de Markus Zusak, Brian Percival dépeint une Allemagne divisée entre endoctrinement, attentisme et résistance en pleine Seconde Guerre mondiale. Le tout à travers les yeux innocents d’une enfant, voire même de deux enfants. Car si La Voleuse de livres nous raconte le parcours de Liesel (Sophie Nélisse est captivante du haut de ses 13 ans), c’est quand le film s’intéresse à son meilleur ami Rudy (Nico Liersch) qu’il se fait le plus poignant. Avec sa tête blonde et ses yeux bleus, Rudy est le parfait prototype aryen, et pourtant, ce jeune garçon innocent n’a qu’un rêve, devenir l’homme le plus rapide du monde à l’image de son idole Jesse Owens. Et c’est quand son père lui dit qu’il n’a pas le droit d’en être fan et qu’il échoue à lui expliquer pourquoi que La Voleuse de livres atteint son but premier : dénoncer...
Venez découvrir la suite de ma critique sur mon site ScreenReview !
Vu ce soir en avant première. Je ne connais pas le roman à succès d'où est tiré le livre. Le scenario est très intéressant et dresse le portrait d'une orpheline en temps de guerre dans l'Allemagne nazi. L'intérêt du film vient surtout de l'interprétation générale magistrale et de la part belle donnée aux cents. Bien pour la mise en scène, moins bien pour la psychologie des personnages peu fouillée. Ce fim devrait ravir les adolescents amateurs d'histoire.
Adapté du best-seller (2005) par l'Australien Markus Zusak, ce long-métrage présenté sous forme de conte (la mort nous parle en début et en fin de film), romance de façon remarquable un drame qui nous place côté allemand au temps de la terrible seconde guerre mondiale d'Hitler. A l'interprétation, deux parents d'adoption formidables : Geoffrey Rush ("Le discours d'un roi") et Emily Watson ("Les cendres d'Angela") et deux enfants admirables : Sophie Nélisse (repérée dans "Monsieur Lazhar") et Nico Liersch (rôle de Rudy dans le film, jeune garçon blond). Cette histoire, qui aurait pu exister, en opposition à la peur et à la douleur, délivre un message de courage et d'espoir. A voir en famille...
Bon film-mélo servi par de jeunes acteurs crédibles et racontant la guerre du coté allemand, ce qui apporte un angle différent des films sur la seconde guerre.
Bouleversant! Une jeune fille de onze ou 12 ans Liesel est adoptée par une famille en Allemagne;La mère est un peu brusquespoiler: et comme le tonnerre selon les mots de liesel et le père bon vivant,attentionné il l'appelle "sa Majesté" et l'aime comme sa na plus de parents,spoiler: perdu son spoiler: frère ,ses parents a cause de la devient menacant,a cause du Furher on brûle des livres et la propagande anti juifs et anticommuniste se durcit..un jour Un jeune homme juif tape a la porte des parents adoptifs de Liesel,émus ils le cachent dans la cavespoiler: dans un lit puis [spoiler]ayant [/spoiler]spoiler: peur d'avoir des ennuis le cachent a un autre endroit de la maison .Liesel a un copain aux cheveux "jaunes "ou blonds comme les blés mais ne doit pas le lui dire et adorant lire elle va se mettre a chiper des livres chez des gens aisés..Et redonner le goût de vivre au juif qui finit par guérirspoiler: mais s'enfuit un jour par peur detre découvert et causer des problèmes. .Liesel reste avec sa mère,son père bientot convoqué pour se battre et revient bien fatigué mais joyeux,aimant toujours l'accordé semble aller pour le mieux et nt....Et si il fallait que Liesel écrive et s'y mette..bref je ne dirais pas la fin mais allez voir ce bijou de sensibilité d'émotion et qui préserve l'enfance et le rêve malgré tout..quelques longueurs cependant mais pour un film qui vaut le détour vraiment!BIen meilleur que les films francais qui d'ailleurs n'arrivent pas a la hauteur ni a la cheville des films anglais ou Américains..Alors allez y! Ne ratez pas ce film plein de finesse..
Un film magnifique, à la fois pudique et bouleversant. Certes, il utilise les images connues de la montée du nazisme comme cadre du developpement des héros, mais il le fait avec une grâce et une violence utiles. Loin du neo-negationisme à la mode, il peint la banalité du mal et du bien d'une manière qui je l'espère les rends perceptibles au spectateur.
Ayant déjà vue plusieurs film sur la seconde guerre mondiale, mais une des premières avec une vision du côté allemand. Je tient à dire que "La Voleuse de livres" est une réel surprise sur le sujet. Tout d'abord car il parle exclusivement d'une famille qui ne partage pas les valeurs Hitlérienne. Et nous montre d'une façon assez douce, comment il vont protéger un jeune juif. Et ce liée d'amitié avec lui. Ensuite le casting est vraiment très bon. Un Geoffrey Rush et une Emily Watson excellent tout deux. Et une jeune Sophie Nélisse que l'on découvre très bonne dans ce premier rôle d'importance. Enfin car il a une mise en scène, un rythme que j'apprécie particulièrement. Paisible, sans trop perduré dans les scène, mais en y accordant une durée adéquate. Et le choix très particulier du narrateur, rend le récit bien particulier. Un drame profondément humaniste.
