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    Le Passé
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    Bénédicte B
    Bénédicte B

    279 abonnés 47 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mai 2020
    On est ici à des années lumières de "Une séparation", formidable film du même réalisateur. Ici, tout est factice et fabriqué, lourd, cérébral, alambiqué. Et, à la fin, ça se répète tellement dans les mêmes processus indigestes que ça en devient presque drôle. Il s'est agi d'une opération commerciale, probablement.
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mai 2013
    d'une platitude exceptionnelle. rien ne se passe. tout est glauque le temps, l'histoire, les gosses, les crises de nerfs bref !!! heureusement qu'il t avait les crises de nerfs ça donnait un tout petit peu de vie à ce navet. ah ! Cannes ce n'est plus ce que c'était "ma pauvre dame" !!!!
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    596 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2013
    C'est vrai qu'Asghar Farhadi signe une mise en scène ultra minutieuse, soucieuse du moindre détail et parfaite de tout point de vue. Les acteurs sont excellents, enfants inclus, et on découvre ce Passé difficile qui va petit à petit se décomposer, avant de se recomposer doucement sous nos yeux. N'ayant pas vu la fameuse Séparation qui a fait triomphé le réalisateur iranien dans le monde, j'ai découvert cette esthétique implacable où n'importe quel élément est pesé et mesuré dans sa fonction et dans son impact sur les autres. Après quatre ans de séparation, Marie demande à son mari iranien de rentrer de Téhéran pour signer les papiers du divorce en France. Seulement, ce qui semble être l'affaire d'une courte durée se transforme en une série de révélations au sein de la famille recomposée lorsque celle-ci lui demande de servir de médiateur avec Lucie, fille de Marie tourmentée par sa relation récente avec Samir. Un lourd secret va alors remuer les esprits et les non-dits qui empêchent les personnages d'avancer vont se délier. Malheureusement, bien qu'ayant entendu que du bien sur ce film, je n'ai pas autant accroché que ça (serait-ce à cause de trop de rebondissements?) et j'ai trouvé le tout trop simple pour en faire un chef-d'oeuvre. Le Passé a pour particularité (certain diraient "qualité") d'avoir un scénario qui prend le temps de dérouler son histoire et d'amener des relations au compte-gouttes avec des situations de la vie quotidienne. Bon, bien qu'on sente que le scénario très réaliste soit maîtrisé, voire sur-maîtrisé par le réalisateur (on a l'impression de voir une mise en scène de théâtre tellement chaque élément prend de l'importance), il nous prive d'une fin nette et nous laisse avec une sensation de frustration. Mais le côté réaliste rallonge les scènes si bien qu'on pourrait croire qu'elles pourraient aller jusqu'au contact physique violent mais cela permet au jeu d'acteur d'être d'autant plus perceptible et sensible, où le moindre regard et mouvement révèle quelque chose du personnage. Mais l'histoire avance, les relations se dessinent et s'affinent, mais à partir du moment où on identifie l'intrigue centrale, j'avoue avoir été un peu déçu. J'ai l'impression que le film se fait prendre à son propre piège : le scénario riche et réaliste s'épuise dans une monotonie parfois follement ennuyeuse. Bérénice Bejo joue très bien la pudeur des sentiments et quand elle explose, son jeu envoie du lourd! Dommage que ce soit juste pour une seule scène. Le personnage le plus touchant reste celui de Ali Mosaffa, le mari iranien, qui, plein de bonnes intentions, tente de résoudre l'hystérie sous le toit de la nouvelle famille. Le jeu de Tahar Rahim, comme depuis longtemps, me laisse totalement indifférent et me touche absolument pas. Par contre, j'ai été très étonné de la grande sincérité des plus jeunes et plus particulièrement de celle de Pauline Burlet, dans le rôle de Lucie, pleine de remords et d'émotions refoulées. C'est un bon film, certes, mais il me manque peut-être un brin de hasard et de folie. Peut-être que j'aurai aimé que ça aille plus loin et que les personnages reconstruisent quelque chose à partir du passé... Une fin aurait aussi été la bienvenue...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 mai 2013
    Un très joli film, avec une histoire bien faite, laborieusement, mais bien développée, avec des acteurs splendides (et là, je ne vais pas décerner de prix particuliers : TOUS sont parfaits et extrêmement crédibles). Par contre, gros point noir : c'est d'une lenteur effrayante et d'une longueur qui a fini par lasser le spectateur assidu que j'ai essayé d'être. Une bonne demi-heure de coupe de cette filandre aurait été salutaire. Est-ce que ce film fera une Palme d'or à Cannes où il est présenté de manière synchrone avec les salles françaises ? Ma foi pourquoi pas ? Le péniblissime "Amour" y est bien parvenu l'an dernier... Maintenant, selon mes critères, je ne le pense pas : le scénario, bien que correct, est trop ténu et le jeu des acteurs ne le compensera sans doute pas. Une mention spéciale quand même au réalisateur iranien Asghar Farhadi qui a dirigé les acteurs en Farsi, sans même parler un seul mot de Français, à l'aide d'un interprète très doué. Une mention spéciale quand même à la magnifique Bérénice Bejo qui a bien rebondi à travers ce rôle depuis "The Artist" il y a deux ans. Une réussite en demi-teinte, mais une réussite quand même...
    L'homme le plus classe du monde
    L'homme le plus classe du monde

