Derniers Avis : La Voleuse de livres - Page 11

Deux heures et quelques minutes d'un ennui profond. C'est le meilleur résumé que je puisse faire de ce navet sans âme. Si l'histoire est tout à fait dramatique et méritait éventuellement une (enième) adaptation d'un pan de vie durant la Seconde guerre mondiale, la mise en scène est d'une rare platitude Du gâchis. . Je m'interroge également sur le bien-fondé des remises de prix à l'actrice principale qui incarne Liesel. Elle m'a fait penser plus souvent à un poisson rouge extrait de son bocal, qu'au personnage au caractère trempé qu'elle est supposée incarner. Bref, un ensemble de lieux communs, de scènes inutiles d'une longueur qui ravive à chaque instant, l'impatience de quitter la salle en pleine séance. Ce à quoi j'ai renoncé uniquement par respect pour les personnes qui m'accompagnaient.....

Que d'incohérences ... aussi bien scénaristiques qu'historiques... Faire un film durant la 2nd guerre mondiale sans dinosaure en 3D c'est pas crédible... (enfin bon j'aurais du me douter que ce film serait raté, déjà quand tu vois l'affiche l'actrice elle à un strabisme...ca fait pas sérieux quoi...)

Film tre emouvant!! Des acteurs qui jouent formidablement bien.. Je recommande!!
Ps: la mort nous entoure tous les jours et il est important d aimer ses proches et de leur dire avant qu elle vienne nous prendre...

Très beau film où l'on suit la construction d'une petite fille qui va subir des multiples épreuves. C'est un film d'espoir et d'amour (pas au sens romantique). Une bonne surprise.

belle histoire dommage que ce soit triste
sinon bonnes interprétation des acteurs
beaucoup aimé

Mélodrame mollasson décoré par "Boucle d'Or" et habillé par Cyrillus. Vague ode à l'écriture, on peut, malgré tout, y rencontrer quelques bons comédiens un peu perdus au milieu de la coprod' européenne et dans une seconde guerre mondiale au pays des Bisounours...

Très beau film qui fait réfléchir et découvrir la guerre du point de vue des civils

Cette histoire s’intègre dans la tradition des films scolaires sur les horreurs faites aux enfants – ici, une fille issue d’une famille communiste et un jeune homme juif- pendant la seconde guerre mondiale. Il est raconté à la façon d’une fable, depuis une voix off qui n’est autre que « la mort ». L’héroïne est une jeune fille dont on suit sans relâche le triste et fascinant parcours depuis son abandon par une mère portant le deuil de son fils jusqu’à la mort de ses parents adoptifs. Les dernières images, comme très souvent dans ce genre de film, balaient l’intégralité d’une vie riche qu’on sait longue et sans doute heureuse.
Cette fois-ci, pas de camp de concentration, mais une violence qui se déploie à d’autres niveaux : Liesel ne cesse de subir la violence, d’abord, celle de la mort de son petit frère, l’abandon par sa mère, son adoption par les Hubermann, le départ de Max, la mort de ses nouveaux parents et de son meilleur ami. La coupe est pleine. Le côté tire-larmes est pleinement assumé.
On ne quitte quasiment jamais le quartier des Hubermann, La géographie du film est pauvre : peu d’échappées : la place de l’autodafé, la rivière, la maison du bourgmestre. On oscille dans cet univers manichéen entre des lieux de violence et des lieux de paix mais le véritable lieu où se déroule le film c’est l’intériorité de la lecture dans ce petit coin de cave où les deux enfants construisent leur avenir grâce à la fiction et la philosophie. D’ailleurs les seuls survivants sont nos deux prisonniers, sauvés par la lecture. Et se pose la question : comment raconter l’horreur ? Le cinéaste parvient à adoucir cette existence écchymosée en optant pour un point de vue très original : celui de Dieu puisque c’est la mort qui raconte. Dans cette adaptation du roman de Markus Zusac, B Percival a réussi à opérer la synthèse entre le cynique et l’humain, faisant de cette tragédie non pas une succession d’horreurs mais une leçon de vie. La jeune Liesel a su se construire grâce à ses lectures et grâce aux personnes chaleureuses qui l’ont recueillie. Laissons de côté les clichés pour ne retenir que cette lecture-là.