Une très belle histoire pour un très beau film. Je n’ai pas lu le livre à partir duquel cette adaptation a été faite, mais j’ai beaucoup aimé cette histoire. À travers les yeux d’une jeune fille débarquée au milieu de nulle part (le cas classique de l’orpheline), on découvre des valeurs importantes telles que l’amitié, la confiance ou l’entraide dans une Allemagne nazie qui s’est appliquée à les réprimer. Et c’est le fait de les voir s’exprimer aussi facilement qui rend cette histoire si belle, tout comme le fait de voir qu’elles sont tout aussi fragiles. Il faut aussi admettre qu’avoir la Mort elle-même en voix off pour une histoire se déroulant au cours de la Seconde Guerre mondiale est une idée assez brillante : un cynisme et une franchise qui peuvent parfois choquer, mais qui sont d’une neutralité absolue. Mais ça ne l’empêche pas d’avoir quelques sentiments, comme elle nous prévient au début du film. Une histoire vraiment très belle, je me répète, et très bien menée du bout en bout, le vol des livres lui-même étant plus un message en soit (le pouvoir et l’importance des mots et donc de la lecture ou de l’écriture dans des périodes sombres) qu’un contexte. Le seul petit bémol, c’est de peut-être trainer un peu trop en longueur vers la fin, ce fameux symptôme du film qui a du mal à se finir. Le casting est lui aussi une surprise : car outre une Geoffrey Rush et une Emily Watson impeccables, c’est surtout le casting des enfants qui se révèle être une réussite. Sophie Nélisse ne met que 30s pour qu’on s’y attache, tandis que son amis Rudy est à lui-seul un magnifique exemple du gamin sûr de lui mais dont l’acteur ne donne pas des envies de baffe. Un casting vraiment bien dirigé et c’est extrêmement rare avec des acteurs aussi jeunes. Techniquement…bah, John Williams nous pond là une BO encore une fois magnifique, toute en simplicité et pourtant si belle. Discrète et pourtant omniprésente aux oreilles…Bref, encore un sans-faute de la part de min dieu vivant. À côté, on a droit à des décors vraiment superbes et une mise en scène vraiment très bien maîtrisée du début à la fin avec de nombreux plans/scènes/séquences sublimes. Mais on retiendra avant tout cette photographie, glaciale et pourtant si magnifique, si belle, transcendant littéralement cette histoire. Ce film n’est sans doute pas le meilleur au cinéma actuellement, mais il est tellement beau que ce serait dommage de le rater.
Adorable girl and characters in a rude and difficult environment. Beautiful innocence showing throught the whole movie despite the war and heartbreaking situations.
Parue en 2007, le best seller de Markus Zusak La Voleuse de Livres à aujourd'hui droit à son adaptation cinématographique du même nom. Figurant parmi les films les plus attendu de ce début d'année le film a globalement été boudé par la critique mondiale La Voleuse de Livres de Brian Percival est sortit en France Mercredi dernier.
Accompagné d'un excellent casting, adapté d'un best seller mondialement connu avec un plus un sujet fort sur lequel de multiple chef d'oeuvre ont vu le jour La Voleuse de livre est malheureusement un énorme crash. La seconde guerre mondiale et la dictature nazi vu à travers les yeux d'un enfant, c'est ainsi à quoi le film voulait se résumer et racontant l'histoire de la seconde guerre mondiale comme la voyait les Allemands de l'intérieur et d'ailleurs le film le représente très bien avec ces chants nazi à l'école, ces discours Hitlérien... rien n'est épargné au public pour qu'il comprenne la manière dont les nazis mettaient en place leur enseignements. Sur ce La Voleuse de livre est une assez bonne reconstitution historique avec également des costumes et une architecture proche de l'époque.
Quant au casting le film misait surtout sur ses acteurs, l'Oscarisé Geoffrey Rush est remarquable dans son rôle de père aimant qui ne reconnait plus son environnement, Emily Waston est en revanche extrêmement froide, son jeux correspond à son personnage mais cette froideur la rend insupportable, face à ces deux grands noms la jeune Sophie Nélisse vu pour la première fois en France il y a un an dans le petit film indépendant et inaperçue Monsieur Lazhar, elle est dans le rôle principal du film mais le fait descendre à elle toute seule avec sa prestation digne de Kristen Stewart dans Twilight de plus que l'intrigue ne fait pas du tout évoluer son personnage puisqu'elle de décolle jamais. La plupart des personnages ne sont que des inventions qui ne servent qu'à combler les trous et rendre le film encore plus long qu'il ne l'est déjà et rendre la liste des incohérences encore plus longue sans oublier l'absence absolue d'une quelconque émotion qui se ressent particulièrement au niveau de la fin déplorable et prévisible.
Il faut rajouter à cela des répliques faussement intello dont l’intéret lucratif et non artistique est flairé à des kilomètres sans compter une histoire niaise sans fondement à donné envie de vomir et qui instaure une ambiance lourde et sans vie et qui ne sert qu'à rendre ce mauvais cinémas encore plus ennuyeux.
La réalisation est également pathétique, Brian Percival livre une mise en scène incroyablement lourde qui a du mal à s'inscrire dans son contexte et écrase n'import quel attachement possible entre le spectateur et l'histoire, un pareil sujet méritait également d’être un peut plus développé mais le réalisateur n'en fait rien et se contente juste de suivre les personnages avec une morale difficile à assimiler.
Bilan : Faire un film aussi niaiseux et fade sur un sujet pareil devrait être passible de crime de guerre. Plantage sur toute la ligne La Voleuse de livres peut déjà figurer parmi la liste des films de guerre ratés et tentant désespérément de d'égalé Steven Spielberg avec un énorme manque d'inspiration.
Trop de scènes coupées du livre qui ne sont pas dans le film. L'histoire n'en est pas moins émouvante pour autant, les acteurs sont attachants et on se plonge bien dans l'esprit de l'époque de 39 à 45. À voir.
ce film est vraiment bouleversant !!! l actrice qui joue liesel est vraiment à fond dans son rôle l histoire rien à redire fidèle au livre un magnifique film qui nous fait pleurer du début à la fin