    301 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2015
    Généralement, dès qu'un iranien sort un film, la presse crie automatiquement au chef d'oeuvre. Il en va de même pour tous les films libanais, égyptiens, israélien ou palestinien ainsi que tous les autres pays un peu trop porté sur le censure. Comme si le contexte difficile de la réalisation d'un film justifiait sa qualité.

    Bon, cette fois-çi, le film d'Asghar Farhadi est une production française, donc aucune raison pour la presse de surestimer ce film. J'étais donc partagé avant de visionner ce film. J'avais la furieuse impression que j'allais m'ennuyer sévère, mais faisant malgré tout confiance aux critiques cinéma et au jury de Cannes, j'ai décidé de mettre mon instinct au placard et de regarder ce film qui est peut-être un chef d'oeuvre.

    Il s'agit de mon premier Farhadi. Dès les premières minutes, pendant ce dialogue entre Bejo et Mofassa dans la voiture, rythmé par le bruit répétitif des essuie-glaces, j'ai su à quel type de cinéma j'avais à faire. Un cinéma qui entre dans la même vague que ceux d'Abdellatif Kechiche. Un cinéma réaliste, qui sent l'éponge mouillée et le café froid. Un cinéma sans musique, ou le ciel est gris, le sol mouillé et ou entend les avions passer. Un cinéma qui ne raconte finalement pas grand chose, si ce n'est qu'une histoire simple, mais qui n'en est pas moins émotionnelle. Un cinéma à la mise en scène discrète, quasi-inexistante au profit d'une qualité d'écriture irréprochable et à un jeu d'acteur incroyablement juste.

    Farhadi se contente de filmer la vie. Dans la vie il y a des hauts et des bas. En l’occurrence, ici il y a plus de bas. Parfois aussi la vie, c'est chiant. Et je dois avouer que je me suis parfois ennuyé. Certaines scènes sont parfaitement inutiles et rallongent inutilement la durée du film dont le sujet ne mérite pas qu'on y accorde 2h10.

    "Le passé" n'est pas un film très gai, mais on doit lui reconnaître une certaine qualité. Il s'agit d'un bon film. Méritait-il toute ces éloges lors de sa sortie en salle ? Non.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 19 mai 2013
    Extraordinaire...
    C'est vrai le film se mérite. La 1ere demi heure dure un peu, mais c'est pour laisser à la situation et aux personnages le temps de se placer. Ensuite tout se noue, et se déploie à la fois. Surgit alors un drame profondément humain, d'une universalisé absolue : le poids des non dits, de la culpabilité; la violence que l'incapacité à se parler fait naitre et la douleur qui en est le prix.
    Les acteurs - en ce compris les enfants, extraordinaires - sont d'une vérité stupéfiante.
    Les scènes sont d'un réalisme absolu, quasi documentaire. Il y là a un énorme travail d'analyse des âmes et des sentiments.
    Il faut sans doute avoir compris ça dans sa vie à soi pour apprécier toutes les qualités de ce film : notre passé nourrit notre présent et tout ce qui n'est pas réglé, digéré, parlé et ainsi humanisé, est un poison lent et violent, qui se transmets...
    philhag
    philhag