Une insondable bouse. De la première seconde à la dernière ! ça commence mal avec l'effet éculé du narrateur de par dessus les nuages qu'on trouve habituellement chez Disney. Et comment arriver à rentrer dans un film donc l'action se situe en Allemagne, entre 1941 et 1945 et tourné en ... Anglais. La salle de classe où tous les gamins s'expriment comme par magie dans la langue ... de l'ennemi est d'un ridicule achevé. Illettrée mais fluent in English la petite Liesel !! il y a quand même le discours haineux du SS en Allemand et quelles Ja et Nein à la fin de chaque phrase mais du coup on ne comprend plus où on est !!!! Mais le pompon restera pour la scène de la résurrection qui restera dans les annales du navet : quand elle sort par magie, à peine décoiffée et seule survivante de sous les décombres du bombardement qui a juste rasé la rue entière !! Bref on attendra par exemple une bonne adaptation des Bienveillantes pour avoir un éclairage cinématographique sérieux et profond de la débâcle allemande vécue par les civils.

La Voleuse de livres même s'il est parfois tire larme est une belle petite histoire. Je n'ai pas trop aimé ce narrateur un peu particulier et je trouve également la fin un peu raté, mais ce sont plus des faits que je reproche au livre originel. Hormis cela je ne me suis pas ennuyé. La petite Sophie Nélisse confirme qu'elle a beaucoup de talent après son rôle dans "Monsieur Lazhar". Elle est très bien encadrée par le grand Geoffrey Rush. Pour finir, je suis toujours dérangé quand le film n'est pas dans la langue du pays où l'histoire se passe. Des Allemands qui parlent anglais, ça n'aide pas à rentrer pleinement dans le film. C'est dommage mais il ne faut pas en demander trop aux Américains.

Magnifique, bouleversant, un film qui vous prend au plus profond de votre âme !!!!! A voir absolument....... J'en suis encore tout retourné, un grand coup de cœur !!!!!

Malgré le nombre incalculable de film sur la 2nde guerre mondiale, après Elle S'appelait Sarah, c'est ce film qui m'a le plus bouleversée.. Des frissons, des pleurs, des rires, ce film est tellement prenant. Une manière différente d'aborder le thème avec "la mort" qui nous raconte l'histoire de cette jeune Liesel. Je conseille vraiment ce film !

"La voleuse de livres" est un film qui se passe dans les années 40 en Allemagne. Clairement, on entre dans un tout autre registre où la tristesse, la mélancolie et l'émotion tiennent le haut de l'affiche. Je m'attendais toutefois à un film plus poignant encore (bien qu'il le soit déjà pas mal) et je n'ai pas compris pourquoi le film a voulu s'angliciser à ce point (en Allemagne, la fille lit des livres écrits en Anglais, fait un abécédaire en Anglais ...)

La Voleuse de livres ne faisait pas partie des films à voir de l'année 2014 et pourtant... c'est une perle dramatique, un pur bijou inoubliable.
Sous l'Allemagne Nazie et à l'aube de la guerre, Liesel est envoyée dans une famille adoptive Elle ne sait pas lire mais apprend grâce à son père adoptif, un bon vieil homme optimiste jouant merveilleusement l’accordéon. Elle sympathise avec un garçon de son quartier et ont comme point commun de s'opposer à la politique barbare du régime. Quand la guerre éclate, la famille de Liesel cache un juif et c'est avec ce garçon qu'elle soutenir la dureté de cette période...
Un joli résumé. Vous me demandez ou est le sens du titre ? Il est bien la, dans le film rassurez-vous. Mais c'est surtout le pouvoir des mots et la richesse des livres qui est mis en avant. Ils sont des soutiens quand le temps n'est guère propice au bonheur.
Tout d'abord, j'ai été très surprise du narrateur (je n'ai pas lu le livre). Je ne vous le révèle pas mais ce narrateur ajoute quelque chose d'original et dramatique au récit.
Le choix historique aussi est bien choisi. On voit avec effroi l’embrigadement de la jeunesse et de la population au nazisme ainsi que leurs actes (notamment l'odieux autodafé qui m'a glacé le sang) mais aussi qu'ils n'étaient pas tous des criminels et qu'il y a eu des allemands qui se sont révoltés contre cette politique. Il est rare de voir le coté allemand pendant la Seconde Guerre mondiale et ce choix est réussi.
L'humour est une touche bienvenu aussi. Quelques scènes sont plutôt humoristiques et vous décrocheront un sourire, notamment avec la mère adoptive, un vraie mégère !
De tous les acteurs, Sophie Nélisse est la plus brillante. Je lui souhaite un grand avenir tant elle joue avec perfection son rôle.
Tout est parfait. Essayez de le voir, vous ne le regretterez pas...

Un film magnifique il faut prévoir les mouchoirs pour la fin