Un millefeuille d'emmerdements malgré tout le respect que j ai pour Bérénice BEJO . La meilleure interprétation dans ce film reste pour l interprétation de la fille ainée.
Non seulement il n'y a pas d'histoire, mais les acteurs ont l'air de s'ennyuer autant que les spectateurs dans des décors lugubres, sans intérêt et déshumanisés. Et contrairement aux films de Marguerite Duras, on ne peut même pas dormir tranquilles à cause des variations brutales du volume sonore. J'ignore comment des personnes prétendument sensées ont pu y trouver un quelconque intérêt, si ce n'est à cause du snobisme actuel qui consiste à encenser systématiquement tout ce qui est fait par les réalisateurs du moyen-orient ou des «pays émergents», surtout quand il n'y a rien à comprendre. Quant à expliquer comment Bérénice Béjo a pu se voir decerner un prix d'interprétation à Cannes, c'est un mystère complet : elle passe l'intégralité du film avec un air hébété qui reflète la vacuité de son personnage – comme de celle des autres. Elle nous a montré par ailleurs qu'elle méritait mieux, mais là, c'est catastrophique. Elle n'aurait pas dû lire le synopsis (car il n'y a pas de scénario), au moins elle aurait pu montrer de la surprise…
La femme ("Marie"), le mari ("Ahmad") et l'amant ("Samir") : trio classique pour vaudeville. Cela peut-il faire un "drame", même si "mélo" plus que "drame", à vrai dire ? Variante autour du divorce, avec affinement des rôles : Ahmad, c'est le "passé" et Samir le "présent", le premier venant d'Iran officialiser un divorce par consentement mutuel, le second déjà installé au domicile "conjugal" (un plutôt sinistre pavillon de banlieue Nord parisienne, le long de la voie ferrée du RER). Qui sera "l'avenir" de Marie, à nouveau en puissance d'enfant ? En sachant qu'Ahmad est a priori en transit et que Samir traîne une histoire sordide d'épouse comateuse, officiellement suicidée au plus fort d'une dépression, mais peut-être par la faute de Lucie, l'ado tourmentée que Marie a eue (avec la petite Léa) d'une union précédant son mariage agonisant avec Ahmad. Très peu d'enjeu en fait, le verbe et l'hystérie camouflant tant bien que mal la pauvreté du scénario. "Comment peut-on être Persan ?". En tout cas Fahradi, le Perse contemporain, originaire lui aussi d'Ispahan comme Usbek, le héros de Montesquieu, perd tout à s'être porté en France pour ce très convenu nouveau film. Bérénice Béjo est vraiment moyenne par ailleurs, et l'on doute (sauf concurrence absente dans la Sélection officielle) de l'excellence du choix du jury cannois, qui lui a accordé un Prix d'interprétation féminine.
Un passé a oublier le plus rapidement possible. Décidément le seul intérêt de Cannes c'est de savoir d'avance ce qu'il ne faut pas allé voir, mais je me suis fait encore piégé. Même punition pour "only god forgives" mais bon il y avait un minimum d'esthétique cinématographique. Film d'auteur ne veut pas dire faire n'importe quoi, je pensais que ce type de film ne devait plus exister.
Je trouve que ce film est vraiment un navet, je pense que c'etait trop bizarre et dificile a comprendre, je pense aussi qu'il n'y avait pas vraiment d'histoire intéressante à raconter, il n'y avait pas de problèmes vraiment intèressants mais aussi les problèmes qu'il y avait c'etaient trop déprimant, et je ne comprends pas pourquoi le gens veulent voir ça? Par contre, les acteurs etaient bon a mon avis, convincants. le scenario etait trop basique, rien d'extrordinaire, mais je ne me plains pas de ça, parce que l'hisoire se déroule dans un maison, et ça c'etait bien. Bref, Je ne recommande pas ce film.
Je ne comprends pas l'engouement autour de ce film. Pour rester objectif, c'est un film mou, avec une "intrigue" inintéressante, des décors déprimants et une mise en scène sous Prozac.
On dirait un téléfilm du samedi soir de France 3. Si vous aimez le genre foncez!
Dans un film quand les enfants paraissent plus convaincants que les adultes y'a un soucis à se faire! Ce film est pathétiquement nul! Merci à Ali mossaffa pour sa belle perf et aux deux rôles des petits qui jouent Foad et Léa! Je suis partie de la salle quand les miaulements incessants de Pauline Bulet devenaient inssoutenablement! Sans parler de Berenice bejo qui était inssuportable des les 3 premieres minutes! Quand à Tahar rahim je l'avais déjà trouvé bien mauvais ds A perdre la raison de de Johakim lafosse l'année dernière! Ahhh qu'il est bien loin le temps du triomphe du film qui l'a fait decouvrire au gràd public:Un prophete!!!!! Bref, un cating nul, un scénario encore plus nul, des montages, arf carrément vus et revus et un film au final que l'on aura pas pu finir de regarder car archi nul! Bravo, une belle merde de plus à Cannes...
Je me suis profondément ennuyé dans ce film. Le scénario a peu d'intérêt, le sujet est survolé et la fin est sans doute fonction du temps de tournage car l'héroïne devenait le personnage central et le scénario n'est pas allé jusqu'au bout à mettre en cause ce personnage. Le son est parfois inaudible. L'image est banale. Reste le jeu des acteurs qui est correct, voire difficile car jouer de manière aussi "naturelle" n'est certes pas naturel. On peut des passer de voir ce film.
Je ne suis pas une cinéphile avertie, juste quelqu'un qui a envie de se détendre en allant au ciné. Avec ce film, c'est la déprime assurée !! Payer pour regarder une famille enchevêtrée dans ses maladresses, ses erreurs de jugement, etc, personnellement j'ai suffisamment de monde en stock dans mon entreprise pour faire 2500 fois le même film !! J'ai regardé l'heure au bout de 45 mn...
On est ici à des années lumières de "Une séparation", formidable film du même réalisateur. Ici, tout est factice et fabriqué, lourd, cérébral, alambiqué. Et, à la fin, ça se répète tellement dans les mêmes processus indigestes que ça en devient presque drôle. Il s'est agi d'une opération commerciale, probablement.
Encore un bon nanar issu du copinage cannois auquel nous sommes désormais habitués. Dire que c'est soporifique, c'est déjà être complaisant car cette banale histoire de divorce commence d'abord par agacer par la médiocrité des interprètes avant de vous laisser gentiement roupiller. Pour les inconditionnels des prises de tête, qu'ils se rassurent: ils auront sans doute l'occasion de voir un jour ou l'autre ce sédatif en 2ème partie de soirée sur Arte....et ce, gratuitement !
il n'y a rien à approuver dans son film... le seul acteur qui peut retenir mon attention c est Ali MOSSAFRA. L'ensemble du film est gris, morose, immoral. Des scènes de la vie de tous les jours (en tout cas d'un destin qui peut arriver à chacun) mais dont je n'ai pu me sentir concernée tellement l'ensemble des choix des protagonistes est toujours le pire choix, le plus mauvais, le moins cohérent. Il faut se réjouir des deux sourires que l'on peut voir dans le film et du seul rayon de soleil qui apparaît.
d'une platitude exceptionnelle. rien ne se passe. tout est glauque le temps, l'histoire, les gosses, les crises de nerfs bref !!! heureusement qu'il t avait les crises de nerfs ça donnait un tout petit peu de vie à ce navet. ah ! Cannes ce n'est plus ce que c'était "ma pauvre dame" !!!!