    24 abonnés 362 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2013
    Je me suis profondément ennuyé dans ce film. Le scénario a peu d'intérêt, le sujet est survolé et la fin est sans doute fonction du temps de tournage car l'héroïne devenait le personnage central et le scénario n'est pas allé jusqu'au bout à mettre en cause ce personnage. Le son est parfois inaudible. L'image est banale. Reste le jeu des acteurs qui est correct, voire difficile car jouer de manière aussi "naturelle" n'est certes pas naturel.
    On peut des passer de voir ce film.
    laurence l
    laurence l

    119 abonnés 1 095 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 mai 2013
    Bravo, interprétation magistrale de tous les acteurs petits et grands. L'histoire complexe qui relie tous les personnages est assez prenante tant on nous dévoile des secrets qui ne sont pas toujours les bons. Très belle histoire familiale.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 3 juin 2013
    Non seulement il n'y a pas d'histoire, mais les acteurs ont l'air de s'ennyuer autant que les spectateurs dans des décors lugubres, sans intérêt et déshumanisés. Et contrairement aux films de Marguerite Duras, on ne peut même pas dormir tranquilles à cause des variations brutales du volume sonore. J'ignore comment des personnes prétendument sensées ont pu y trouver un quelconque intérêt, si ce n'est à cause du snobisme actuel qui consiste à encenser systématiquement tout ce qui est fait par les réalisateurs du moyen-orient ou des «pays émergents», surtout quand il n'y a rien à comprendre. Quant à expliquer comment Bérénice Béjo a pu se voir decerner un prix d'interprétation à Cannes, c'est un mystère complet : elle passe l'intégralité du film avec un air hébété qui reflète la vacuité de son personnage – comme de celle des autres. Elle nous a montré par ailleurs qu'elle méritait mieux, mais là, c'est catastrophique. Elle n'aurait pas dû lire le synopsis (car il n'y a pas de scénario), au moins elle aurait pu montrer de la surprise…
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 juin 2013
    Décevant. Voilà que je me surprend à rire dans des moment où le spectateur devrait pleurer, et croyez-moi, je suis la première à pleurer devant les films habituellement. J'ai lu dans les critiques des mots tels que "suspense" ou "tension tout au long du film" et je ne comprend pas ces termes. On a droit a quelques engueulades entre les personnages qui ont été les seuls moments accrocheurs du film. Sinon, bonne nuit à tous ! On s'ennui, on regarde sa montre toutes les dix minutes... Deux heures de films pour au final revenir au point de départ, dommage ! Deux personnes dans la salle de cinéma sont parties au bout de trente minutes, et j'aurai du faire de même. Je pensais être surprise à la fin du film, qu'il se passe au moins quelque chose d'intéressant, mais ce gros plan de cinq minutes sur spoiler: les mains l'une dans l'autre, elle qui a la bouche et les yeux ouverts sur son lit d’hôpital alors qu'elle est censé être dans le coma
    , je n'ai pas bien compris. Je m'attendais à un mouvement de pouce, quelque chose qui feai bouger l'histoire. Certes, spoiler: elle pleure, (que d'un œil apparemment?!) mais rien ne nous dit qu'elle va se réveiller pour autant.
    Bref, je suis déçue, ayant entendu de nombreuses critiques plus que positives sur ce film, je le trouve mou, lent, ennuyant, sans réelle histoire qui se résume par des cris, des pleurs, des pétages de plombs, et au final rien n'a changé, tout le monde est toujours aussi triste, tout le monde est toujours dans sa situation de vie pourrie. Film de vie d'accord, mais film quand même, comment accrocher le spectateur si à aucun moment du film quelque chose ne s'arrange ? Si tout reste au même état qu'au début, j'appelle cela un film monotone, sans intérêt. Heureusement, le jeu des acteurs reste à la hauteur de mes espérances, même si les baffouillements trop nombreux et l'accent coupé au couteau font que quelques phrases apparaissent inaudibles ou incompréhensibles. Chacun ses goûts cependant, mais je pense que la presse, embarquée dans la folie du festival de Cannes, a largement surnoté ce film.
    Pour ma part, j'ai perdu 10€50 et deux heures de ma vie.
    labellejardinière
    labellejardinière

