Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Brian Percival, évoque les évènements de ces années terribles à travers l'expérience enfantine de Liesel, interprétée par Sophie Nélisse, avec une bravoure candide, de plus en plus lucide.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Les Cassandres reprocheront sans doute au film son manque de rugosité, et la texture un peu lisse de la reconstitution. Cela serait passer à côté du message profondément humaniste de cette histoire.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
20 Minutes
par Caroline Vié
Elle a treize ans, elle est canadienne et elle est devenue la nouvelle coqueluche d’Hollywood, Sophie Nélisse est l’héroïne de "La voleuse de livres" de Brian Percival, mélodrame mollasson dont elle constitue l’atout majeur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Le film pourrait être le premier pas d’un jeune spectateur dans son apprentissage de l’Histoire.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Brian Percival parvient à émouvoir mais son adaptation, qui ne manque pas de souffle, apparaît trop classique et n'évite pas quelques dérapages sirupeux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un éclairage original véhiculé par cette fable humaniste à la mise en scène classique, et sur laquelle plane un certain angélisme.
Le Monde
par Noémie Luciani
Ne laissant au joli thème des livres et de l'amour de la lecture qu'une place accessoire, ce tableau très convenu reste trop scolaire pour émouvoir.
Ouest France
par La Rédaction
L'émotion vient des interprètes Geoffrey Rush et Emily Watson. Et surtout la jeune Sophie Nélisse, une vraie révélation.
Positif
par Michel Ciment
"La voleuse de livres" offre une surface lisse et sa narration sans aspérités est un brin longuette. Impeccablement interprété, il a tous les atouts d'un spectacle familial, mais aussi ses limites.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Voir le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Nicolas Didier
Cette adaptation hollywoodienne plutôt réussie reprend ce qui faisait la force du roman...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Le film pâtit d’un sérieux manque d’émotion, qui se ressent aux moments les plus cruciaux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Danel
Dans cette reconstitution sans nuances, quelques jolis moments affleurent grâce à la jeune Sophie Nélisse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Gérard Delorme
(...) Avec de la bonne volonté, un esprit optimiste y verra une apologie de la lecture comme source d'évasion et de connaissance dans un contexte terrible.
Critikat.com
par Ariane Beauvillard
Brian Percival parsème son film des "topoï", incarnés ou spatiaux, des images de la guerre, sans jamais tenter de remettre en cause le système de circulations de ces clichés cinématographiques ou même les grands cadres de ces derniers.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Si l'enfer est pavé de bonnes intentions, il en va de même pour les navets.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
TéléCinéObs
par Xavier Leherpeur
Signé par un des metteurs en scène de la série britannique "Downton Abbey", le film pâtit d'une reconstitution qui sent la naphtaline et d'une mise en scène à la fois grandiose et forcée.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Le Figaroscope
Brian Percival, évoque les évènements de ces années terribles à travers l'expérience enfantine de Liesel, interprétée par Sophie Nélisse, avec une bravoure candide, de plus en plus lucide.
Franceinfo Culture
Les Cassandres reprocheront sans doute au film son manque de rugosité, et la texture un peu lisse de la reconstitution. Cela serait passer à côté du message profondément humaniste de cette histoire.
20 Minutes
Elle a treize ans, elle est canadienne et elle est devenue la nouvelle coqueluche d’Hollywood, Sophie Nélisse est l’héroïne de "La voleuse de livres" de Brian Percival, mélodrame mollasson dont elle constitue l’atout majeur.
CinemaTeaser
Le film pourrait être le premier pas d’un jeune spectateur dans son apprentissage de l’Histoire.
La Croix
Brian Percival parvient à émouvoir mais son adaptation, qui ne manque pas de souffle, apparaît trop classique et n'évite pas quelques dérapages sirupeux.
Le Journal du Dimanche
Un éclairage original véhiculé par cette fable humaniste à la mise en scène classique, et sur laquelle plane un certain angélisme.
Le Monde
Ne laissant au joli thème des livres et de l'amour de la lecture qu'une place accessoire, ce tableau très convenu reste trop scolaire pour émouvoir.
Ouest France
L'émotion vient des interprètes Geoffrey Rush et Emily Watson. Et surtout la jeune Sophie Nélisse, une vraie révélation.
Positif
"La voleuse de livres" offre une surface lisse et sa narration sans aspérités est un brin longuette. Impeccablement interprété, il a tous les atouts d'un spectacle familial, mais aussi ses limites.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.
Télérama
Cette adaptation hollywoodienne plutôt réussie reprend ce qui faisait la force du roman...
aVoir-aLire.com
Le film pâtit d’un sérieux manque d’émotion, qui se ressent aux moments les plus cruciaux.
Les Fiches du Cinéma
Dans cette reconstitution sans nuances, quelques jolis moments affleurent grâce à la jeune Sophie Nélisse.
Première
(...) Avec de la bonne volonté, un esprit optimiste y verra une apologie de la lecture comme source d'évasion et de connaissance dans un contexte terrible.
Critikat.com
Brian Percival parsème son film des "topoï", incarnés ou spatiaux, des images de la guerre, sans jamais tenter de remettre en cause le système de circulations de ces clichés cinématographiques ou même les grands cadres de ces derniers.
Ecran Large
Si l'enfer est pavé de bonnes intentions, il en va de même pour les navets.
TéléCinéObs
Signé par un des metteurs en scène de la série britannique "Downton Abbey", le film pâtit d'une reconstitution qui sent la naphtaline et d'une mise en scène à la fois grandiose et forcée.