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    Une liaison pornographique
    Note moyenne
    3,3
    8 titres de presse
    • Ciné Live
    • Le Figaro Magazine
    • Planetcinema.com
    • Studio Magazine
    • Le Point
    • Télérama
    • L'Obs
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    8 critiques presse

    Ciné Live

    par Sandra Benedetti

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    Le Figaro Magazine

    par L.H.

    (...) le couple Nathalie Baye et Sergi Lopez (...) fonctionne à merveille. C'est sans prétention. Aussi léger qu'une romance d'été.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine

    Planetcinema.com

    par Marc Kressmann

    Pour résumer ce curieux film, on dirait que c'est un croisement entre Un coeur qui bat (François Dupeyron) et Le dernier tango à Paris (Bernardo Bertolucci). Le film est tour à tour ironique, touchant, hilarant (...) et "bouleversifiant".

    La critique complète est disponible sur le site Planetcinema.com

    Studio Magazine

    par Thierry Klifa

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    Le Point

    par Brigitte Hernandez

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    Télérama

    par Louis Guichard

    Passé l'effet de curiosité, Frédéric Fonteyne nous entraîne sur un territoire très balisé (...), avant de conclure de façon purement anecdotique. Entre-temps, la tournure ludique de l'affaire a joué contre le film (...)

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    Nathalie Baye et Sergi Lopez (...) sont la raison d'être d'un film (...) pas bien passionnant, mis en scène sans beaucoup d'inspiration et qui brasse allégrement les réflexions convenues sur le sexe et l'amour.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Première

    par Jean-Yves Katelan

    Pour ce premier long d'un trentogénaire (...), on pense au Deville de Nuit d'été en ville et au Harel de La Femme défendue et donc à ces films à principe rébarbatif qui mettent beaucoup trop de I dans leur Q.

    La critique complète est disponible sur le site Première
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