    72 abonnés 274 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 juin 2013
    La femme ("Marie"), le mari ("Ahmad") et l'amant ("Samir") : trio classique pour vaudeville. Cela peut-il faire un "drame", même si "mélo" plus que "drame", à vrai dire ? Variante autour du divorce, avec affinement des rôles : Ahmad, c'est le "passé" et Samir le "présent", le premier venant d'Iran officialiser un divorce par consentement mutuel, le second déjà installé au domicile "conjugal" (un plutôt sinistre pavillon de banlieue Nord parisienne, le long de la voie ferrée du RER). Qui sera "l'avenir" de Marie, à nouveau en puissance d'enfant ? En sachant qu'Ahmad est a priori en transit et que Samir traîne une histoire sordide d'épouse comateuse, officiellement suicidée au plus fort d'une dépression, mais peut-être par la faute de Lucie, l'ado tourmentée que Marie a eue (avec la petite Léa) d'une union précédant son mariage agonisant avec Ahmad. Très peu d'enjeu en fait, le verbe et l'hystérie camouflant tant bien que mal la pauvreté du scénario. "Comment peut-on être Persan ?". En tout cas Fahradi, le Perse contemporain, originaire lui aussi d'Ispahan comme Usbek, le héros de Montesquieu, perd tout à s'être porté en France pour ce très convenu nouveau film. Bérénice Béjo est vraiment moyenne par ailleurs, et l'on doute (sauf concurrence absente dans la Sélection officielle) de l'excellence du choix du jury cannois, qui lui a accordé un Prix d'interprétation féminine.
    Hypaepa
    Hypaepa

    23 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 octobre 2013
    Chiant chiant chiant et très chiant. C'est quand que l'histoire commence ? 2h10 de RIEN du tout
    Dany Verde
    Dany Verde

    20 abonnés 21 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 19 mai 2013
    Je reviens à l'instant du cinéma suite aux bonnes critiques que j'avais vu de ce film tant au niveau de la presse que des spectateurs. Incompréhensible!! Je me suis rarement autant ennuyé pendant un film de toute ma vie!
    Il ne se passe rien du début à la fin. Derrick c'est "fast and furious" à côté. Le scénario n'a rien d'extraordinaire en plus. On a envie de mettre des claques aux acteurs du début à la fin pour les sortir de leur torpeur et accélérer le mouvement de ce film que je déconseille au plus haut point!!
    dolphinus31
    dolphinus31

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 mai 2013
    Un film exceptionnel, d'une intensité rare au cinéma. Des acteurs exceptionnels, Ali Mossafa est touchant, voilà une affiche incontournable qui mérite les critiques excellentes. Vous n'en sortirez pas indemne ..
    ffred
    ffred

    1 516 abonnés 3 972 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2013
    Après le succès public et critique phénoménal de Une séparation (Oscar, César et autres prix...), on se demandait comment aller rebondir Asghar Farhadi (découvert avec le très beau A propos d'Elly). C'est donc en France qu'il pose sa caméra pour son sixième long métrage. On doute toujours lorsque un réalisateur acclamé quitte son pays (surtout vers Hollywood). C'est parfois différent lorsqu'ils viennent en Europe. A l'instar de son compatriote Abbas Kiarostami avec Copie conforme, Farhadi réussit parfaitement son virage français...
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