Derniers Avis : Le Passé - Page 4

ce film se résume en deux mots: lent (très lent !) et inintéressant !... on a compris au bout de 2 minutes les tensions, sous entendus etc qui pèsent du coup très lourd ensuite pendant 2h10 ! Un film digne du festival de Cannes quoi !

Mais quel ennui ! De bons jeux d'acteurs mais un scénario "raplapa". Mais quel ennui durant 2h10 ! Un scénario tellement gris et lent qu'ile ne colle même pas le bourdon !
Quel ennui !
Mais pourquoi les critiques des "spécialistes" encensent-ils ce film ? Pour na pas nuire à des starts montantes ("The artiste" et "Un prophète").
Quel ennui §
Plutôt regarder la pluie tomber de chez soi !
Film à éviter.

Debut du film entrainant, le film commence bien puis tout se perd: le rythme, le jeu des acteurs, le scénario au milieu de pseudo philosophie de caniveau sur les familles recomposées et les non dits. Une seule chose est intéressante: la façon dont la présence des enfants dans les problèmes des adultes.

Film profondément ennuyeux et dont le scénario est digne d'une mauvaise émission de Mireille Dumas. Deux longues heures de cris, de larmes..... Ne ratez pas les deux esquisses de sourire de Bérénice Béjo dans le film ni les 2 minutes où l'on voit un rayon de soleil. La sommation des echecs de chacun et la réalisation morose rendent l'ensemble improbable: 3 divorces+suicide+euthanasie+crise d'adolescence+séparation difficile+mari de culture différente+difficultés de famille recomposée+cohabitation de l'ex et nouveau sompagnon+travaux dans la maison+mauvais temps. Pourquoi pas en plus un enfant autiste ou trisomique! . La comparaison au film "Parle avec elle" est insultante pour ce dernier.

Je reviens à l'instant du cinéma suite aux bonnes critiques que j'avais vu de ce film tant au niveau de la presse que des spectateurs. Incompréhensible!! Je me suis rarement autant ennuyé pendant un film de toute ma vie!
Il ne se passe rien du début à la fin. Derrick c'est "fast and furious" à côté. Le scénario n'a rien d'extraordinaire en plus. On a envie de mettre des claques aux acteurs du début à la fin pour les sortir de leur torpeur et accélérer le mouvement de ce film que je déconseille au plus haut point!!

Très ennuyant. Nous avons l'impression d'assister à un épisode de Confessions Intimes sur grand écran tant la famille exposée est caricaturale. Je crois que compter le nombre de bâillements dans la salle aurait été plus intéressant que le scénario du film. Encore une fois, cet avis vient de quelqu'un allant au cinéma afin d'y trouver du divertissement et juste du divertissement.

Assez lourde déception, même si la bande annonce ne présageait rien de bon. D'abord, le film est trop long, beaucoup de temps faibles. Farhadi est un scénariste avant tout, c'est ce qui plaisait entre autres dans Une Séparation. Mais cette fois, c'est plus faible, l'histoire ne capte pas complètement notre attention, parce qu'elle est très centrée sur la famille, comme fermée sur elle même.
Ce qui amusant, c'est que Fahradi est présent dans son propre film, c'est Ahmad qui lui ressemble d'une certaine façon.
Concernant les acteurs, il y a à redire sur Bérénice Béjo, qui n'est pas vraiment à la hauteur. Plusieurs scènes sont mal fichues, volontairement ou non. Tahar Rahim est par contre très bien comme toujours.
Comme dans les précédents films, le mensonge est très présent et forme le cœur de l'intrigue. Un point m'a très fortement gêné: le mensonge le plus important qui occupe environ 25-30 minutes du film vient d'une sans papier qu'on imagine algérienne, jouée par une actrice française, en clair le personnage qui est dans une situation difficile (et le seul).
Ce qui est problématique, c'est que Fahradi l'enfonce: le personnage est donc le plus faible, Tahar Rahim, son patron, la gifle, elle lui baise la main. Que nous dit cette scène: ce personnage est en bas de l'échelle sociale et elle est à sa place car elle a merdé.
Cela fait évidemment écho à la "scène manquante" d'Une Séparation, qui enfonce Razieh, déjà le personnage au plus bas de l'échelle.
Au mieux, on peut dire que Fahradi est fataliste... En tout cas, ça m'a interrogé.

En France, il pleut tout le temps. C'est bien connu. Les gens vivent dans des pavillons des années 50 dont on s'attend à voir surgir Simone Signoret et Jean Gabin. Tout est glauque dans ce film. Les personnages, les attitudes, les décors, les dialogues. La symbolique est lourde. L'histoire avance au hasard de scènes qui semblent improvisées et dont on nous dit qu'elles ont été répétées des semaines durant. On cherche en vain ce qui a fait l'étincelle d'une Séparation.